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Toutes les séries de Karel Čapek

12 livres
10 lecteurs

Tous les livres de Karel Čapek

Lorsque Jan van Toch, capitaine du navire hollandais Kandong Bandoeng, découvre, à l'ouest de Sumatra, au large de la petite île de TanaMasa, une espèce de salamandre douée d'une certaine forme d'intelligence et susceptible de l'aider dans l'exploitation des perles, il est loin d'imaginer que cette découverte sera à l'origine d'un bouleversement complet de l'ordre mondial. Et pourtant... Publié en 1936, lors de la montée du national-socialisme et du stalinisme, La Guerre des salamandres de Karel Capek brosse, avec un regard plein d'humour, une satire sans concession des individus et de la société.

Mêlant la parodie au récit fantastique, ce roman se révèle être, sous une apparente légèreté de ton, extrêmement lucide et sombre. Parmi les thèmes abordés, il s'attaque au capitalisme, au nationalisme, au militarisme mais aussi à la science, au journalisme et même à l'industrie du cinéma ! Inventeur du mot " robot ", Karel Capek compte parmi les principaux précurseurs de la science-fiction. La Guerre des salamandres, est une des excellentes et très actuelles anti-utopies du XXe siècle et certainement la plus drôle.

En 1936, tandis que la Seconde Guerre mondiale menace, l’écrivain tchèque Karel Capek (1890-1938) entreprend un voyage dans le Nord de l’Europe. Forêts à perte de vue, fjords échancrés, vaches noir et blanc, fermes rouges,myriade d’îles ponctuent sa traversée du Danemark, de la Suède et de la Norvège. Au fil du récit, derrière une naïveté feinte et un lyrisme tempéré, où affleurent une tendre ironie et un humour mordant, se profile le portrait troublant, éblouissant de nature et de lumière, d’un continent en sursis. Car, en route vers le cap Nord, Capek pressent la fin d’une époque et dessine une Europe qui, bientôt, sombrera dans le chaos.

L'industriel Bondy apprend qu'une importante découverte a été faite par un de ses amis d'enfance. Il s'agit d'un "carburateur" capable de briser les atomes du charbon et de multiplier à peu de frais la production d'énergie. Mais ce procédé inédit libère l'essence divine jusqu'alors enfermée dans la matière. Commercialisés à travers le monde entier par Bondy, les carburateurs provoquent d'étranges phénomènes : les athées deviennent croyants, les riches donnent leurs biens aux pauvres, d'autres encore font des miracles... Bientôt un conflit mondial paraît inévitable... Comme dans La Guerre des salamandres, Karel Capek (1890-1938) se révèle, à travers ce texte, écrit en 1922, un représentant original du roman utopique en même temps qu'un maître novateur de la prose tchèque moderne. "On chercherait peut-être en vain dans la grande littérature d'aujourd'hui une œuvre de ce calibre, qui fasse à la fois réfléchir et rire à propos de problèmes cruciaux comme, les nationalismes abusifs et meurtriers, les lois perverties de l'économie moderne, la terreur politique, tout en abordant au passage d'autres thèmes comme le racisme, le fanatisme, l'information, et bien d'autres qui sont pour nous, hommes de la fin du XXe siècle, des sujets d'interrogation quotidienne." Alain van Crugten, Transcultures.

Quel est ce curieux spécimen humain aux mains vertes ? Sous forme d'almanach, Capek observe avec humour et tendresse les manies du jardinier, partageant son effort et ses émerveillements au gré des floraisons. Cette promenade poétique de janvier à décembre est devenue un classique.

La population est atteinte d'une sorte de lèpre qui se manifeste par des taches blanches sur la peau de personnes âgées de plus de quarante-cinq ans. Les malades n'en ont plus que pour quelques semaines à vivre, dans des douleurs horribles. Le docteur Galen trouve le remède mais refuse de soigner les riches avant que la paix mondiale ne soit instaurée. Le Maréchal qui impose au pays sa dictature et sa politique guerrière est victime, à son tour, du mal et finit par céder, pour ne pas mourir, aux conditions du docteur. Lorsque celui-ci lance à la foule " Non à la guerre ! Non à la guerre ! ", elle se déchaîne contre le " traître ", le tue et piétine le précieux médicament

Dachenka : « vertébré de l’ordre des carnivores coquins et canins, sous-ordre des endiablés, genre des fureteurs, famille des farceurs, variété des facétieux à oreilles noires ». Avec humour et tendresse, Karel Capek nous conte comment l’arrivée de cette petite boule de poils va changer le fil de son quotidien et de celui de son foyer. L’écrivain tchèque décide alors d’observer et d’étudier le développement de cette furie canine. Il la raconte, la décrit, la dessine et se mettra même au défi de parvenir à la photographier, allant jusqu’à lui inventer des contes afin qu’elle reste tranquille. Facéties, espiègleries et badineries s’enchaînent dans ce récit — prisé par plusieurs générations de lecteurs tchèques —, qui séduira aussi bien les petits que les grands.

Quatre pas dans le monde étrange de l'avenir imaginaire.

Les trois premiers, en compagnie de J.H Rosny aîné, de Rudyard Kipling et de Jules verne, sont une courte promenade dans une sorte de futur passé. Mais le dernier, avec Karel Capek, mène vers un futur qui reste à venir.

En dehors de leur qualité littéraire, leur valeur philosophique, leur puissance d'évocation témoignent de ce « sens de l'émerveillement » qui a toujours fait l'attrait de ces incursions dans l'Etrange.

Artiste d une exquise sensibilité à la longue crinière rebelle, le compositeur Foltyn voue à la musique un amour passionné. Époux d une jeune héritière, il ne manque à son bonheur qu un peu d inspiration. Partant du principe que ce que l on n a pas, on l achète ou le vole, Foltyn soudoie ou plagie plus talentueux que lui. Dernier roman de Capek, ce texte d une drolerie irrésistible nous fait découvrir toute l étendue de l indignité du pauvre Foltyn au travers des témoignages successifs de ses proches, de ses amis ou de ses créanciers au sens artistique du terme.

Ces 29 "récits apocryphes" ont été écrits par Capek entre 1920 et 1938. Chacun des récits, à quelques exceptions près, est centré autour d'un personnage historique ou semi-légendaire bien connu de tous. Réfutant le plus souvent les notions transmises par l'histoire, Capek nous montre ce personnage sous des côtés intimes, parfois inattendus, nous expose les mobiles de ses actes, en fait une étude psychologique tournant à la satire. l'humour domine dans la plupart des récits, mais certains sont empreints également d'une grande tendresse et d'un grand amour de l'homme. La vision personnelle de l'auteur leur donne une forte résonance d'actualité. Ces récits sont groupés, dans l'édition finale, selon l'ordre chronologique de l'apparition des personnages dans l'histoire.

Présentation de l'éditeur

Tout juste fiancé à l'actrice Olga Scheinpflugova, Karel Capek fait la rencontre de Vera Hruzova, une jeune étudiante belle et brillante, fille d'un éminent professeur de l'université de Brno et elle-même mariée. Fasciné par la jeune femme, Capek entretiendra avec elle une longue correspondance. Dans ses lettres à la fois touchantes et pleines d'humour, il se confie et fait état de sa démarche littéraire, de son mal-être et de son désarroi face à la montée du fascisme. Un témoignage bouleversant.

Un scientifique invente un robot que ses successeurs perfectionnent et produisent en masse. Les robots s'imposent dans la société comme une force de travail extraordinaire et les hommes, devenus anachroniques et inutiles, sont condamnés à l'inactivité et à l'oisiveté. L'humanité tombe en décadence et les robots se révoltent. Un roman visionnaire où apparaît pour la permière fois le mot robot.

(Nouvelle édition prévue en français: le 17/02/2011)

Lettres d'Angleterre relatent le premier voyage de l'écrivain tchèque sur les îles Britanniques où il fut invité en 1924 à l'occasion de la tenue du congrès national du PEN Club et de l'ouverture de la British Empire Exhibition. Karel Capek commence par découvrir Londres et les Londoniens avec un étonnement quasi constant. Il rend compte, avec esprit, de ses visites dans les nombreux musées ou profite de rencontrer et de croquer entre-autres H.G. Wells, G.-K. Chesterton et G.B. Shaw. Il découvre également les clubs et le rôle de premier plan que ceux-ci jouent dans la vie sociale et intellectuelle outre-Manche. Mais à ses yeux l'Angleterre apparaît d'abord comme un magnifique et immense jardin. Sa traversée de la country passe par des petites villes, Cambridge et Oxford, la visite des cathédrales, avant de s'embarquer pour l'Ecosse, le pays de Galles et l'Irlande. Critique face au Progrès et remarquablement lucide, Capek décrit son voyage avec une ironie caractéristique de l'esprit pragois et un humour attachant et délicat qui lui est propre et qui, loin de se réduire à un jeu stérile, concourt à mettre en valeur l'étonnante richesse et la pénétrante finesse de sa pensée. Ce récit de voyage désopilant signe la rencontre entre l'un des écrivains les plus éminents des lettres tchèques et la mystérieuse Angleterre, pays des paradoxes. On s'accorde avec Arthur Miller : "C'est une joie de le lire".

Résumé

Sur une petite île à l’ouest de Sumatra, le capitaine Van Toch découvre une colonie de salamandres, hautes d’environ un mètre, êtres paisibles et un peu étranges. Leur capacité de travail et d’apprentissage, leur intelligence et leur mimétisme en font une main-d’œuvre qualifiée très bon marché. Le riche homme d’affaires Bondy s’engage dans l’exploitation industrielle de ce peuple au sein d’une économie mondialisée… Les salamandres se développent. Asservies, exploitées, elles finissent par se révolter jusqu’à vouloir étendre leur espace vital au détriment des continents, et changer radicalement la géographie de la Terre. L’épopée folle et absurde des salamandres et des hommes les mènera à leur chute commune.

Rossum, un scientifique génial, a inventé un robot à l’apparence humaine, adapté par l’usine Rossum’s Universal Robot pour en faire un parfait travailleur dénué de sensibilité, de sentiments et des prétentions humaines qui nuisent à la productivité. Il est désormais produit en masse et l’usine R.U.R. inonde le monde de ces spécimens, force de travail peu coûteuse remplaçant peu à peu la main d’œuvre humaine, puis les soldats. Cependant les hommes, devenus inutiles, perdent leur capacité à procréer. De leur côté, suite à une légère modification de leur programme censée les rendre plus intelligents et polyvalents, les robots fomentent une révolte pour prendre le contrôle du monde et anéantir l’humanité.

Karel Capek fut l'un des rares écrivains tchèques à conquérir de son vivant une célébrité mondiale, qu'il dut principalement à son œuvre de dramaturge, et même surtout à une seule pièce, la célèbre r.U. r. (1920), dans laquelle il forgea un néologisme qui allait connaître une fortune prodigieuse : le robot.

Mais, loin de n'être qu'un dramaturge qui eut son moment de succès, Capek est l'un de ces auteurs protéiformes qui abordent avec un égal bonheur tous les exercices de la plume et peut être considéré comme le maître à penser de la Tchécoslovaquie de l'entre-deux-guerres.

Le météore se compose de trois récits concentriques cherchant à reconstituer l'histoire d'un homme dépourvu d'identité se trouvant sur un lit d'hôpital et dont on ignore tout au départ.

Mais ce qui est original ici est qu'aucun des trois récits n'a de fondement dans le réel. celui de la sœur de charité est un rêve, le deuxième est basé sur un don de voyance et celui du romancier est un exercice d'imagination. le tout est appuyé sur la connaissance scientifique représentée par les observations et déductions professionnelles du chirurgien et de l'interniste.

Tout en se conformant aux données précises fournies par ces observations, les trois récits se complètent en se recoupant sur un certain nombre de points.

Mais les contradictions apparaissent au fil de la lecture, car chacun des trois conteurs, prenant la parole à son tour, nous convainc qu'il détient la solution définitive de l'énigme.

Ce roman a plu à un vaste public ; comme pour Hordubal ou la guerre des salamandres, les lecteurs, passionnés par le monde à la fois réel et fantastique de Karel Capek, lui ont donné raison. répétons-le, ce n'est pas un hasard : l'ambition de Capek, chef de file de la culture d'une Tchécoslovaquie renaissante, était de combler autant que faire se pouvait le fossé entre la littérature et le peuple.

www.chapitre.com

Un noyau coincé dans la gorge d'un magicien, la disparition d'un royaume aquatique ou encore des lutins postaux jouant aux cupidons, c'est le monde fantaisiste des contes pas comme les autres.

Des empreintes qui s’arrêtent soudainement dans la neige, un homme qui a pour seul tort de paraître suspect, un voleur de cactus qui disparaît à l’autre bout du monde, un poète qui se transforme en détective, Dieu qui apparaît comme témoin de la justice humaine, une cellule de prison dont les occupants se repentent, un cadavre retrouvé dans une valise déposée à la consigne d’une gare… Dans ces quarante-huit nouvelles, dont plus de la moitié était inédite en français, Karel Čapek mêle l’ordinaire à l’extraordinaire, l’humour à la satire.

Les Contes d’une poche et d’une autre poche, qui relèvent du genre policier avant l’heure, dissèquent la vérité et jouent avec notre capacité à juger. Crimes, disparitions, énigmes, mystères, enquêtes, ces textes en forme de paraboles continuent de nous hanter longtemps après leur lecture.

L’ère des robots est déjà là !

Isolée sur une île, l’usine R.U.R. s’est lancée dans la production d’êtres humains artificiels. Semblables à des androïdes, ces « robots » performants et dénués de tout sentiment sont censés libérer enfin l’Homme du travail ! Un rêve pour le directeur, une abomination pour Helena qui découvre ces créatures avec effroi en visitant les chaînes de production. Troublée par leur aspect humanoïde, cette jeune femme a un mauvais pressentiment. Les robots sont-ils aussi insensibles qu’on le pense ? Méconnaissant l’amour, ignorant la mort, la fatigue ou l’ennui, ils finissent cependant par ressentir la douleur après une nouvelle programmation ! Imperturbables, ils continuent néanmoins d’obéir aveuglément… Les années passent et les inquiétudes d’Helena persistent alors que la Société s’est désormais habituée aux robots. Devenus indispensables, leur nombre augmente. Mais vont-ils rester impassibles longtemps ? Ressentent-ils des émotions, des passions, de la haine ? Tandis qu’une rébellion des robots aussi inattendue que brutale s’annonce, leurs créateurs se retrouvent pris au piège dans leur propre usine. L’Humanité vit-elle ses dernières heures face à une nouvelle ère des robots ?

Katerina Cupová, jeune prodige de la bande dessinée tchèque, nous propose une adaptation somptueuse de R.U.R., œuvre fondatrice dans laquelle le mot « robot » est apparu pour la première fois en 1920 ! Pièce de théâtre de l’écrivain Karel Capek qui compta Antonin Artaud parmi ses premiers interprètes, cette dystopie sociale aborde un thème largement repris depuis, mais auquel le roman graphique, captivant et moderne, redonne un coup d’éclat. Offrant une réflexion sur les notions de travail, de progrès, l’ouvrage nous questionne ainsi sur notre propre humanité. Le style graphique de l’autrice, élégant et coloré, annonce définitivement l’émergence d’un nouveau talent.

(Résumé éditeur - Glénat)

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