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Toutes les séries de Margaret Atwood

2 livres
3 014 lecteurs

Devant la chute drastique de la fécondité, la république de Gilead, récemment fondée par des fanatiques religieux, a réduit au rang d’esclaves sexuelles les quelques femmes encore fertiles. Vêtue de rouge, Defred, « servante écarlate » parmi d’autres, à qui l’on a ôté jusqu’à son nom, met donc son corps au service de son Commandant et de son épouse. Le soir, en regagnant sa chambre à l’austérité monacale, elle songe au temps où les femmes avaient le droit de lire, de travailler… En rejoignant un réseau secret, elle va tout tenter pour recouvrer sa liberté.

Paru pour la première fois en 1985, La Servante écarlate s’est vendu à des millions d’exemplaires à travers le monde. Devenu un classique de la littérature anglophone, ce roman, qui n’est pas sans évoquer le 1984 de George Orwell, décrit un quotidien glaçant qui n’a jamais semblé aussi proche, nous rappelant combien fragiles sont nos libertés. La série adaptée de ce chef-d’oeuvre de Margaret Atwood, avec Elisabeth Moss dans le rôle principal, a été unanimement saluée par la critique.

« Les meilleurs récits dystopiques sont universels et intemporels. Écrit il y a plus de trente ans, La Servante écarlate éclaire d’une lumière terrifiante l’Amérique contemporaine. » Télérama

3 livres
167 lecteurs

Un monde, le nôtre, dans un futur pas si lointain... Un monde dévasté à la suite d'une catastrophe écologique sans précédent, où se combinent des conditions climatiques aberrantes, des manipulations génétiques délirantes et un virus foudroyant prompt à détruire l'ensemble de l'humanité. Esseulé au cœur de cet enfer aseptisé et visionnaire, digne de 1984 et d’Orange mécanique, un homme, Snowman, est confronté à d'étranges créatures génétiquement modifiées, les Crakers, une nouvelle race d' « humains » programmés pour n'être sujets ni à la violence, ni au désir sexuel, ni au fanatisme religieux. Tel un Robinson futuriste, il doit lutter pour sa survie et celle de son espèce. Au risque d’y perdre son âme...

Tous les livres de Margaret Atwood

Marian se cherche, irrésolue. Depuis qu'elle est fiancée, chez elle tout se détraque. Si elle s'en sort à peu près avec Peter son supposé futur mari, ainsi qu'avec son travail d'opératrice en marketing, le fait de ne plus pouvoir s'alimenter lui pose un problème d'une tout autre ampleur. Moins elle peut avaler, plus elle se sent elle-même dévorée : comme si, de membre ordinaire de notre société de consommation, elle se retrouvait dans la peau d'un de ses produits... Jusque-là inédit en France, ce premier roman subversif et d'une drôlerie grinçante contient déjà tout ce qui fera de Margaret Atwood la plus grande romancière canadienne contemporaine de l'imagination à revendre, une construction narrative brillante et un style plein d'humour, d'ironie et de justesse.

Aux confins du Canada, à la frontière des Etats-Unis, une jeune femme se rend, avec son compagnon et un couple d'amis, sur l'île où elle vécut enfant, pour retrouver son père qui a disparu.

Leur séjour se prolonge en un huit clos étrange, tandis que la narratrice s'engage dans la recherche du père, jusqu'à s'engloutir sur les traces de l'absent. Au terme de cette plongée dans la quête des origines, l'héroïne pourra " faire surface ", s'éveiller à une nouvelle vie, lavée des vieilles terreurs et des névroses de l'enfance, libérée du factice et rendue à la réalité du monde sensible. Un roman fondateur par l'auteur de " La Servante écarlate " et " Œil-de-chat ".

Adolescente obèse devenue une jeune femme mince et séduisante, écrivain reconnu, auteur sous pseudonyme de romans à l’eau de rose, épouse effacée dont le mari ne connaît ni le passé, ni les pulsions, Joan a le sentiment de vivre des existences multiples qu’elle n’arrive jamais à harmoniser. Perdue dans ses contradictions et ses mensonges, elle songe à mettre en scène sa propre mort.

Car c’est l’histoire d’une quête d’identité que raconte ici à la première personne la romancière de La Voleuse d’hommes, personnalité de premier plan du roman canadien d’aujourd’hui. Des rives du lac Ontario à l’Italie, c’est souvent en souriant que nous suivons les tribulations d’une héroïne lucide et drôle, affolée et audacieuse, qui sait porter un regard ironique sur elle-même.

A mi-chemin entre la comédie de moeurs et le drame psychologique, ce roman de la grande dame des lettres canadiennes met à nu l'incessante guerre des sexes que se livrent plusieurs personnages plongés dans un tourbillon de sentiments. Elizabeth, conservatrice dans un musée d'histoire naturelle, femme de pouvoir toute de sensualité maîtrisée et de colère rentrée, collectionne les amants... Nate, son mari, ancien avocat, un rêveur qui adore les enfants, s'est reconverti dans l'artisanat (il crée des jouets en bois dans son garage)... Lesje, jeune paléontologue, se laisse séduire par le charme un peu falot de Nate ; plus accoutumée à l'étude des dinosaures qu'à la complexité des êtres humains, elle songe à "la vie avant l'homme"... Lorsque Chris, l'amant d'Elizabeth, se suicide et que Lesje tombe enceinte, chacun est renvoyé à ses démons. Avec un humour féroce et une douce mélancolie, Atwood pénètre le coeur d'hommes et de femmes dont les aspirations n'arriveront jamais à se joindre : une cinglante anatomie du mariage moderne.

Un roman puissant et magistralement conçu, c'est l'histoire de Rennie Wilford, un jeune journaliste dont la vie a commencé à voler en éclats . Rennies'envole vers les Caraïbes pour récupérer, et sur la petite île de Saint-Antoine, elle est confrontée à un monde où ses règles de survie ne sont plus applicables. Tour à tour comique, satirique, sans relâche, et terrifiant, ce livre est finalement une exploration de la soif de pouvoir, à la fois sexuelle et politique, et la nécessité de la compassion qui va au-delà de ce que nous entendons par l'amour normalement.

À l'occasion d'une rétrospective de son travail dans une galerie, Elaine Risley, une artiste-peintre controversée, retourne à Toronto sur les lieux de son enfance. Hier puritaine et grise, aujourd'hui éclatante de la lumière des néons, la ville provoque chez Elaine un choc qui fait rejaillir les souvenirs de son enfance. Pendant la semaine qu'elle y passe, l'attention d'Elaine, et celle du roman, se concentrent sur le passé et sur l'introspection. Et au milieu des images diverses qui remontent à la surface de sa mémoire, revient celle qui a peut-être le plus pesé sur son destin : l'image de Cordelia, son amie d'enfance, sa tourmenteuse, son double.

Entre passé et présent, la vie de la narratrice se dévoile et l'on suit les premières années de son arrivée à Toronto. Là, Elaine rencontre Carole, Grace et Cordelia. Ensemble, les petites filles mettent en place un monde à elles, loin des préoccupations des adultes et où se jouent des tragédies silencieuses, des drames étouffés. Puis les années passent et Elaine continue son chemin, mais garde en elle le souvenir de cette période étrange, où s'enracine sa mémoire et ses oublis, et qui est le terreau dans lequel s'inscrit son art.

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Avec ce magnifique roman de formation, Margaret Atwood fait tourner devant nous son œil-de-chat, cette bille fétiche, où se trouve reflétée la vie de toutes les femmes, de toutes les petites filles qu'elles ont été.

Trois amies déjeunent ensemble dans un restaurant à la mode. Elles se sont rencontrées étudiantes, se sont croisées, consolées et retrouvées à travers les années. Bien que très différentes, elles ont en commun de haïr Zenia - créature éphémère et mystérieuse, au passé obscur, qui leur a volé à chacune leur homme, trahissant l'amitié et la confiance qu'elles lui avaient offerte. Depuis qu'elles ont appris sa mort par les journaux, les trois femmes respirent. Mais voilà que la porte du restaurant s'ouvre et que Zenia entre, en personne.

1945. Dix jours après la fin de la guerre, Laura se jette d'un pont au volant d'une voiture. Elle laisse à sa sœur aînée, Iris, un roman posthume au parfum de soufre, « Le Tueur aveugle ». Cinquante ans plus tard, Iris égrène ses souvenirs et raconte leur histoire… Avec en toile de fond la saga de notre siècle, le destin bouleversant de deux sœurs liées par des secrets de famille et des mensonges assassins. En se remémorant sa vie – et quelques morts mystérieuses –, Iris n'évoque pas seulement un passé complexe. Elle fait naître un lumineux univers romanesque que composent les couleurs vives et poignantes de la cruauté humaine, de l'amour et du péché.

Vous entendez mes pas qui s'approchent, je porte des bottes, j'ai un couteau, ou est-ce un revolver à crosse de nacre, dans tous les cas, je porte des bottes à semelles très souples, vous voyez la lueur cinématographique de ma cigarette, croissant et décroissant dans la brumaille de la pièce, même si je ne fume pas. Souvenez-vous seulement de ceci: lorsque le cri s'est enfin tu et que vous avez rallumé la lumière, selon les règles du jeu, je dois toujours mentir.

1859. Grace Marks, condamnée à perpétuité, tourne lentement en rond dans la cour d'un pénitencier canadien. À l'âge de seize ans, Grace a été accusée de deux meurtres horribles. Personne n'a jamais su si elle était coupable, innocente ou folle. Lors de son procès, après avoir donné trois versions des faits, Grace s'est murée dans le silence : amnésie ou dissimulation ? Le docteur Simon Jordan, jeune et prometteur spécialiste de la maladie mentale, veut découvrir la vérité. Il obtient l'autorisation de rencontrer Grace, de la faire longuement parler. Et Margaret Atwood dévide l'éblouissant fuseau des souvenirs de Grace, son enfance irlandaise, l'agonie de sa mère sur le bateau qui les emmène au Canada, ses emplois de domestique, la mort de sa seule amie, une petite bonne rusée... À écouter son récit, Grace n'a l'air ni démente ni criminelle, et pourtant, que sont ces troublants rêves qu'elle cache à Jordan : cauchemars, hallucinations ou réminiscences d'actes monstrueux ? Que signifient ces absences, ces crises de rage dont certains se sont prétendus témoins ?

Avec "Captive", dans la veine de "La Servante écarlate", un de ses plus grands succès littéraires, Margaret Atwood s'est inspirée d'un fait divers réel pour retracer l'un des destins les plus énigmatiques du milieu du XIXe siècle.

De Toronto à la campagne de l'Ontario, Nell a traversé le siècle la tête haute. Aujourd'hui, elle ouvre l'album photo de sa vie et se souvient : tour à tour sœur, fille, amante et mère. D'une nouvelle à l'autre se répondent anecdotes et moments cruciaux, tissant au final le patchwork inoubliable d'instantanés poignants et universels.

Deux enfants habitent dans un arbre.

Ils y dansent, ils y mangent, ils y dorment. Mais, de tout là-haut, surveillent-ils assez leur échelle ?...

« Le corps féminin type se présente muni des accessoires suivants : un porte-jarretelles, un panty, une crinoline, une camisole, une tournure de jupe, un soutien-gorge, un corsage, une chemise, une ceinture de chasteté, des talons aiguilles, un anneau dans le nez, un voile, des gants de Chevreau, des bas résilles, un fichu, un bandeau, une guêpière, une voilette, un tour de cou, des barrettes, des bracelets, des perles, un face-à-main, un boa, une petite robe noire, une gaine de soutien, un body en Lycra, un peignoir de marque, une chemise de nuit en flanelle, un teddy en dentelle, un lit, une tête. »

Sur un ton drôlatique, vingt-sept façons de tordre la réalité, les croyances de chacun, les habitudes de chacune, ou l'art de se dévisser le cou pour se regarder droit dans les yeux. Un régal de mise en pièces de nos mythes, des plus anciens aux actuels, sans compter quelques utiles conseils ou recettes tels que Rendons grâce aux sottes et Fabriquer un homme.

(Source : Le Serpent à plumes)

On n'est pas flatté ni bercé par ce livre, on est remué, heurté, travaillé moralement et physiquement par son exigence et son exaspération.

C'est la voix d'une femme consciente de son héritage puritain (ses ancêtres loyalistes émigrèrent d'abord de la Nouvelle-Angleterre vers la Nouvelle-Ecosse avant d'aller en Ontario) et c'est déjà la voix d'une féministe qui affirme son point de vue critique et sceptique sur le monde et sur les relations de couple. Poète, romancière et essayiste d'expression anglaise.

En France, peu de gens savent que la grande romancière canadienne Margaret Atwood écrit de la poésie. Mieux encore, que cette poésie constitue le terreau dans lequel s’enracine son œuvre romanesque. Dans Le Journal de Susanna Moodie, Margaret Atwood relate la vie d’une pionnière venue d’Angleterre au XIXème siècle. Susanna Moodie n’est pas un personnage de fiction, mais une figure emblématique de la nation et de la littérature canadiennes. Étrangère sans ressources, elle découvre la misère, la solitude, la vie sauvage dans les forêts du grand Nord, aux confins du rêve et de la folie. Si nous publions aujourd’hui ce recueil en France, c’est qu’il aborde des questions qui nous taraudent : la fragilité de la vie, l’identité nationale, la condition de l’immigrant.

La rétrospective d'une oeuvre, c'est un peu comme un trait tiré sur une vie... Devant ses toiles exposées à Toronto, dans la galerie Sub-versions - clin d'oeil du destin ? -, Elaine retrouve l'univers mystérieux de son enfance, avec la présence obsédante de Cordelia. Cordelia ! Un prénom insensé, inspiré des pièces de Shakespeare. Une gamine odieuse, dont l'ambition est " d'améliorer " Elaine. Amie de coeur qui la tyrannise, lui fait subir les pires avanies. De cette emprise, Elaine viendra à bout. Mais Cordelia... jusqu'où vont la conduire ses caprices ? Vers quelle folie ? Quel égarement ? Souvenirs, souvenirs... Comme une escapade, un bouquet de pétales colorés, talisman précieux à l'image de l'oeil-de-chat, cette bille fétiche de notre enfance... --Ce texte fait référence à une édition épuisée ou non disponible de ce titre.

Généreuse, troublante, pleine de compassion, cette poésie émane du coeur de l'expérience humaine et cherche l'équilibre entre le monde lumineux de la mémoire et les réalités de tous les jours, entre la capacité de pénétrer et la force de pardonner.

Pour la première fois proposés en traduction française, les textes présentés dans cet ouvrage sont tirés de deux recueils d'essais, Second Words et Moving Targets, qui rassemblent des écrits publiés respectivement de 1971 à 1982 et de 1982 à 2004.

On retrouve dans ces deux recueils des textes de différentes natures comptes rendus de livres récemment publiés, textes de conférences ou d'allocutions, présentations et préfaces, commentaires destinés aux journaux. A travers les nombreux sujets abordés (le Nord, les campagnes napoléoniennes, le jardinage, pour n'en nommer que quelques-uns), la romancière se plaît à explorer, au fil des années, des thèmes et des questions qui la préoccupent tout particulièrement, et qu'elle reprend pour les examiner sous une lumière chaque fois un peu différente.

C'est ainsi qu'elle se penche sur l'identité canadienne et son rapport à l'Amérique, cherche à mettre au jour les liens qu'entretiennent passé, mémoire, et fiction, s'interroge sur les difficultés propres au fait d'être une femme écrivain et sur la nature même de l'écriture, tour à tour décrite comme un métier, une technique, un art, une vocation. Ces essais dont la rédaction s'étend sur plus de trois décennies permettent ainsi de suivre l'évolution de Margaret Atwood à travers ses lectures, ses interrogations, ses réflexions sur des questions qui, quelque éloignées qu'elles semblent les unes des autres, finissent par se rejoindre en ce qu'elles touchent à notre fondamentale humanité.

Parfois graves, parfois légers, d'une justesse toujours implacable, ils jettent un éclairage neuf et privilégié sur une œuvre qui figure parmi les plus importantes de la littérature non seulement canadienne, mais mondiale.

Le moteur du présent livre, c'est la curiosité - la mienne - ainsi que l'espoir que je caresse d'explorer par l'écriture un sujet que je connais mal, mais qui, pour cette raison même, m'intrigue. Ce sujet, c'est la dette. Les pages qui suivent ne portent pas - même s'il en sera peut-être question au passage - sur les dettes les plus sordides : les dettes de jeu et les vendettas mafieuses, ou les mélodrames dans lesquels des créanciers se triturent la moustache et invoquent le loyer en retard pour forcer de splendides jeunes femmes à coucher avec eux. Le pré-sent livre a plutôt pour objet la dette comme construction humaine, et donc comme construction imaginaire, laquelle reflète et amplifie des peurs insondables et des appétits voraces, aussi humains les uns que les autres. Les écrivains écrivent sur ce qui les inquiète, affirme Alistair MacLeod. Et sur ce qui les intrigue, me permettrai-je d'ajouter. Le sujet du présent livre est l'un des plus inquiétants et des plus curieux que je connaisse, soit le carrefour où l'argent, les récits et la croyance religieuse se croisent, parfois avec une force explosive.

Short stories following the life of a single character whom is reflecting on the state of the world as a girl, as a young women, and then as a half of a couple no longer young.

Quite funny, lyrical, incisive and maybe shocking but also deeply personnal.

Le nouveau chef-d'oeuvre de Margaret Atwood, l'auteure de La Servante écarlate.

Stan et Charmaine ont été touchés de plein fouet par la crise économique qui consume les États-Unis. Tous deux survivent grâce aux maigres pourboires que gagne Charmaine dans un bar sordide et se voient contraints de loger dans leur voiture... Aussi, lorsqu'ils découvrent à la télévision une publicité pour une ville qui leur promet un toit au-dessus de leurs têtes, ils signent sans réfléchir : ils n'ont plus rien à perdre.

À Consilience, chacun a un travail, avec la satisfaction d'oeuvrer pour la communauté, et une maison. Un mois sur deux. Le reste du temps, les habitants le passent en prison... où ils sont également logés et nourris ! Le bonheur. Mais le système veut que pendant leur absence, un autre couple s'installe chez eux avant d'être incarcéré à son tour. Et Stan tombe bientôt sur un mot qui va le rendre fou de désir pour celle qui se glisse entre ses draps quand lui n'y est pas : " Je suis affamée de toi. "

Avec C'est le coeur qui lâche en dernier, Margaret Atwood nous livre un roman aussi hilarant qu'inquiétant, une implacable satire de nos vices et travers qui nous enferment dans de viles obsessions quand le monde entier est en passe de disparaître.

(Source : Robert Laffont)

Margaret Atwood’s Good Bones and Simple Murders (published originally as Murder in the Dark) are now available together in this beautiful one-volume collector’s edition. This compilation is a concentrated burst of the trademark wit and virtuosity of Atwood’s bestselling novels, brilliant stories, and insightful poetry. Among the miniatures gathered here are Gertrude offering Hamlet a piece of her mind, the real truth about the Little Red Hen, a reincarnated bat explaining how Bram Stoker got Dracula all wrong, and five home-economist methods of making a man. Atwood has fashioned an enthralling collection of parables, monologues, prose poems, condensed science fictions, reconfigured fairy tales, and other diminutive masterpieces, punctuated with charming illustrations by the author.

A feast of comic entertainment, Good Bones and Simple Murders is Atwood at her wittiest, most thoughtful, and most provoking.

One of the world’s most celebrated authors, Margaret Atwood has penned a collection of smart and entertaining fictional essays, in the genre of her popular books Good Bones and Murder in the Dark, punctuated with wonderful illustrations by the author. Chilling and witty, prescient and personal, delectable and tart, these highly imaginative, vintage Atwoodian mini-fictions speak on a broad range of subjects, reflecting the times we live in with deadly accuracy and knife-edge precision.

In pieces ranging in length from a mere paragraph to several pages, Atwood gives a sly pep talk to the ambitious young; writes about the disconcerting experience of looking at old photos of ourselves; gives us Horatio's real views on Hamlet; and examines the boons and banes of orphanhood. “Bring Back Mom: An Invocation” explores what life was really like for the “perfect” homemakers of days gone by, and in “The Animals Reject Their Names,” she runs history backward, with surprising results.

Chilling and witty, prescient and personal, delectable and tart, The Tent is vintage Atwood. Enhanced by the author’s delightful drawings, it is perfect for Valentine’s Day, and any other occasion that demands a special, out-of-the-ordinary gift.

Par une nuit noire, un jeune ingénieur en génétique est accidentellement muté par sa propre expérience lorsque son ADN est fusionné avec celui d’un chat et d’un hibou ! Devenu une créature hybride, il peut désormais voler et voir dans le noir, mais a aussi une fâcheuse tendance à dormir le jour et à manger des souris ou des petits oiseaux vivants. Nouvelles aptitudes, nouvelles habitudes, pour le meilleur et pour le pire... comment va-t-il gérer cette soudaine transformation ?

Angel Catbird est la première bande dessinée scénarisée par la romancière Margaret Atwood ! L’autrice du chef-d’œuvre La Servante écarlate – qu’on a récemment découvert à travers l'adaptation remarquée en série TV The Handmaid’s Tale – joue de sa merveilleuse écriture avec les codes du comics pour nous livrer une aventure enlevée, pleine de rebondissements et d’humour, qui brosse des thématiques aussi vastes et profondes que le dépassement de soi, l’éthique scientifique, la tolérance et l’amour.

1859 : Grace Marks, condamnée à perpétuité, s'étiole dans un pénitencier canadien. A l'âge de seize ans, Grace a été accusée de deux horribles meurtres. Personne n'a jamais su si elle était coupable, innocente ou folle. Lors de son procès, après avoir donné trois versions des faits, Grace s'est murée dans le silence : amnésie ou dissimulation ? Le docteur Simon Jordan veut découvrir la vérité. Gagnant sa confiance, Jordan découvre peu à peu la personnalité de Grace, qui ne semble ni démente ni criminelle. Mais pourquoi lui cache-t-elle les troublants rêves qui hantent ses nuits ? Inspiré d'un sanglant fait divers qui a bouleversé le Canada du XIXe siècle, Margaret Atwood nous offre un roman baroque où le mensonge et la vérité se jouent sans fin du lecteur.

In this collection, Atwood explores the politics of sex and heterosexual relationships, examining the emotions, betrayals, and casualties of such relationships. Four of the stories in the collection depart from this theme to instead present presumably autobiographic ruminations on the narrator's childhood influences. The majority of these stories are set in downtown Toronto.

Qu'est-ce qui fait déraper une existence? Un souvenir, une rupture, la prise de conscience soudaine que tel événement était plus important qu'il n'a paru d'abord? Pourquoi, par un beau jour, un ressort se grippe-t-il, donnant soudain à nos vies un tour inattendu, un goût doux-amer, lucide et ironique à la fois? C'est à ces questions que Margaret Atwood tente de répondre à travers les dix nouvelles qui composent ce livre, dont les protagonistes - hommes et femmes, femmes surtout - sont tous unis par cette expérience secrète.

" Depuis toujours nous étions tous deux, de notre propre aveu, des menteurs émérites et éhontés. " Ainsi Pénélope évoque-t-elle le couple qu'elle formait avec Ulysse - Pénélope qui, comme son époux, recourut à la ruse et à l'artifice pour sauver sa vie.

Selon Homère, Ulysse à son retour de Troie massacra tous les prétendants à son trône qui, en son absence, avaient courtisé son épouse. Mais il fit aussi pendre les douze servantes de Pénélope qu'il accusa de l'avoir trahi. Dans cette relecture originale du mythe grec que nous propose Margaret Atwood, Pénélope, hantée par la mort de ses servantes, raconte depuis les Enfers sa propre version de l'histoire, celle d'une femme, d'une épouse, d'une mère et surtout d'une reine bien plus lucide et plus forte que ce que les

Hors des murs de Consilience, quarante pour cent de la population est au chômage : c’est l’anarchie et le chaos. Consilience a restauré un nouvel ordre social et Stan et Charmaine font partie de ceux qui ont choisi de s’engager dans cette expérience audacieuse. En échange d’un toit, d’un travail et de ce que la brochure appelle « une vie chargée de sens », ils ont accepté l’incarcération volontaire un mois sur deux. Le mois où ils sont en prison, leur maison est habitée par un autre couple qu’ils ne connaissent pas. Tout fonctionne à merveille jusqu’au jour où Stan trouve un message érotique tamponné du rouge à lèvres de l’autre locataire…

Dans ce monde sous haute surveillance, les pensées désordonnées sont un risque et enfreindre les règles peut avoir de graves conséquences. La visionnaire Margaret Atwood, avec son mordant habituel, nous fait voyager dans ce monde dystopique où prédomine la paranoïa mais où le sexe est toujours roi.

Une écrivaine de fantasy récemment veuve se laisse guider à travers un hiver glacial par la voix de feu son époux. Une dame âgée, victime d'hallucinations, apprend peu à peu à accepter la présence des petits hommes qui ne cessent de surgir à ses côtés, tandis que des militants populistes se rassemblent pour mettre le feu à sa maison de retraite. Une femme née avec une malformation génétique passe pour un vampire. Un crime commis il y a longtemps se voit vengé dans l'Arctique par un stromatolithe vieux de 1,9 milliard d'années... Dans ce recueil composé de neuf contes poétiques et satiriques empreints d'une ambiance gothique, Margaret Atwood, la grande dame des lettres canadiennes, s'aventure dans des ténèbres explorées avant elle par des auteurs tels que Robert Louis Stevenson, Daphné Du Maurier ou Arthur Conan Doyle, ainsi que par elle-même, dans son roman adapté en une série TV unanimement saluée par la critique, "Captive".

William Shakespeare's The Tempest retold as Hag-Seed

Felix is at the top of his game as Artistic Director of the Makeshiweg Theatre Festival. His productions have amazed and confounded. Now he's staging a Tempest like no other: not only will it boost his reputation, it will heal emotional wounds.

Or that was the plan. Instead, after an act of unforeseen treachery, Felix is living in exile in a backwoods hovel, haunted by memories of his beloved lost daughter, Miranda. And also brewing revenge.

After twelve years, revenge finally arrives in the shape of a theatre course at a nearby prison. Here, Felix and his inmate actors will put on his Tempest and snare the traitors who destroyed him. It's magic! But will it remake Felix as his enemies fall?

Margaret Atwood’s novel take on Shakespeare’s play of enchantment, retribution, and second chances leads us on an interactive, illusion-ridden journey filled with new surprises and wonders of its own.

Margaret Atwood réécrit Shakespeare avec brio dans ce nouveau roman rocambolesque et savoureux. Une histoire de vengeance mais aussi de rédemption et surtout une réflexion sur le pouvoir infini de la littérature.

Injustement licencié de son poste de directeur du festival de Makeshiweg, au Canada, alors qu'il mettait en scène La Tempête de Shakespeare, Felix décide de disparaître. Il change de nom et s'installe dans une maisonnette au cœur de la forêt, pour y panser ses blessures, pleurer sa fille disparue. Et préparer sa vengeance.

Douze années passent et une chance de renaître se présente à Felix, l'occasion de donner des cours de théâtre dans une prison. Là, enfin, il pourra voir sa troupe de détenus jouer La Tempête, et tendre un piège aux traîtres qui l'ont détruit. Mais la chute de ses ennemis sera-t-elle suffisante pour permettre à Felix de s'élever à nouveau ?

Quand Margaret Atwood, l'auteure géniale de La Servante écarlate, se lance dans l'écriture de contes pour enfants, il y a peu de risques qu'on y croise les éternelles marâtres ou les princes charmants...

Ramsay en a marre du riz raboteux, des raviolis ridés et du rhinocéros à peine rosé ! Avec Ralph, le rat au nez rouge, ils décident de fuir leur résidence rectangulaire dans l'espoir d'un repas rafraîchissant (Ramsay le rustre et les Radis rugissants). Bob est abandonné par sa brunette de mère, tandis que Dorinda subit les brimades de distants parents. Quand un buffl e désorienté saute la barrière du jardin botanique, leur duo déjoue un drame (Bob le bileux et Dorinda la déprimée). Vanda a vu ses parents s'évaporer dans un vortex. Capturée par la veuve Vallop, elle ne s'avoue pas vaincue. Avec Vesley la viscache, mais aussi les orphelins Vilkinson, Vu et Vanapitai, elle va se venger de la vile veuve et échapper à ses lavages sans fi n... (Vanda la vagabonde et la vertigineuse Laverie de la Veuve Vallop).

Double Persephone is a self-published poetry collection written by Canadian author Margaret Atwood in 1961. Atwood handset the book herself with a flat bed press, designed the cover with linoblocks, and only made 220 copies. It was the first publication ever released by Atwood, and comprises seven poems: "Formal Garden", "Pastoral", "Iconic Landscape", "Persephone Departing", "Chthonic Love", "Her Song", "and "Double Persephone".

In these marvelously wide-ranging essays, Margaret Atwood explores her lifelong relationship to science fiction, as a reader and as a writer. At a time when the borders between genres are increasingly porous, she maps the fertile crosscurrents of speculative and science fiction, utopias, dystopias, slipstream, and fantasy, musing on the age-old human impulse to imagine new worlds. She shares the evolution of her personal fascination with SF, from her childhood invention of a race of flying superhero rabbits to her graduate study of its Victorian antecedents to the creation of her own acclaimed novels.

Cette petite particule noire qui fonce vers l'horizon presque aussi vite que la lumière c'est moi.

A new book of poetry from internationally acclaimed, award-winning and bestselling author Margaret Atwood

In Dearly, Margaret Atwood’s first collection of poetry in over a decade, Atwood addresses themes such as love, loss, the passage of time, the nature of nature and - zombies. Her new poetry is introspective and personal in tone, but wide-ranging in topic. In poem after poem, she casts her unique imagination and unyielding, observant eye over the landscape of a life carefully and intuitively lived.

C'est l'histoire qui compte. Inutile de me dire que ce n'est pas une histoire, ou pas la même histoire. Je sais que tu as tenu toutes tes promesses, tu m'aimes, nous dormons jusqu'à midi et nous passons le reste de la journée à manger, la nourriture est superbe, je ne dis pas le contraire. Mais je m'inquiète pour l'avenir. Dans l'histoire, le bateau disparaît un jour à l'horizon, il disparaît tout simplement et on ne dit pas ce qui se passe alors. [...] Ne te dérobe pas, ne me fais pas croire que tu ne partiras pas : dans l'histoire tu pars, et l'histoire est sans pitié.

Offred is a Handmaid in the Republic of Gilead. She may leave the home of the Commander and his wife once a day to walk to food markets whose signs are now pictures instead of words because women are no longer allowed to read. She must lie on her back once a month and pray that the Commander makes her pregnant, because in an age of declining births, Offred and the other Handmaids are valued only if their ovaries are viable. Offred can remember the years before, when she lived and made love with her husband, Luke; when she played with and protected her daughter; when she had a job, money of her own, and access to knowledge. But all of that is gone now .

À l'occasion de la publication de Poèmes tardifs dans la collection « Pavillons », ce recueil de poésie inédit en France, écrit après des décennies de silence poétique, Circé et autres poèmes de jeunesse paraît dans la collection « Pavillons Poche ».

« Margaret Atwood, poète ? L'idée pourrait presque faire sourire, tant l'image de l'écrivaine s'est construite autour du roman et de ses prolongements au succès planétaire que sont les adaptations télévisées de Captive et de La Servante écarlate.

Mais les faits sont là : c'est par la poésie que Margaret Atwood est entrée en littérature au début des années 1960. Et elle n'a jamais cessé d'écrire de la poésie. De se référer à la poésie. D'habiter le monde en poète.

Circé et autres poèmes de jeunesse rassemble dix années de création poétique. Dix années d'éclosion, qui précèdent et accompagnent l'émergence de l'oeuvre romanesque. Dans le cycle de Circé sur lequel s'achèvent ces poèmes de jeunesse, Margaret Atwwod s'attache à la magicienne qu'Ulysse rencontre lors de son Odyssée, s'intéresse à la manière dont les femmes survivent dans les structures qui les déshumanisent. Et rêve pour elles d'un avenir meilleur. »

Bruno Doucey

« Voici un recueil de la poétesse canadienne Margaret Atwood qui saute au visage de celui qui le lit. Par ses mots, elle se saisit du parcours de Circé. Mais à sa manière : la Circé qui se dévoile ici nous semble inconnue. »

Loup Besmond de Senneville, La Croix

Life is hard enough for a teenage girl in 1950s suburbia without having a mother who may—or may not—be a witch. A single mother at that. Sure, she fits in with her starched dresses, string of pearls, and floral aprons. Then there are the hushed and mystical consultations with neighborhood women in distress. The unsavory, mysterious plants in the flower beds. The divined warning to steer clear of a boyfriend whose fate is certainly doomed. But as the daughter of this bewitching homemaker comes of age and her mother’s claims become more and more outlandish, she begins to question everything she once took for granted.

Dans ce recueil d'essais à la fois drôles, érudits, débordants de curiosité et étrangement prémonitoires, Margaret Atwood tourne son intelligence exceptionnelle et son humour espiègle sur notre monde et nous rend compte de ses réflexions. Elle revient sur le krach financier, l'ascension de Trump et la pandémie. De la crise climatique à la question de l'avortement, personne n'est plus à même d'interroger les mystères multiples et variés de l'humanité. Cette anthologie non seulement saisit parfaitement notre époque, mais nous en dit un peu plus sur la personnalité de l'autrice emblématique de La Servante écarlate, sur ses combats et sur les écrivains qu'elle affectionne, de Richard Powers à Doris Lessing en passant par Alice Munro.

Dans la république de Galaad, les femmes n'ont plus aucun droit. Vêtue de rouge, Defred est une « Servante écarlate » à qui l'on a ôté jusqu'à son nom. Réduite au rang d'esclave sexuelle, elle a été affectée à la famille du Commandant et de son épouse et, conformément aux normes de l'ordre social nouveau, met son corps à leur service. Car à une époque où les naissances diminuent, Defred et les autres Servantes n'ont de valeur que si elles sont fertiles. Sinon...

Dans une description d'une force peu commune, Defred se remémore le monde d'avant, quand elle était une femme indépendante, jouissant d'un emploi, d'une famille et d'un nom à elle. Aujourd'hui, ses souvenirs et sa volonté de survivre sont de véritables actes de rébellion.

Provocant, déconcertant et prophétique, La Servante écarlate est un phénomène mondial. Une adaptation graphique originale et stupéfiante du roman de Margaret Atwood, superbement illustrée par l'artiste Renée Nault.

Traduit de l'anglais (Canada) par Michèle Albaret Maatsch.

[Source : Éditions Robert Laffont 2021]

Le courage... Les Editions Bruno Doucey ne pouvaient rêver d'une thématique plus appropriée pour leur dixième anniversaire ! Non qu'il y ait une forme de bravoure à éditer des poètes, mais parce que toutes les valeurs portées par la maison depuis une décennie se trouve condensées en un seul terme drapé de lumière et de nuit : mettre du coeur à vivre et à chanter la vie, trouver la force de dire non, vivre en insoumis, se battre contre la maladie, surmonter le deuil, apprendre à fuir quand il le faut, oser être soi, se risquer vers l'autre, admettre sa fragilité, dépasser ses peurs, danser au bord du vide les bras tendus vers étoiles, et puis aimer encore, aimer à perdre la raison. En " dix variations sur le courage et un chant de résistance ", cette anthologie scelle un pacte avec la vie.

Un recueil de nouvelles remarquable, explorant des sujets comme la famille, le couple, le deuil et la mémoire, avec la justesse, l’audace et l’humour qui la caractérisent l'autrice emblématique de La Servante écarlate.

On retrouve, au fil de ces quinze textes très personnels, deux sœurs évoquant le passé, un couple à l’épreuve du temps, mais aussi des chats, un escargot perdu, Martha Gellhorn, George Orwell, le philosophe et astronome Hypatie d’Alexandrie, une cabale de vieilles universitaires, un extraterrestre, ou encore une fille cherchant à comprendre si sa mère est véritablement une sorcière.

Pour la première fois depuis la parution de Neuf Contes, Margaret Atwood se tourne à nouveau vers la nouvelle, à travers ce recueil emprunt d’une grande humanité, qui, tour à tour, émerveille, illumine ou bouleverse.

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