Mélissa Da Costa

Mon premier Melissa Da Costa !!!!

Quelle claque !

Je suis tout abasourdi, je n'ai pas pu lâcher le livre à la fin... J'étais comme littéralement scotché au livre, les pages défilaient sans s'arrêter jusqu'à la dernière citation de Paulo COELHO «Chaque jour porte en lui l’Éternité» !

cette histoire débute avec Émile, le jeune homme apprend du jour au lendemain que sa vie se écoutée, en effet il est atteint d'un Alzheimer précoce !

du jour au lendemain, il décider de quitter sa famille, son travail et de vivre au jour le jour en visitant les Pyrénées.

Pour ceci, 2 choses : la première acquérir un camping car afin d'être autonome et la seconde se trouver un compagnon d'aventure à l'aide d'une annonce passée dans un journal.

Nous voilà parti avec Émile et Joanne sur les routes... Ils connaîtront des moment de solitude l'un envers l'autre, puis des moments de découvertes, de joie, de tristesse, de bienveillance, d'amour, de stupeur, de tristesse...

Je vous laisse lire et découvrir ce super roman de Mélissa Da Costa qui est un onde à Vie malgré le sujet traité... Les nombreuses citations savent nous apporter du peps et nous rebooster...

Bonne lecture en espérant que vous en tiriez des moments de joie et qu'elle vous apporte la joie dans la Vie.

Olivier

Waouh, une très belle histoire de 2 personnages attachants de par leurs vécus qui s'élèvent l'un et l'autre.

La tristesse m'a envahie durant la lecture mais aussi l'apprentissage de l'exploration du soi.

La vie est courte

Un livre absolument incroyable, je l'ai acheté sans lire la 4eme de couverture

Une histoire toute en découverte à faire pleurer

Encore une pépite ce livre

On vous conte l'histoire un enfant en bas âge, qui va trouver son quotidien bouleversé quand sa maman va lui raconter un secret, elle va partir pour la planète Uranus, mais il faut le dire à personne. Mais ceci serait ce une façon d'expliquer une bien triste nouvelle à un enfant. Y a-t-il une bonne façon pour en parler à ses enfants ?

On est du point de vue uniquement de l'enfant, Arthur, qui a 5 ans, et c'est hyper touchant de voir son innocence dans ses réactions mais aussi toute l'intelligence,quand il décrypte une scène à laquelle il assiste, et tous cela avec ses mots d'enfant et ces questions.

Ce roman est une pure merveille où se mêle l'innocence de l'enfance, les épreuves de la vie, la maladie, la mort, le bonheur et le malheur, la vie d'après, la façon d'annoncer un départ de cette Terre, toutes ces attentions de nos proches qui peuplent nos vies, d'actes courageux, mais aussi du pouvoir de la vie de donner et reprendre à chaque jour qui passent.

Un roman qui m'a fait pleurer, tant le sujet du deuil est abordé d'une belle façon, aussi belle et terrible qu'il soit, une sorte de message pour dire qu'il n'y a pas de façon de dire aurevoir, mais que après la perte d'un être cher, il faut se raccrocher à tous les petits et grands bonheurs de la vie.

Un coup de cœur

Une lecture troublante, belle et émouvante.

On est en droit de se poser la question : les vérités sont-elles toujours bonnes à dire ?

Dans ce cas précis, une maman choisi le mensonge, mais un mensonge pour aider son petit bonhomme à dépasser l'inadmissible à savoir la perte de sa maman. Elle enjolive sa disparition future en l'imprégnant de poésie. Sur l'instant présent Arthur croit à toutes ces explications somme toute assez farfelues mais qu'adviendra-t-il quand la vérité éclatera en lui ?

Certes le mensonge est condamnable mais que ne ferions-nous pas pour préserver ceux que l'on aime plus que tout !

J'ai laissé tomber dès les premières pages que j'ai commencé à lire en diagonales .

Si c'est 800 pages d'ambiance " cliché " comme le début , oulala...

Ca sentais le roman de gare comme nombre de romanciers (ères ) .

De plus j'ai un copain qui a une maladie incurable ( Charcot ) donc le sentimentalisme de rez-de-chaussée très peu pour moi .

La réalité c'est pas çà .

Bref , chacun son passe temps ...

Un roman qui marque, une histoire poignante, comment en être arrivé à ce stade ?

L'autrice nous emporte dans des émotions très fortes, dérangeantes, tristes, heureuses, pleine de doute sur le déroulement de l'histoire au fil des pages mais s'attendre à ces événements, certainement pas.

Un roman qui restera ancrer un moment avec les "et si" qui aurait tout changer.

J'ai l'impression de connaître les personnages, une énorme tristesse reste même en me répétant que c'est une fiction, et non la réalité.

Est ce le fait d'avoir des références sur des tableaux, des textes comme Baudelaire, d'avoir cherché à visualiser les peintures énoncées qui rendent l'histoire plus réelle.

En tout cas le résultat est sans appel, ce livre restera dans ma mémoire.

Une lecture beaucoup, beaucoup trop larmoyante. On se laisse emmener par la plume de l'autrice mais ce récit intense verse trop dans l'émotion et ça gâche la poésie du récit. Il me semble que l'on peut raconter l'amour inconditionnel d'une mère pour son enfant sans plonger dans le pathos.

Et j'avoue être perplexe devant cette histoire, terrible pour le petit garçon, bâtie sur un mensonge. C'est proprement dévastateur, je me demande comment cet enfant, que l'on a voulu préserver, peut se (re)construire par la suite.

Chapeau tout de même à l'autrice pour son imagination et son talent de conteuse.

L'intérêt de ce roman est de faire découvrir le courant du romantisme noir (ça tombe bien parce que je viens justement de lire "Pauline" d'Alexandre Dumas) et le mythe de Lilith. A lire avec son téléphone à portée de main pour faire des recherches sur les tableaux évoqués.

En ce qui concerne l'histoire, elle est peu crédible (notamment, le fait de choisir quelqu'un pour être sa "doublure") et Evie est loin d'être aussi innocente qu'on le dit sans cesse dans ce roman. De plus, elle est égoïste et inconséquente. Au final, j'ai eu peu d'empathie pour elle. Je n'ai pas aimé non plus le personnage de Clara, quoique le pire est sans doute Pierre, le véritable coupable dans cette histoire.

Bien que dans la logique de ce libre, la fin est surprenante. Elle est très réussie. En la lisant, je l'ai "visualisé" comme un tableau de Clara.

J'ai préféré "la doublure" aux 2 autres romans de Mélissa Da Costa que j'ai lues ("tout le bleu du ciel" et "les douleurs fantômes") et j'apprécie beaucoup cette autrice capable d'écrire dans des registres très divers et de se réinventer.

Un livre qui vous prends dès le début, que l’on ne peut pas lâcher. Il permet une nouvelle vision de la vie, nous redonne foi en l’humanité et nous permet de relativiser sur les petits tracas du quotidien. Une fin bouleversante, qui m’a tirée quelques larmes même si on s’y attends un peu dès le départ, mais qui nous réserve également une jolie surprise. Il est vrai que certains passages sont un peu longs et redondants mais l’écrivain a un plume magnifique.