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Livres - Bibliographie

Gabriel Jan


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Toutes les séries de Gabriel Jan

3 livres
12 lecteurs

La femme continue de nager. Depuis combien de temps répète-t-elle les mêmes mouvements ? Ses bras, ses jambes deviennent de plus en plus malhabiles, s'engourdissent. Son corps manque de souplesse, s'alourdit. Quelques brasses encore et elle coulera. Pour de bon, cette fois. Ce que le monstre marin attend peut-être ?

2 livres
10 lecteurs

Depuis qu'ils avaient quitté Réhan, les phénomènes les plus invraisemblables se succédaient.

Tout commença avec le mauvais éclairage diffusé par les néons-globes. Un cancer noir mangeait la lumière qui faiblissait de plus en plus, plongeant le Rigel dans une pénombre angoissante.

Puis, il y eut « le brouillard ». Une chose étrange venue de nulle part et dont la masse croissait à une vitesse inimaginable.

II y eut aussi le curieux comportement des zwüls, les beaux animaux bleus capturés sur Réhan, le malaise de Price, le rêve de Christus Yeggo...

Et ce n'était pas terminé.

L'espace leur avait tendu un piège !

Volume 1 du cycle de Cycle : Reg Barmil

1 / Les Zwüls de Réhan

2 / Terreur sur Izaad

Tous les livres de Gabriel Jan

Les rails attiraient Fabrice. Il se laissait prendre au piège, acceptant les lacs morbides des instants qui préparent au suicide... Car il en était arrivé là ! Son état dépressif le poussait à commettre l’acte fatal. Plus de vie, plus de souffrances, plus de questions, plus de tortures. Plus rien. Le repos éternel ! C’était facile. Il suffisait d’enjamber le parapet, de se jeter sur la voie, sous les roues d’un train. Mort instantanée garantie.

Préfacé par Maurice Limat.

Pandémoniopolis, c'est une ville-monstre. Mais pas une ville-monstre comme les autres. C'est LA ville, l'unique ville terrestre, avec ses labyrinthes en béton, avec ses lois invraisemblables, avec ses tentations multiples, avec ses spectacles immondes qui feraient pâlir d'envie les acteurs d'un certain théâtre dit « d'avant-garde ». C'est aussi une arme ; une arme terrifiante manipulée par des robots de chair, lesquels sont eux-mêmes les jouets d'entités invisibles.

Pandémoniopolis, c'est le reflet amplifié d'un monde qui se meurt mais qui n'a plus la force de crier. C'est l'aboutissement de près de deux siècles de destruction. C'est la victoire du mensonge et de l'involution.

Mais l'homme est-il le seul responsable ?

Quel que fût le champ de vision, le bleu était présent, incompréhensible, secret. Cela dépassait l'imagination, l'entendement, et ne correspondait à rien de connu.

— Le cerveau a-t-il enregistré la manoeuvre ? demanda Aévy à l'androïde.

— Oui, maîtresse Aévy, répondit Vax. Rien ne lui échappe. Son fonctionnement est parfait.

— Bon... Il va falloir opérer un déplacement pour essayer le voir autre chose que... cela.

Vax s'exécuta tandis que la jeune femme et Adran gardaient les yeux rivés sur la sphère.

— Impossible de savoir si nous avançons ou si nous demeurons immobiles, dit Adran. Nous ne disposons d'aucun repère... Dans quoi sommes-nous exactement ?

Laurence avait fini par croire qu'elle était née sur Terre, qu'elle était une femme comme toutes les femmes de la planète. Elle voulait ne plus penser à ce qu'il y avait eu avant...

Mais le signal déchire le cocon dans lequel elle s'est enfermée. Le signal rajeunit ses pensées. Le signal la fait vibrer comme par le passé. Le signal lui fait peur.

Il signifie : DANGER DE MORT.

Laurence est effondrée. Il lui semble brusquement qu'elle n'a plus d'âge, qu'elle est si vieille qu'elle n'a plus la force de réagir. Dans sa poitrine, son coeur bat trop fort.

Grave, le signal vient de pour la douzième fois.

Qui donc avait enchaîné la Mort ? Au cœur de quelles mystérieuses profondeurs la gardait-on prisonnière ? Et pourquoi ?... Parole perdue. Secret enfoui dans les replis du temps... La Mort était sourde. On lui avait coupé les oreilles...

Géade... Une planète sur laquelle on naît adulte, une planète où les peuples, pratiquement immortels, se partagent des pays riches en légendes et en mystères. Le secret de Géade, un seul homme le connaît : Bhoaz. Manipulé par Glom-le-Noir, un personnage aux étranges pouvoirs, Tamkan devra se rendre au Pays-de-Brume et n'obtiendra sa liberté que s'il revient à la Montagne Creuse avec le Livre de Bhoaz.

Un vaisseau spatial faisant route vers la Terre est happé par une onde qui l'attire vers une planète inconnue. Une planète ou s'accumulent les bizarreries, et sur laquelle les Terriens plongent dans une véritable euphorie qui leur interdit de distinguer le réel du factice...

Nos échoués de fortune vont aller de surprises en découvertes, et pas toujours agréables... Une race d'humanoïdes pacifiques et télépathes représentants d'une civilisation artistiquement évoluée, des paysages changeants, des sphères volantes qui influencent le comportement, des membres d'équipage qui disparaissent, des massacres inexpliqués,...

Nos héros vont approcher d'une vérité insoupçonnée et pour le moins...théâtrale !

Un bon petit bouquin, agréable à lire, des personnages bien typés, un scénario relativement original sur le thème de l'entité extraterrestre qui asservit un peuple pour ses besoins et la tâche que ses pairs lui ont assignée. Des paysages visuels et colorés, un style narratif correct, une bonne structure du récit, un soupçon de philosophie et de réflexion sur l'espèce humaine et ses travers, mais un final un peu trop rapide et un peu court.

Voici la formidable légende de la ville d'Ys revisitée par Gabriel Jan, maître incontestable du suspense et auteur de nombreux romans.

En ce temps-là, du côté de Douarnenez, Ys était la plus riche, la plus puissante, la plus réputée mais aussi la plus fragile des cités de Bretagne.

Construite en fond de Baie et constamment menacée par la mer, Dahut y régnait en maîtresse absolue aux côtés de son père, Gradlon le Grand, roi de Cornouaille, ami du moine Guénolé et de l'ermite Corentin.

Mais la belle princesse se livrait aussi à la débauche et elle n'hésitait pas à se débarrasser de ses amants en jetant leurs corps dans l'Océan, jusqu'au jour où elle tomba amoureuse d'un séduisant et mystérieux étranger.

En S.F., on a bien souvent parlé de l'invasion de la Terre par des extra-terrestres. On a tout aussi souvent créé des monstres de toutes sortes ; des robots sanguinaires jusqu'aux êtres les plus horribles. Rien de cela dans « ENFANTS D'UNIVERS ». Pourtant, un terrible danger menace la Terre.

Qui sont ces enfants aux étonnants pouvoirs ? Que veulent-ils ? Pourquoi, dès l'âge de neuf ans, disparaissent-ils mystérieusement ?

L'homme, pour la première fois dans toute son histoire, se trouve devant un problème qui dépasse son entendement.

Une mission spatiale qui pourrait bien ressembler, à ces conquêtes qui, dans le passé, plongèrent les peuples dans un bain de sang... Mais devant les dirigeants de l'Empire Terrien, devant une science sans conscience, devant les militaires bornés, il y a cette force que l'homme n'a jamais pu vaincre.

Certains prétendent que la science-fiction représente un genre mineur. Ils ajoutent sans rire qu'un roman de Science-fiction n'est pas un « roman littéraire » ! (On est en droit de se demander ce qu'est en réalité un roman littéraire !) Je considère pour ma part que le domaine de la science-fiction, comme celui du fantastique, mérite une attention particulière. Un roman de S.-F. est plus qu'un ouvrage dit littéraire, car, outre les qualités que ce roman exige, il faut avoir, en plus, une certaine dose d'imagination, le goût de la recherche philosophique, sociologique, psychologique, etc. Certains diront aussi que la S.-F. ne nous livre que des « histoires impossibles », des « contes à dormir debout », des « choses qui ne pourront jamais arriver ». Répondons par une seule question : l'homme des cavernes imaginait-il l'automobile ?

En 1987, date à laquelle on avait commencé les vaccinations, le « Terrien moyen » ne se doutait pas de ce qui allait se produire. Un événement unique dans l'histoire de l'humanité ! Les savants, les gouvernements de tous les pays, inexplicablement, avaient décidé de déclencher LA FIN DU MONDE, ou plus exactement la fin d'UN monde ...

Même chez les responsables, on ignorait qui, le premier, avait eu cette idée lumineuse. Chacun voulait être ce génie.

Mais ils étaient morts. Comme les autres ...

Cinquante ans plus tard, en 2037, Béatrice se réveilla ...

Anticipation, n° 720

Nul ne sait qui IL est. Les Kawars prétendent qu'IL est le maître incontesté de la planète. Les Terriens, eux, n'y croient pas. Venus sur Schanguina-Haari pour récupérer la fameuse « substance E », laquelle se trouve à bord du « Soli-Man », un astronef endommagé, ils s'enfoncent peu à peu dans le mystère. Un mystère qui grandit d'heure en heure : Maloa existe-t-il véritablement ou s'agit-il simplement d'un mythe ?

Pardon, à vous qui vivrez dans les temps futurs. Pardon pour cet héritage de folie que nous allons vous léguer. Pardon pour cette décadence. Pardon pour cette nature que nous n'avons pas su préserver. Pardon pour notre indomptable orgueil. Pardon pour ces germes de mort que nous avons semés.

Nous ignorons encore ce que vous serez, les humains des temps à venir. Mais nous savons que vous aurez à lutter pour survivre !... EN 1977 NOUS LE SAVONS ! ET CEPENDANT, DES HOMMES CONTINUENT A DETRUIRE VOTRE MONDE !

Pardon, à vous qui serez nos fils et nos filles... PARDON DE VOUS AVOIR ASSASSINES AVANT MEME QUE VOUS SOYEZ NES !

Pardon à vous qui vivez dans les temps futurs. Pardon pour cet héritage de folie que nous allons vous léguer. Pardon pour cette décacence. Pardon pour cette nature que nous n'avons pas su préserver. Pardon pour notre indomptable orgueil. Pardon pour les germes de mort que nous avons semés.

Nous ignorons encore ce que vous serez, vous, les humains des temps à venir. Mais nous savons que vous aurez à lutter pour survivre !...

EN 1978 NOUS LE SAVONS ! ET CEPENDANT DES HOMMES CONTINUENT A DETRUIRE VOTRE MONDE !

Pardon à vous qui serez nos fils et nos filles.

PARDON DE VOUS AVOIR ASSASSINES AVANT MEME QUE VOUS NE SOYEZ NES !

L'éclair bleu s'est produit d'un seul coup. Pas un éclair ordinaire, non, plutôt une vive clarté qui s'est déplacée horizontalement, presque au ras du sol, d'un menhir à un autre.

Pendant combien de temps suis-je resté inconscient ? Je l'ignore. L'éclair m'a littéralement traversé. Je n'ai ressenti aucune douleur. Voyons !... II fait encore jour. Ma montre indique 16 h 12. II n'a pas cessé de pleuvoir.

Le plus urgent est de savoir où je me trouve. Assurément, je ne suis plus au Ménec. Autour de moi, il n'y a que des arbres. Un bois. Une forêt. Comment ai-je pu parvenir ici ?

Lorsque le moment de la Grande Épreuve arrive, Jarvid ignore le rôle qu'il aura à jouer. Il a quitté le Royaume des Profondeurs pour celui de la Surface et, peu à peu, il prend conscience de la fonction de l'homme dans l'univers.

Mais les êtres de la Surface sont bien différents de ceux du Royaume souterrain...

Le Gardien s'approcha de Tamo et demanda :

— Tu as faim ?

— Oui, répondit Tamo.

— Et qu'aimerais-tu manger ?

Tamo eut une hésitation. Le ton qu'employait Kabor lui était désagréable.

— Ce que tu voudras bien me donner. Un jouet ne peut manger que...

— Tu n'est plus un jouet !

— Non. Je ne suis plus un Jouet !

— Répète après moi : je ne suis plus un Jouet !

— Je ne suis plus un Jouet.

— Encore ! Encore !

— Je ne suis plus un Jouet. Je ne suis plus un Jouet. Je ne suis plus un Jouet. Je...

« Le voyage de Baktur », quant au fond et à la forme du récit, n'est pas sans rappeler « Tamkan le paladin » publié voilà plus d'un an. Par le biais de ce qu'il est convenu d'appeler « I'heroic-fantasy », Gabriel Jan emmène le lecteur par la main pour le jeter dans le puits brûlant d'une réalité qui n'est encore aujourd'hui que de la science-fiction. Mais...

Rien de bien, ce soir, à la télé ?

Et vous ne possédez pas de magnétoscope ?

Tant mieux ! Nous pourrons jouer ensemble.

Attention ! Pantoufles ? Fauteuil ?... Vous y êtes ?

Mis à part les esprits tortueux ou pervers, qui de nous n'a jamais imaginé un monde serein, une planète accueillante et extraordinairement belle où il n'existerait ni pollution, ni guerre, ni argent ?

Qui n'a jamais rêvé d'un Univers merveilleux dans lequel le mot « liberté » prendrait toute sa signification, et ne servirait pas de prétexte pour dresser !'homme contre son frère l'homme ?

Ce monde, me direz-vous, ne pourra jamais exister ! Laissez-moi sourire...

Venez ! Je vous emmène sur Alab, la planète où brillent deux soleils splendides : Bwill et Zfaa. Rassurez vos proches, nous ne seront absents que l'espace de deux à trois heures... A moins, bien sûr, que vous ne préfériez demeurer sur Alab ?

« — Les pierres sont en place, déclara Vosias. Déjà, nous savons que le lien est établi. Cependant, il nous appartient de le consolider, de le parfaire. Le lien n'est rien s'il n'a pas la force qui doit courir en lui. Cette force, c'est nous qui la ferons naître...

« Kheb a tracé les signes, les symboles, supports nécessaires de notre esprit commun et véhicules de notre pensée. Rien désormais ne pourra empêcher l'acte de s'accomplir, car là où se poseront nos yeux il existera un symbole générateur. Nous sommes !... Jézahab, lui, tient l'épée de justice, celle qui défend le faible et qui punit les fourbes...

« Vois, Quémalta, deux d'entre nous ont déjà pris place en ton sein. Ils sont initiés et ils t'appellent. Et leurs voix résonnent outre le temps, outre l'espace... Cinq vont créer la force attractive qui te rendra la vie... »

Une ville froide. Vide. Silencieuse.

Une ville sur laquelle pèse le poids de l'oubli et de l'abandon. Une ville qui est là comme pour témoigner des erreurs accumulées au cours des siècles.

Un univers livide.

Un univers de béton, sans style, sans caractère, sans harmonie. Un univers de mort fait pour des morts.

Dans cette ville, pourtant, des êtres continuent de vivre. Mais entre les Anges et les Protégés, entre les Indépendants, les Visiteurs et les Passifs, c'est le règne de la suspicion, de la menace, de l'insécurité permanente...

Emprisonné pour avoir tenté de dérober un cheval au seigneur Abad, Shen est délivré par un magicien qui, comme deux de ses semblables, rêve de devenir immortel. Shen est chargé de découvrir l'inaccessible étoile...

Gens de bonne volonté, si vous tenez à conserver votre âme, ne prononcez jamais de paroles injurieuses envers les forces occultes. Et surtout, ne vous moquez pas ! Ne faites pas cette folie ! Votre repentir, sinon, sera grand, mais il sera trop tard. Vous ne pourrez plus revenir en arrière.

Si vous saviez ce que j'ai dû subir !... J'ai vécu avec les spectres, les forces invisibles, les monstres grimaçants, et cela m'a conduit au châtiment suprême.

Aussi, je vous en conjure, si un jour vous rencontrez l'homme noir, fuyez ! Fuyez du plus vite que vos jambes vous le permettront. Et ne vous retournez pas !

Ce n'était pas une ombre comme celle qu'une source de lumière porte sur une surface quelconque. Celle-ci était noire comme de l'encre de Chine et recouvrait les dessins de la tapisserie...

Elle s'immobilisa, puis se tordit. Patrick vit alors une ébauche de bras, une esquisse de tête, devina un tronc vague... Masse informe mais vivante, elle multiplia ses mouvements comme si de ses efforts devait naïtre une créature...

♦ FNA n°1494.

♦ Ils se dirigent vers le sud, croyant y trouver le bonheur. Mais dans le Nouveau Monde, se rassembler signifie souvent rencontrer la mort...

♦ FNA n°1598.

♦ Ils ont trois noms.

Le premier les désigne. Les deuxième les transforme et le troisième les tue !

♦ FNA n°1450.

♦ Le tour de Gamahad était venu. A vingt-six ans, il devait s'acquitter d'une mission dont il ignorait l'objet, ce qui, comme bien l'on pense, le tourmentait au plus haut point. Comment ne pas faillir à la tâche lorsqu'on ne connaît pas la raison de cette tâche ?

♦ FNA n°1216.

♦ Samaran ne se laissa pas distraire. Soutenu mentalement par le sorcier, il donna le meilleur de lui-même. Sa pensée imprégna le brouillard, le modela jusqu'à ce que le visage aimé atteigne la perfection...

♦ FNA n°1334.

♦ « Par-delà l'anticipation et l'heroic fantasy, avec ses héros, ses fées aux cheveux blonds, ses enchanteurs, ses légendes de mondes perdus, ses réminiscences de cultes interdits et de mythes celtiques, on aura compris que Gabriel JAN vise à englober dans le cycle de ses chroniques : la philosophie, la métaphysique, l'eschatologie, les fins dernières de l'homme, en un mot l'humanisme. »

Pierre Decamps

(La Gazette)

♦ FNA n°1205.

♦ Là-bas, au-delà du Séjour des Morts, se dressent les septs enceintes du royaume des déiformes. Au coeur de ce royaume, il est un lieu que l'on appelle « le Calice de Sylène », et c'est là que Phaly, la fille de cristal, espère trouver la porte des jardins de Xantha...

Pour certains, la mort est un aboutissement ; pour d'autres, c'est une porte ouverte sur un monde nouveau. Qui a tort ou raison ? Nous ne le saurons que lorsque nous serons morts à notre tour.

Cependant, pour Serge Lanvin, le doute n'est pas permis. Car Muriel lui a parlé du fond de sa tombe. Non, ce n'est pas un rêve, ni une hallucination. Elle a parlé, — il en est sûr... Elle connaît son assassin et elle attend patiemment que ses chairs se reforment pour se venger.

D'ailleurs, Serge n'est pas le seul à avoir entendu parler la morte... Epouvanté, Claude aussi a saisi les paroles venues d'outre-tombe...

Au sein de l'immense anneau de brume qui enserre le Whamangar que l'on continue d'appeler « le Grand Pays », règne une paix que l'on doit à Darion, roi d'Egont. Mais l'unité est encore imparfaite. Si certaines cités ont voulu garder leur indépendance, d'autres, comme Tabnar et Némett, demeurent franchement hostiles à Egont et se préparent à restaurer le culte des trois dieux pour asseoir leur régime tyrannique.

Dans le même temps réapparait la magie que l'on croyait à jamais disparue. Le Maître de l'Obscur, le Grand Devenant, a engagé une lutte sans merci pour régner sur le Grand Pays. Sa puissance lui confère deux atouts majeurs : PAR LE REVE ET LA RONCE

Il se passe de nouveau des choses bizarres dans le Whamangar. Les magiciens sont une fois de plus menacés. Les Hordwarks, noires créatures du Dor-Phan, rôdent partout, semant la peur et la mort. Tout semble devoir recommencer. Les persécutions réveillent de sombres souvenirs. Des êtres venus d'un autre monde ont envahi le royaume sylfe situé au-delà de la Barrière de Brume, et se préparent à déferler sur le Grand Pays.

Quelques Sylfes, cependant, ont pu fuir leur royaume dévasté et apportent aux hommes du Grand Pays les moyens de fermer les fractures que le Dor-Phan a ouvertes : LES PIERRES DE THER-PARAGON...

♦ FNA n°801.

♦ — Qui es-tu ? jeta l'homme d'une voix peu amène. On ne t'a jamais vu auparavant. Pourquoi n'es-tu pas vêtu ?

— Je viens de chez les Bleus... Ils m'ont chassé... Je m'appelle Naal Hama. Je veux...

— Pour le moment, tu n'as pas le droit de vouloir ! Pourquoi t'ont-ils chassé, les Bleus ?

— Je n'approuvais pas toutes leurs idées !

— C'est tout ?

— C'est tout... C'est trop, cependant, pour les Bleus. Ils sont semblables aux Jaunes !... On est Bleu ou on est Jaune !

— Pourquoi viens-tu ici ?

— Il ne me reste que cette solution !

Alors qu'il se régale de coquillages déposés en offrande par la mer, Craël reçoit la visite de la louve Fra, compagne de Grou, le chef de meute. Elle est porteuse d'un message de Mogius, le quatrième Veilleur. Un message étrange, inquiétant. Un mal affecte les végétaux et met la Grande Ile en péril.

Craël se lance dans une aventure, un voyage initiatique au terme duquel il doit trouver l'Arme des Anciens. Face à des créatures venues des confins de l'espace, hommes et animaux s'uniront, RIEN QUE POUR LA VIE...

De tout temps, notre bonne vieille Terre connut des ténors politiques, mais les plus remarquables furent ceux qui apparurent dès le XXè siècle. Grâce à eux, nos aieux apprirent que les générations qui leur succéderaient connaîtraient, avec les nouvelles découvertes, un avenir serein.

Lorsque nombre d'entre eux, pour ne pas dire tous, se transformèrent en devins, monstres de guerre ou clowns, ils ne provoquèrent pas nécessairement le rire. Habilement néanmoins ils firent croire aux peuples qu'ils seraient heureux. Saint-Fric prit du galon et devin Dieu.

Car sur le monde idéal qu'ils n'avaient cessé de repeindre aux couleurs de la mode, avec un art consommé trà tendance, la grisaille peu à peu se déposa... ET LE VENT SE MIT A SOUFFLER...

Quand le Grand Pays ne s'appelait pas encore le Whamangar, et que sur la cité de Tresht régnaient Mohav, les magiciens et les conteurs étaient impitoyablement traqués. Ainsi, Darion jura-t-il, à la mort de Golsaf, son père spirituel, de ressembler à ceux qui portent le Don et de jeter toutes ses forces dans la reconquête. Mais d'abord, il doit s'acquitter d'une tâche importante : retrouver le Méditeur Sholon qui lui fera découvrir le Secret Dominant, indispensable à la réalisation de ses projets. dès lors, Darion n'aura plus qu'une idée en tête : se battre pour que naisse LE PRINTEMPS DES MAGICIENS...

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