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Livres - Bibliographie

Jean Meyer


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L'histoire des noirs d'Afrique,puis d'Amérique,est abominable et par ce livre,l'auteur nous montre tout ce qu'ils ont enduré pendant plusieurs siècles.Aujourd'hui,il ne faut pas oublier leur parcours semé de guerres.C'est le racisme qui cause le plus de haine.

Il faut se rappeler le message de Martin Luther King qui est encore d'actualité...

Au Mexique, entre 1926 et 1929, le gouvernement mène une guerre impitoyable contre son propre peuple. Tout commence avec la crise provoquée par une loi qui conduit à la fermeture des églises, à la suspension du culte, même privé, et à la distribution des sacrements. Des hommes, des femmes, des enfants même, agressés dans leurs identité, se soulèvent alors pour défendre leur liberté de croire et de prier. Au nom du Christ-Roi (Cristeros), une armée de paysans menée par un leader charismatique, Enrique Gorostieta, entraîne le gouvernement dans une guerre imprévue. En 1929, ils sont cinquante mille. Seul l'embargo américain sur les munitions les empêche de vaincre. Poussé par l'ambassadeur américain, le gouvernement se résout enfin à négocier avec l'Eglise. L'arrangement est vite trouvé, mais sans les Cristeros, qui n'ont pas été consultés. Le culte reprend. Les Cristeros déposent les armes. Leurs chefs sont assassinés. Une chape de plomb tombe sur cet épisode de la Révolution mexicaine que l'histoire officielle s'applique à occulter.

Ce livre, la première histoire illustrée du soulèvement des Cristeros, raconte leur histoire de l'intérieur. Grâce aux photos et aux témoignages, le lecteur entre dans l'intimité des acteurs de la Cristiada (la Christiade). Grâce - surtout - aux décennies de recherche menées sur le terrain par l'auteur, il comprend les ressorts d'une épopée qui ne peut se réduire à sa seule dimension militaire. Histoire de courage, d'honneur mais aussi de larmes et de sang, la Cristiada est une histoire tragique et exemplaire. Elle se déroule au Mexique, mais ses leçons sont universelles et toujours d'actualité.

Entre 1926 et 1929, le Mexique connaît une révolution dans la révolution (1910-1940) : la rébellion des Cristeros, ou Christiade (Cristiada). Dans sa volonté de transformer la société, l'État, sous la présidence Calles, agresse frontalement l'Église catholique qui réagit en suspendant le culte. L'État ferme alors les églises, interdit le culte privé et la distribution des sacrements.

S'agit-il d'un énième épisode d'un conflit séculaire entre deux vieux adversaires, d'une diversion idéologique dans un contexte économique difficile, alors que plane la menace d'un nouveau bras de fer avec l'encombrant voisin américain ? Quoi qu'il en soit, l'épisode débouche sur un fait totalement inattendu : le peuple, blessé dans ses convictions les plus profondes, à bout de patience après avoir épuisé tous les moyens légaux de résistance, se soulève au nom du Christ-Roi (Cristo-Rey). Malgré une répression impitoyable, non seulement l'insurrection ne s'éteint pas, mais elle se structure et se développe. L'État se découvre dans une impasse. Il en sort grâce à la médiation américaine : en 1929, le culte reprend, les Cristeros déposent les armes. Mais le bilan humain est tragique : plus de deux cent mille morts, combattants des deux camps et civils, des centaines de milliers de Mexicains ont fui leur pays. Une chape de plomb tombe alors sur l'événement que l'histoire officielle va s'appliquer à oublier.

Une histoire de la France coloniale ? Pour quoi faire ? Pour compléter les histoires de la France rurale, de la France citadine, de la France religieuse ? Pour renouveler l’histoire des colonies françaises écrite selon la mode des années 1930 ? Pour écrire enfin une histoire scientifique à partir des documents d’archives et des recherches universitaires récentes ?

Ce livre, rédigé par une équipe de professeurs d’université spécialistes de l’histoire coloniale moderne et contemporaine, se veut une histoire qui soit autre chose qu’un naïf récit d’épopée ou un catalogue d’abominations colonialistes. Il apporte des réponses précises aux questions les plus difficiles : pourquoi la France a-t-elle, inlassablement, pendant cinq siècles, été tentée par l’aventure outre-mer et retenue par l’entreprise coloniale ? Quelles furent les motivations successives des acteurs anciens et des décideurs modernes ? Doit-on croire que les mobiles économiques, ou patriotiques, ou religieux, ou diplomatiques furent essentiels ? L’opinion française fut-elle enthousiaste, réservée ou indifférente ? L’imaginaire social, le goût de l’exotisme, l’attrait de la puissance et de la gloire ont-ils joué un rôle appréciable ? Sur ces questions : le rôle de l’Empire, le jeu politique, le processus de la décolonisation, les auteurs ont fait le point, de manière neuve et impartiale, cernant les réalités multiples d’un concept dont il était nécessaire de ressusciter la richesse.

La douceur des aubes du Val de Loire et le fracas des guerres d'Italie ouvrent les espoirs " anti-quisants " d'une Renaissance jusque-là médiévale.

Mais le XVIe siècle s'enfonce dans les nuits de massacre et d'incendie des interminables guerres de religion. Un court répit _ la " poule au pot " _ et une longue gestation dans le sang, la faim et les larmes marquent le début de la Monarchie absolue, que souligne la gloire apaisée de Versailles: elle réconcilie le roi et son peuple maintenant avide de tranquillité et de stabilité. Toute gloire, cependant, est éphémère...

Le XVIIIe siècle s'illumine du sourire du Régent, mais la douceur de vivre se mue rapidement en une ironie critique, celle des " philosophes ".

Quand l'immense prospérité commerciale et maritime de la France s'atténue en fin de siècle, un roi malchanceux _ en dépit du dernier rayon de gloire, qui est américain _ voit surgir les redoutables lendemains des journées révolutionnaires.

Que pensaient, comment étaient élevés et éduqués les rois qui ont gouverné l'Europe du Moyen Age à la Révolution ?

Qu'est-ce qu'une éducation princière ? D'un côté, dans la lignée de l'humanisme, elle doit former un "homme" dans toute la plénitude du terme, le prince étant l'un des meilleurs de son futur royaume. De l'autre, les exigences de la royauté en font un métier, à la fois technique et polyvalent. Le destin des enfants-rois, depuis le XVe siècle jusqu'au XIXe, oscille entre les deux voies et c'est cette histoire décisive pour les nations européennes que Jean Meyer, au terme de dix ans de recherches, raconte ici. On y mesure le rôle des précepteurs jusqu'à l'enfance, puis des gouverneurs ; on découvre l'apprentissage du savoir-faire royal, de ses fastes et de ses contraintes ; on comprend les incidences de la mort précoce des parents qui, chez Louis XIII, Pierre le Grand ou Charles XII de Suède, conduisent à une sorte d'auto-éducation ; on apprécie enfin la difficulté pratique des "prises de pouvoir" et des conflits de générations qu'elles traduisent. Au travers d'une étude sur la longue durée et sur l'ensemble de l'Europe, jamais tentée auparavant, se dessinent une manière nationale d'envisager la royauté, mais aussi des préoccupations communes - la civilité au temps d'Erasme, la place et le rôle des femmes, la sacralisation du pouvoir au XVIIe siècle et l'impact des Lumières.

Jean Meyer, professeur émérite à la Sorbonne, a notamment publié Bossuet (Plon, 1993) ; La Chalotais, affaires de femmes et affaires d'Etat sous l'Ancien Régime (Perrin, 1995) et de multiples travaux sur l'histoire maritime.

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