Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
718 414
Membres
1 031 399

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Tous les livres de Jean Hougron

De l'existence quelque peu marginale que Jean Hougron vécut en Indochine dans les années 50 comme planteur de tabac, ramasseur de benjoin ou de cornemolle de cerf et marchand de bière, apprenant à parler laotien et chinois, il a su dépeindre un pays envoûtant comme une drogue, dans un décor où la boue et le sang de colonisation se mêlent aux aléas de la vie quotidienne, à l'amour et à l'amitié. Dans Mort en fraude, Les Potes de l'aventure, Les Asiates et la Terre du barbare, qui constituent le second volet de cette grande fresque romanesque, nous retrouvons les héros de Hougron, révoltés, pathétiques et parfois cruels, traversant leur propre histoire, qu'ils soient Européens ou Indochinois, avec la même rage de vivre que celle qui fit dire à leur auteur qu'il venait de passer là " les meilleurs moments de sa vie."

S'il fallait en croire le vieux ? Quang, le métis Fremont s'était emparé du trésor des Hoa-Binh après avoir tué le chef de la Grande Pagode. Or Fremont vivote en plein cœur du Laos, la conscience visiblement tranquille. Fausse, cette histoire de Quang ? A demi - et Fremont raconte, l'histoire véridique de l'expédition dans l'île de PouloCondor. Il y a des routes en Indochine. Qui les construit, Des acharnés comme Legras, l'Homme du kilomètre 53, qui dispute chaque mètre de terrain aux intempéries, aux éléphants et aux Viets. Une vie pénible et, à la fin, la retraite. Henry Lafitte s'est débrouillé autrement, et c'est encore jeune et déjà riche qu'il revient épouser Françoise. Mais il n'est pas de l'étoffe dont on fait les bourgeois de province. C'est l'amère conclusion de Retour, 3e nouvelle du présent volume où l'on retrouve les thèmes et la maîtrise qui ont fait la renommée de J. Hougron dans le cycle de La Nuit indochinoise.

♦ Curieux adversaires que les Vors. Les Hommes leur font la guerre depuis trente-deux ans. Ils ne les ont jamais vus. Qui est cet ennemi qui dédaigne d'attaquer et laisse les Hommes prendre des initiatives qui se retournent chaque fois contre eux ? Et quel rôle joue Dreik qui leur sert de messager ? Car ceci est l'histoire d'un homme, Dreik, qui changea la face du monde. Est-ce un héros, une victime ou tout simplement un traître comme le pense le plus grand nombre ? Et d'abord, quel est ce secret dont il manquera mourir et l'espèce tout entière à sa suite ?

Mitraillé de questions, sondé, analysé, déplié cellule par cellule, feuilleté souvenir après souvenir, rêve après rêve, ils ne le lâcheront plus car ils savent qu'il a commis une faute impardonnable. Et le pis, c'est que lui aussi le sait. Mais quelle faute ? Où et quand ? Et quel profit en tirera l'ennemi, ces Vors qui l'ont peut-être si bien manipulé, transformé, qu'il se demande parfois qui il est et quel rôle il joue dans cette gigantesque partie d'échecs à l'échelle d'un univers. Reste le Slur, l'ami de toujours, son infinie bienveillance et son art de traverser les apparences.

Le Naguen est un roman foisonnant de péripéties, de rebondissements surprenants où l'humour et l'invention le disputent à une réflexion sur un monde qui ressemble beaucoup au nôtre. Les Vors ne sont-ils pas un peu Russes, par exemple, et Sumor ne fait-il pas penser à cet Etat récemment envahi...

Roman visionnaire donc. Mais Hougron n'est jamais plus à l'aise que lorsque, brassant le présent, il en fait jaillir l'avenir.

Quant au Naguen, nous vous laissons le plaisir et la surprise de faire sa découverte.

♦ Prix de la SF de Metz, roman français, 1981

Dans Mort en fraude, Les Portes de l'aventure, Les Asiates et La Terre du barbare, qui constituent le second volet de cette grande fresque romanesque, nous retrouvons les héros de Hougron, révoltés, pathétiques et parfois cruels, traversant leur propre histoire, qu'ils soient européens ou indochinois, avec la même rage de vivre que celle qui fit dire à leur auteur qu'il venait de passer là " les meilleurs moments de sa vie ".

De l'existence quelque peu marginale que Jean Hougron vécut en Indochine dans les années 1950 comme planteur de tabac, ramasseur de benjoin ou de cornemolle de cerf et marchand de bière, apprenant à parler laotien et chinois, il a su dépeindre un pays envoûtant comme une drogue, dans un décor où la boue et le sang de la colonisation se mêlent aux aléas de la vie quotidienne, à l'amour et à l'amitié.

Cette œuvre fut couronnée, en 1953, par le Grand Prix du roman de l'Académie française

Le Junker de la ligne Saïgon-Louang-Prabang passait juste au-dessus et nous étions seize à le regarder, serrés coude à coude, les oreilles bourdonnantes, assourdis par le vacarme des trois moteurs ronflant à plein régime.

Juste un village comme les autres, semblable à tous ceux que nous avions survolés depuis l'aube, colorié connue un jeu de construction avec. le rouge ocré de ses deux routes en croix, les quatre angles d'un blanc crayeux des bâtiments européens pointés vers la place rectangulaire et un peu partout, au hasard des jardins, le vert jaunissant des arbres et des pelouses. Rouge, blanc, vert.

L'arc détendu du Mékong, immense et dérisoire des hectares de sable rongés d'herbe malsaine emprisonnés dans des mailles d'eau paresseuse.

Étreignant de nos mains fiévreuses le rebord de nos strapontins nous regardions, la rétine blessée par un soleil vertical, les muscles endoloris par quatre heures de vibrations. Le Junker obliqua vers le Siam, rabotant durement l'air inégal. Le village fila au long du fuselage, disparut d'un coup avalé par une secousse plus violente.

C'est dans ce même village.»

Depuis plusieurs jours, le professeur André Bairet a la conviction que son nouvel élève, Bernard Cormière, n'est autre que l'ombre entrevue sur le toit en face de chez lui, la nuit où fut étranglé le cafetier Cardelec. Les leçons ? Un prétexte, visiblement. Barret se sent épié, en danger. Quand, un soir, le jeune homme surgit devant lui, il réagit aussitôt et tire. Légitime défense. Mais, avant de mourir, Cormière l'accuse du meurtre de Cardelec, et Barret a la stupeur de voir se former contre lui un solide faisceau de présomptions. Rien ne vient affaiblir la tension - dramatique qui s'établit dès les premières pages de ce livre remarquable par sa sobriété, son dynamisme et l'excellente peinture d'atmosphère qu'il donne de la petite ville provinciale où le héros de Jean Hougron se débat pour sauver sinon sa tête du moins sa liberté.

Source : Le Livre de Poche, LGF

Les poches vides et les dents longues, Alexandre Larsac débarque à Saigon. Là-bas, en Europe, il fait gris, il fait froid, les horizons sont contingentés et par contraste cette Indochine si conforme à ses rêves d'exotisme, l'éblouit.

Employé chez Delabarre, la grande compagnie coloniale, il se rend vite compte qu'il n'est pas fait pour vendre toute sa vie des sardines à la tomate. Dès le premier jour, il a flairé que Saigon et Cholon, son énorme ville-jumelle, c'est un fabuleux gâteau, qu'il suffirait de quelques milliers de piastres et d'un peu de hardiesse pour y planter les dents, que ce pays lui réserve mille délices, des plaisirs à n'en plus finir et de toute espèce mais il n'ose pas, il n'a pas encore les clés de ce monde prodigieux. Une aventure passionnée avec la Pondichérienne, veuve revêche, dont les voiles funèbres cachent une beauté bouleversante et un tempérament de feu, la rencontre du grand Gélardot, un ami d'enfance, qui de sergent para devient trafiquant, leur accointance avec une métisse retorse douée du génie du commerce,. vont faire du maigre .garçon en short et sandalettes un jeune loup féroce, prêt à toutes les aventures, libre de lui-même et de son destin. Le monde colonial en train de crouler, quel merveilleux terrain de chasse!

L'amour, la peur, l'amitié, la mort; l'argent tirent ici les ficelles: aux hommes sans pitié, s'opposent les femmes sans pudeur, .le Viet rôde, l'angoisse s'installe, la piastre est reine. Avec l'inconscience de la jeunesse, Alexandre passe au travers de tous les périls, et jamais le style truculent, viril et chaleureux de Jean Hougron, ne s'identifia d'aussi près à son personnage. Ingénu et , roublard, avide et tendre, débordant' de santé et d'ambition, Alexandre Larsac, c'est Candide en Indochine.

Source : Le Livre de Poche, LGF

Pourquoi les Sirkomiens avaient-ils abandonné tous leurs continents pour se réfugier à Eimos de Salers, qui semblait la seule ville habitée de la planète ? Les Sirkomiens avaient été un des plus grands peuples de la Confédération, un peuple violent, dynamique, dont les conquêtes scientifiques avaient bouleversé les huit galaxies. Aujourd'hui, il n'en restait rien. Je me remémorai l'une des premières règles des Grands Quêteurs : « Quand il s'agit des autres mondes, ce qui te paraît simple est souvent le visage même de l'extravagance. » Il y avait les Rhunqs bien sûr. Dès demain je m'occuperais de ces singuliers croque-mitaines...

Un space opéra dans la grande tradition, doublé d'une fable plus que jamais d'actualité sur les illusions et les manipulations qui accompagnent sournoisement l'exercice du pouvoir.

Histoire d'un collectionneur au passé douloureux, obsédé par les porcelaines de Chine, que sa passion mène un jour sur les traces de l'assassin de ses parents (des collaborateurs avec l'occupant allemand en France). Un très bon roman romanesque, à la fois enquête policière, quête tardive d'identité et passion de la Beauté.

Source : Google books

D'un amour étouffant renaît un vieux rêve : partir à l'aventure vers un grand blanc sur la carte, le Vème territoire, ses rubis et ses arbres à benjoin. Le pays aux cent mille monts s'ouvre devant Alexandre, qui se sent tour à tour, gibier et chasseur. Une longue errance semée d'amours violentes et tumultueuses avec de jeunes et ravissantes Laotiennes.

Rien derrière soi. Et devant le ciel comme à la portée de la main…

Puis, à l’instant où l’on croyait le saisir, la chute. En enfer. Le camp de Bong. L’enfant capturé et sitôt disparu, la mare verte, les corps escamotés, les soldats-zombies et surtout Rosier, le beau guerrier, sorti par miracle de l’enfer. Peut-on encore regarder le monde et soi-même d’un œil tranquille ? Pour lui, le temps des bilans est venu. Il n’a plus d’illusions ni sur lui ni sur les autres.

Alors commence le grand combat. Alexandre, acharné à débusquer la vérité des faux-semblants, ne tarde pas à se demander à quoi sert de vivre si on est dupe. Ou tout simplement inutile. petit mort-né de l’existence, qui ne saura jamais combien la vie peut être harassante, sordide, et magnifique.

Description du pays, des gens. Une atmosphère qui sent déjà la manière dont elle finira, le tout dans l'insouciance ou un jusqu'auboutisme qui semble parfois effarant, à lire

Legornse trouvait à l'hôpital depuis trois mois quand on lui apprit que sa femme et son fils étaient morts au cours de l'attaque. Lui s'en était tiré avec une double fracture de la jambe et une balle dans le poumon gauche.

Lorsque le médecin-chef lui annonça la nouvelle, il ne fit aucune remarque et inclina la tête à deux ou trois reprises, sans qu'on pût exactement comprendre ce qu'il voulait dire par là.

Le médecin le quitta après les consolations et les paroles bienfaisantes d'usage. Le silence attentif de Legorn l'avait embarrassé, et à deux reprises, il avait dû chercher ses mots, hésitant au bord d'un vide assez gênant. C'est Legorn qui l'avait alors encouragé à poursuivre d'un signe de tête compré-hensif.

L'infirmière trop grasse, qui écoutait dans un coin, avait écrasé ses trois mentons sur le col de sa blouse en signe de commisération. Elle était ensuite venue au pied du lit, aggravant encore son visage de circonstance.

Rien, dans la vie de Jean Hougron, jeune professeur de vingt-trois ans au pensionnat Saint-Pierre de Dreux, ne laissait prévoir qu'il partirait pour l'Indochine, en juin 1947, engagé par une maison d'import-export pour vendre des boîtes de lait concentré, des sardines à la tomate et des bouteilles de champagne en grande quantité.

Fasciné par Saigon qui explose sous le poids des réfugiés et profite des affaires florissantes que la France en guerre lui permet d'entretenir, animé d'une curiosité certaine pour les grands espaces dont il entend sans cesse parler et las d'une vie de bureau somme toute assez banale, Hougron décide d'accompagner un ami jusqu'à la frontière thaïlandaise à bord d'un camion chargé de cotonnades et de quincaillerie. L'aventure commence : elle va durer quelques années...

De ce voyage, Hougron a rapporté quelques milliers de pages de notes. Elles donneront naissance au cycle de La Nuit indochinoise(...).

De l'existence quelque peu marginale que Jean Hougron vécut en Indochine dans les années 1950 comme planteur de tabac, ramasseur de benjoin ou de cornemolle de cerf et marchand de bière, apprenant à parler laotien et chinois, il a su dépeindre un pays envoûtant comme une drogue, dans un décor où la boue et le sang de la colonisation se mêlent aux aléas de la vie quotidienne, à l'amour et à l'amitié.

Sa victime prisonnière dans l'ascenseur, André Essen n'a. qu'un geste à faire pour accomplir sa « mission » - il ne le fait pas. Dans le train qui le ramène à Paris, il se demande pourquoi il n'a pas tué le gros Vanderem. Déjà, il a « bousillé » à demi la « mission Mattei ».

Pourtant, il y eut un temps où abattre quelqu'un lui donnait l'agréable satisfaction d'une revanche sur ses semblables, tous détestés à l'exception de Lila. Est-ce son amour pour Lila qui lui a paralysé le bras ? Sans même finir d'analyser le passé qu'il revit par bribes au fil des heures, il sent déjà qu'il a renoncé à son « métier ».

Le coeur n'y est plus. Il commet la faute de l'annoncer à ses patrons. Les organisations occultes qui emploient des truands pour régler leurs comptes politiques à coups de poignard ou de faux suicides savent parer toute tentative de chantage.

C'est en homme traqué que celui « par qui le scandale arrive » poursuit jusqu'à son aboutissement logique l'aventure d'un être de révolte et de violence qui semble sortir tout droit de la vie, tant le récit vibre de verve froide, de force et de vérité.

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode