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Toutes les séries de Patricia Highsmith

5 livres
104 lecteurs

Herbert Greenleaf, richissime armateur américain, charge le jeune Tom Ripley de retrouver son fils Dickie, parti depuis deux ans goûter aux douceurs de la dolce vita. Une aubaine pour le très cynique, très intelligent et très immoral Mr. Ripley, prêt à tout - vraiment à tout - pour connaître lui aussi richesse et vie facile. Arrivé en Italie, Ripley rencontre effectivement Dickie, trouve son existence extrêmement séduisante et commence à échafauder un projet diabolique : prendre sa place...

Quarante ans après Plein soleil, l'excellente adaptation cinématographique de René Clément avec Alain Delon et Maurice Ronet, Le Talentueux Mr. Ripley, avec Matt Damon et Jude Law, nous fait redécouvrir ce texte absolument fascinant de Patricia Highsmith. En très grande dame du roman policier classique, l'Américaine réussit à donner chair et vie à un escroc surdoué et séduisant en diable. On comprend pourquoi elle était l'une des romancières préférées d'Alfred Hitchcock qui lui a fait confiance dès L'Inconnu du Nord Express, son premier roman, un must lui aussi.

2 livres
5 lecteurs

NOUVELLES ANGLAISES ET AMÉRICAINES D'AUJOURD'HUI 1

ENGLISH AND AMERICAN SHORT STORIES OF TODAY 1

Roald DAHL (1916-1990)

L'Homme au parapluie – The Umbrella Man

Jim PHELAN (1895-1960)

Rideau – Curtain

Francis S. FITZGERALD (1896-1940)

Trois heures entre deux avions – Three Hours between Planes

Osbert SITWELL (1892-1969)

Sans paroles – Dumb Animal

Evelyn WAUGH (1903-1966)

La Petite Sortie de Mr. Loveday – Mr Loveday's Little Outing

Elizabeth TAYLOR (1912-1975)

Première mort de sa vie – First Death of Her Life

Somerset MAUGHAM (1874-1966)

La Maison – Home

Patricia HIGHSMITH (1921-1995)

La Belle-Mère silencieuse – The Silent Mother-in-Law

O'HENRY (1862-1910)

Vingt ans après – After Twenty Years

Tous les livres de Patricia Highsmith

Vic Van Allen tolère les multiples flirts de sa femme Melinda avec une patience qui stupéfie tout le monde. Jusqu'au jour où, l'un des anciens amants de celle-ci ayant été tué, il se vante d'être l'assassin. Toutefois le meurtrier est arrêté. Melinda, rassurée, commence une nouvelle liaison. Et cette fois-ci Vic assassine l'amant... -Melinda, qui a compris la vérité, choisit alors la voie la plus redoutable: le défi. C'est trop tenter le diable. Tous - Vic également - l'apprendront à leurs dépens. Un suspense psychologique envoûtant, comme seule sait les créer la romancière de Mr Ripley et de L'Inconnu du Nord-Express.

Ces douze nouvelles ont une caractéristique commune, celle de représenter le meilleur de l'art de la romancière américaine, puisqu'elles ont su séduire des goûts aussi divers que celui de l'Américain Samuel Ruller, de la Suédoise Mai Zetterling, ou du Français Maurice Dugowson, pour ne citer que certains des réalisateurs qui ont tourné les adaptations pour la série télévisée « Les Cadavres exquis de Patricia Highsmith », coproduite par M6. Elles ont aussi en commun l'humour et l'angoisse que l'on connaît à cet auteur. Humour dans « Pour le restant de nos jours » ou un jeune couple sans enfants décide d'adopter un couple de petits vieux qui se révèlent être ces monstres, et dont ils ne sauront comment se débarrasser, ou « Le Jardin des disparus » ou un mari ne supporte plus la manie qu'à sa femme d'empailler ses animaux domestiques et de les mettre dans leur jardin... Angoisse, dans « l'Amateur de frissons » provoquée par le plaisir qu'a un voleur de s'introduire chez des femmes seules avec des résultats variés, ou dans « Passions partagées » où un homme se substitue à un autre et écrit à une femme qui l'aime, lui donnant un espoir qui ne pourra jamais être satisfait. Ces douze histoires provenant de divers recueils, réunies ici par le hasard de la télévision, sont à lire, à relire, à méditer, et représentent un échantillonnage de l'immense talent de l'auteur du Journal d'Edith. Née aux Etats-Unis, Patricia Highsmith a publié dix-neuf romans dont l'Inconnu du Nord Express et Plein Soleil, huit recueils de nouvelles et un essai l'Art du Suspense. La série télévisée « Les Cadavres exquis de Patricia Highsmith » a été coproduite par M6 et Vamp Productions.

" Un chat fait qu'une maison soit un foyer. Un écrivain n'est jamais seul avec un chat, tout en étant suffisamment seul pour pouvoir travailler. Qui plus est, qu'il déambule ou qu'il dorme, un chat est une œuvre d'art vivante, en perpétuelle métamorphose. " Ces mots de Patricia Highsmith disent bien la passion que ce grand écrivain a nourrie pour les chats tout au long de sa vie. Elle en a eu jusqu'à six en même temps - des siamois pour la plupart. Ils dormaient sur son lit, la regardaient travailler, assis sur son bureau, et parfois lui inspiraient une intrigue. Ce petit recueil célèbre le chat dans tous ses états : en personnage de fiction, en inspirateur de poème, en sujet d'étude, en modèle d'artiste. Trois nouvelles amusantes ou troublantes comme le sont les chats, qui laisseront au lecteur un arrière-goût étrange et pénétrant.

A l’égal du chat qui, dans la première de ces dix nouvelles, introduit d’une patte nonchalante le mystère et l’horreur au sein d’une paisible réunion amicale, Patricia Highsmith instille au cœur de chaque récit le venin discret qui porte le texte à son sommet de virulence.

Qu’elle mette en scène, avec un humour féroce, l’adoption de deux vieillards par un couple sans enfants ou la destruction d’un homme par ses amis, qu’elle décrive impitoyablement les attaques quotidiennes dans les rues, qu’elle s’amuse d’une jolie oisive ou nous glace avec les visions d’une femme seule, la romancière américaine prouve ici encore, qu’elle excelle dans l’art difficile de la nouvelle.

Quatre nouvelles de P. Highsmith en édition bilingue avec une traduction annotée et commentée, pour un contact direct avec les oeuvres en langue étrangère.

La nature de la folie Comment un mari, envahi par l'univers morbide de la taxidermie, conçoit une vengeance machiavélique.

Le parfait alibi Stationnement dangereux...Cadavres à domicile De l'utilité du congélateur dans la vie conjugale...

Seul Walter Stackhouse, un jeune avocat amateur de faits divers, soupçonne que le meurtrier d'Helen Kimmel, assassinée une nuit à un arrêt de car, pourrait être son mari, Melchior.

Walter, en butte au chantage affectif de Clara, sa femme, qu'il n'aime plus, songe même que la méthode du meurtrier n'est pas mauvaise, et il lui rend visite dans sa librairie de banlieue. Si bien que, lorsque Clara est également assassinée, Walter se retrouve pris en tenaille entre la police, qui le soupçonne de ne pas s'être intéressé par hasard au premier meurtre, et le libraire, d'autant plus dangereux qu'il se sait désormais menacé.

Pourtant, ce n'est pas Walter qui a tué Clara. Mais qui le croira encore ?

Quatrième de couverture Presses Pocket 1986

Bruno applaudit et s'écria

_ Formidable, quelle idée magnifique! Chacun de nous assassine pour le compte de l'autre! D'accord? Nous nous sommes rencontrés dans un train, c'est bien ça? Donc personne ne sait que nous nous connaissons. Nos alibis seront parfaits. Vous comprenez?

C'est ainsi que Guy Haines, pour avoir engager la conversation avec un inconnu, dans le train qui l'emporte en Floride, va se trouver dans un cauchemar. Pris au piège malgré lui, il va subir la fascination de Bruno, partager sa culpabilité, et devenir insidieusement son double.

Cette œuvre que l'on ne se lasse pas de relire a inspiré à Alfred Hitchcock un film que l'on ne se lasse pas de revoir.

On ne peut compter sur personne... Ce constat désabusé - peut-être même franchement pessimiste - pourrait bien être la clé de ces neuf histoires inédites. Sur qui peut compter Penn, face au jeu diabolique que jouent Ginnie, sa maîtresse, et son mari ? Et Natalie, perdue en mer, recueillie par un équipage de neuf hommes que sa beauté bouleverse ? Sans parler de cet innocent narrateur devenu le suspect aux yeux de tout un village... On ne peut compter sur personne. Mais pour instaurer un suspense en quelques lignes, pour explorer avec un humour froid les bizarreries et les perversités de l'âme humaine, on peut toujours compter sur Patricia Highsmith...

(quatrième de couverture par les éditions Le Livre de Poche de 1964)

Robert Forester, ce jeune américain d'apparence bénigne, est-il ou non responsable de ce que sa seule présence semble provoquer dans le destin de ceux qu'il approche? Sur cette interrogation quasi métaphysique, Patricia Highsmith (Grand Prix de la Littérature policière en 1957) a bâti un roman hallucinant d'évocation persuasive, de suspense et d'angoisse.

On mesure à lire combien est justifiée l'immense réputation ,dans le monde entier, de cet auteur, non seulement dans le domaine "thriller" mais aussi dans celui de la littérature en général.

Ce n'est point par hasard si beaucoup de ses livres ont donné naissance à des films célèbres : 'L'Inconnu du Nord-Express' par Hitchcock, 'Monsieur Ripley' par René Clément (sous le titre 'Plein soleil'), 'Le Meurtrier' par Claude Autant-Lara.

Un animal peut-il se transformer en criminel ? Ou devenir un justicier impitoyable ? Impossible, direz-vous. Et pourtant, quand vous aurez lu ce livre, vous ne regarderez plus jamais les animaux - ni les humains - de la même façon.

Baignant dans un climat de cruauté parfois tempéré par une note d'humour, ces treize récits vous feront découvrir un aspect stupéfiant de l'univers de Patricia Highsmith. Ce n'est pas la première fois qu'apparaît dans la littérature le thème des animaux qui se retournent contre l'homme. Mais l'art consommé de Patricia Highsmith, son extraordinaire don d'observation, la vérité des situations et des personnages, l'amour évident que l'auteur éprouve pour les bêtes, toutes ces qualités font de ce recueil un livre où, à chaque page, se lit en filigrane une terrible leçon : souvent, ce n'est pas l'animal qui est le plus bestial.

La police new-yorkaise a-t-elle le temps de se préoccuper d'une petite chienne caniche enlevée à ses maîtres - un riche couple sans enfants - et pour laquelle une rançon leur a été extorquée ? Non, bien sûr. Cependant, un jeune flic idéaliste, un peu naïf, frais émoulu de la faculté de psychologie, décide de s'y intéresser envers et contre tout... Clarence Duhamell met sans trop de peine la main sur le kidnappeur, mais celui-ci, plus rusé, l'accusera d'avoir touché une part de la rançon. Alors tout se dérègle. Et le policier se rend compte, mais trop tard, dans quel engrenage implacable il a été happé.

Dans un cottage de la campagne anglaise, Sydney Bartleby essaie vainement d'écrire le feuilleton télévisé qui lui apporterait la gloire et la fortune.

Alicia, sa femme, s'en va de temps en temps faire un bref séjour chez ses parents ou à la mer. C'est à cette occasion que tout va commencer : Sydney, dont l'imagination travaille sans arrêt, envisage ce qui se passerait si, au lieu que Alicia soit simplement partie pour quelques jours, il l'avait tuée. Mais, à force d'imaginer des choses horribles, il peut arriver qu'elles aient lieu. La romancière de Monsieur Ripley et d'Eaux profondes emprisonne une fois de plus ses personnages - et ses lecteurs - dans un des enchaînements diaboliques dont elle a le secret...

Le Journal d'Edith est une suite de mensonges concertés. Dans sa coquette maison de Pennsylvanie, entre un vieil oncle sénile et un fils mi-sournois mi-débile, Edith sent l'étau de la vie quotidienne se resserrer autour d'elle. Lentement, irrémédiablement. Elle cherche refuge et compensation dans son journal où elle recompose une existence imaginaire sans rapport avec la réalité.

Et sous l'apparente banalité des menus événements qu'elle relate, le Journal nous associe peu à peu, savamment, subtilement, à la lente montée de la tension tragique dans cette existence en apparence si commune.

Lorsque le dénouement survient, avec une intensité que nous n"attendions plus, il nous glace et nous terrifie plus encore qu'un simple meurtre.

Une oeuvre qui, dès sa parution en Angleterre, a été saluée comme l'un des sommets de la littérature contemporaine.

Thérèse, vendeuse dans un grand magasin, rencontre Carol qui est belle, fascinante, fortunée. Elle va découvrir, auprès d'elle ce qu'aucun homme ne lui a jamais inspiré :l'amour.

Une passion naît, contrariée par le mari de Carol, lequel n'hésite pas à utiliser leur petite fille comme un moyen de chantage.

Second roman de Patricia Highsmith, Carol fut refusé, en 1951, par son éditeur américain en raison de la hardiesse du sujet. Il parut sous un pseudonyme, Claire Morgan.

Nous pouvons aujourd'hui lire ce roman pour ce qu'il est: la preuve que Patricia Highsmith n'est pas seulement un maître du genre policier, mais avant tout une romancière de premier ordre, qui, avec pudeur et sensibilité, nous parle ici d'un amour revendiquant sa liberté.

Grand Prix de l'Humour noir en 1975, L'Amateur d'escargots occupe une place à part dans l'oeuvre mondialement connue de Patricia Highsmith. Ces onze nouvelles, si on y retrouve l'ambiance psychologique inquiétante et l'art du suspense caractéristiques de leur auteur, font une place singulière au fantastique. Un homme d'affaires fasciné par les escargots plonge au coeur du cauchemar; deux sueurs âgées n'ont plus d'autres relations qu'un tissu quotidien d'abominables petites méchancetés; des gastéropodes géants et anthropophages se livrent à une hallucinante chasse à l'homme... Une lecture dont on ressort avec un « sentiment de danger personnel », ainsi que l'écrit en préface le romancier Graham Greene

Fascinants, gracieux, indépendants, mystérieux les chats ont toujours inspiré les écrivains, don ils sont bien souvent les fidèles compagnons. De Patricia Highsmith à Théophile Gautier, d'Émile Zola à Saki, les plus grands auteurs classiques ou contemporains célèbrent ici le chat dans toute sa diversité. En vingt-cinq histoires courtes, étranges comme Le Chat du Cheshire de Lewis Carroll ou Le chat qui s'en va tout seul de Kipling, irrésistiblement drôles avec Le Chat de Dick Baker de Mark Twain ou L'Histoire de Webster de P.G. Wodehouse, émouvantes comme les lignes de Baudelaire, Viens mon beau chat sur mon coeur amoureux, cet ouvrage vous fera ronronner de plaisir !

Des produits radio-actifs jetés dans un cimetière font pousser des plantes monstrueuses... Une femme de deux cents ans, maintenue en vie, sert de réclame à une maison de retraite. Un homme est enfermé par erreur dans les chambres fortes où l'on entasse des déchets atomiques. Un pape v provoque une explosion révolutionnaire en Amérique latine... Dans les dix nouvelles de ce recueil, la romancière de Mr Ripley et d'Une créature de rêve évoque sur le mode de la « politique-fiction » les diverses catastrophes que peuvent à tout instant entraîner les folies du monde moderne et l'insouciance des gouvernants. Avec la logique implacable, l'acuité psychologique et l'art du suspense qui ont fait son succès.

Injustement condamné à six ans de détention, Philip Carter doit subir la violence des autres prisonniers, le sadisme des gardiens, l'amollissement de son propre corps, la corruption de son esprit. A la pression carcérale s'ajoute le poison de la jalousie et du doute Gawill, ex-associé de Carter, n'accuse-t-il pas l'avocat de ce dernier pour détourner les soupçons qui pèsent déjà sur lui ? Cet avocat est-il l'amant de Hazel, la femme de Carter ? Sa libération jettera pourtant Carter dans un autre enfer, dont il ne soupçonnait pas l'existence : celui de la liberté, où se donnent libre cours le jeu des intérêts et la passion amoureuse. Lucide et ironique, la romancière du Journal dEdith, créatrice de l'inoubliable Ripley, prend ici à contre-pied les clichés de la littérature carcérale, et brouille quelques notions bien ancrées sur les frontières du bien et du mal.

Pourquoi Peggy s'est-elle suicidée ? S'est-elle réellement suicidée ? Ces questions sont le point de départ d'une intrigue où l'on retrouve l'imagination et le sens de la précision qui ont fait la célébrité de Patricia Highsmith.Dans le cadre admirable de Venise, une impitoyable chasse à l'homme a lieu. Entre ciel et eau, entre angoisse et certitude, les limites s'estompent. Qui, en fin de compte, est le chasseur, qui est la proie ?La haine obsessionnelle que Coleman, père de Peggy, voue à son gendre Garrett, l'entêtement invraisemblable que ce dernier mettra à vouloir s'expliquer auprès de son beau-père et à le convaincre de son innocence, les feront basculer dans une atroce violence, après des chassés-croisés où Venise prend la forme d'un immense piège.Il fallait l'extrême subtilité et le talent de Patricia Highsmith pour approfondir les rapports ambigus qui existent entre ces deux hommes, et pour faire de ce roman le classique du suspense qu'il est devenu.Née au Texas, Patricia Highsmith a écrit, outre quatre recueils de nouvelles,de nombreux romans dont plusieurs ont été portés à l'écran :Monsieur Ripley (qui devint Plein Soleil sous la direction de René Clément).L'Inconnu du Nord-Express (film d'Alfred Hitchcock).Ce mal étrange (Dites-lui que je l'aime dans la mise en scène de Claude Miller)Ripley s'amuse (L'Ami américain, film de Wim Wenders)et Eaux profondes qui a inspiré le cinéaste Michel Deville.

Ken Minderquist n'est plus le même homme depuis qu'il a reçu une balle destinée au président des Etats-Unis dont il est le conseiller économique. Par exemple, il croit voir des sirènes sur un terrain de- golf. Mais le changement a-t-il eu lieu en lui-même ou dans le regard des autres ? Seuls sur une île déserte, Sarah et Henry voient leur vie bouleversée le jour Où ils découvrent, dans des caisses récupérées d'un naufrage, des bouteilles pleines d'un vigoureux liquide ambré, originaire d'Ecosse.En dix récits, entre la cruauté des " Sirènes du golf " et l'humour de " L'Elixir d'Ecosse ", la grande romancière, analyste aiguë des plus étranges replis de l'âme, passe du frisson au sourire et de l'ironie à la tendresse. Elle étonnera ceux qui croyaient tout connaître de son talent...

Lorsque le jeune romancier héros du livre débarque en Tunisie, où il doit tourner un film, sa vie lui paraît totalement réussie. Sa carrière s'annonce brillante ; il ne doute ni de lui-même ni de celle qu'il se dispose à épouser.

Or, voilà que tout se dérègle : l'ami qu'il attend n'arrive pas..: Sa fiancée le laisse sans nouvelles. Et les certitudes font place au doute. II en viendra à se demander sans angoisse, au terme de cette traversée de la solitude, s'il n'est pas devenu un assassin...

Lélia, Théodore et Ramon sont amis et amants. Un jour, Lélia est retrouvée morte : le capitaine Sauzas soupçonne évidemment Théodore et Ramon. Tous les deux n’envisageaient pas leur relation avec Lélia sous le même angle et n’attendaient pas d’elle la même chose, après tout. Le jeu des soupçons naît et se poursuit, et lorsque l’enquête arrive à sa conclusion, tout à fait inattendue, certaines amitiés n’en sortent pas intactes.

Un roman noir remarquable par son intérêt psychologique et la qualité de son énigme policière, dramatique, intime et envoûtante.

L'inconnu du Nord-Express :

Deux voyageurs, qui ne se connaissaient pas avant de monter dans le Nord-Express, échangent leurs idées sur le sort qu'ils réservent l'un, à sa femme qui va divorcer, l'autre à son père tyrannique et abusif.

Monsieur Ripley :

Plein d'ambition, mais pauvre, Tom Ripley accepte la mission que lui confie un riche Américain : ramener son fils d'Italie. Germe dans son esprit l'idée de se subsituer au fils et de mener une existence dorée. Mais ira-t-il jusqu'au crime pour continuer la belle vie ?

Ripley et les ombres :

Tom Ripley, à la fois sympathique et abject, intelligent et sans scrupule, semble entré dans le rang : il vient d'épouser une riche héritière d'origine française et est devenu l'agent d'un peintre à succès. Mais ce personnage ambigu est aussi un assassin presque malgré lui ou plutôt incapable de retenir ses instincts criminels.

Ripley s'amuse :

Comment un homme, condamné à terme par une leucémie, se laisse convaincre d'assassiner deux mafiosi pour une coquette somme d'argent. A été porté à l'écran par Wim Wenders, sous le titre L'ami américain.

Sur les pas de Ripley :

Pour avoir accordé son amitié à Franck, un jeune Américain étrange et mystérieux, Tom Ripley plonge à nouveau dans les eaux troubles qu'il affectionne tant. Franck est rongé par le meurtre de son père... Quatrième roman de la série.

" Un jeune homme demanda à un père la main de sa fille et la reçut, la main gauche, dans une boîte. " Ainsi commence, par une phrase torpille, une nouvelle de Patricia Highsmith. Parce qu'elle a croqué de féroces caricatures féminines dans son recueil Toutes à tuer, certains lui reprocheront de témoigner une sévérité particulière à l'égard de son propre sexe. La galerie des monstres masculins qui rôdent partout devrait nous rassurer sur l'équité avec laquelle sa plume distribue les coups. Mais leur surcroît de vitalité vaut à ces dames une place de faveur. Au bout de trois pages, elle les descend, comme des pipes à la foire, jetant dans le même sac vierges sages et vierges folles. Peut-on au moins se fier aux animaux pour retrouver un peu de fraîcheur et d'innocence ? Allons donc ! ils n'ont de leçon de férocité à recevoir de personne. Il en va des enfants comme des animaux. Eux aussi encaissent sans broncher humiliations et offenses jusqu'au jour où... Quand et comment Patricia Highsmith a-t-elle entamé sa longue liaison avec la peur ? Elle nous restitue l'ivresse de claquer des dents sous les draps comme au temps des sorcières et des loups-garous, en nous répétant : " Ce n'est pas vrai ", en nous pinçant pour ne pas y croire. Mais à présent, avec elle, le doute subsiste, l'angoisse se prolonge et le lecteur hésite à éteindre sa lampe de crainte de retourner en songe au jardin des disparus.

Arthur a dix-sept ans, il entre à l'université, Maggie l'aime autant qu'il l'aime...

c'est le bonheur. Un bonheur que la grossesse de Maggie ne suffit pas à troubler, ni l'avortement qu'elle décide sans dramatiser. Mais parce que le père d'Arthur a rejoint les " Chrétiens régénérés ", une secte qui prétend sauver les âmes grâce aux lois féroces qu'elle a édictées, les deux jeunes gens vont voir se lever sur eux le bras d'une justice devenue démente. Démente au point de saccager des vies et de faire d'un enfant un meurtrier...

Fuyant les Etats-Unis où il risque la prison, Chester Mac Farland s’est enfui en Grèce avec sa femme.

Tous deux tâchent d’avoir l’air de paisibles touristes… Jusqu’au jour où, par affolement, il tue sans le vouloir un policier trop curieux.

Pourquoi Rydal Keener, un jeune Américain désœuvré et désargenté, qui depuis un certain temps observe ce couple furtif, lui propose-t-il alors son aide ? Chester s’attend à un chantage, mais Rydal paraît s’intéresser aussi à la ravissante Mrs Mac Farland…C’est ainsi que les trois personnages vont se retrouver prisonniers les uns des autres, dans une de ces intrigues à l’impeccable rigueur où excelle la romancière de M.

Ripley, de La Rançon du chien et de nombreux autres classiques de la psychologie criminelle.

Peter, vingt ans, est assassiné par des toxicomanes en manque. Dans le milieu homosexuel zurichois, qui gravite d'ordinaire assez paisiblement autour d'un bar, le Small g, ce drame révèle les haines, attise les angoisses, dévoile les blessures secrètes des êtres. Rickie, l'ami de Peter, hanté par la peur du vieillissement et du sida, Luisa, la jeune couturière candide, sous la coupe d'une patronne haineuse, bien d'autres encore... Dans cette dernière œuvre, la romancière de Monsieur Ripley et du Journal d'Edith révèle avec plus d'évidence que jamais ce qui fait le prix de son regard et de son écriture : lucidité, compassion, subtile cruauté, authentique vérité humaine. ›

Lecteurs — lectrices ! — voici un livre qui ne vous laissera pas intacts. Dans ces dix-sept petits « contes misogynes », Patricia Highsmith trace une galerie de portraits qui, pour étre peu flatteurs, n'en ont pas moins une troublante véracité. Voulez-vous savoir les jeux d'une infernale cruauté auxquels se livre une adorable petite créature de neuf ans ? Comment on assassine élégamment son mari grâce aux ressources de la gastronomie ? Comment on devient une romancière méconnue ? La fin tragique d'une belle-mère modèle ? La vie paisible d'un « objet de lit ambulant » ? Les catastrophes que peut provoquer la fécondité ? Et tant d'autres histoires, dont la férocité n'a d'égale que l'horreur ? Voici un livre qui comblera les fidèles de Patricia Highsmith, et ceux qui ne le sont pas encore. Dans l'art subtil de la nouvelle (où elle avait déjà montré son extraordinaire maîtrise avec l'Amateur d'escargots, qui lui valut en 1975 le Grand Prix de l'Humour Noir), on admirera son goût du détail significatif et son emploi savant de la litote. Patricia Highsmith apparaît ici non seulement comme un grand auteur de « suspense » (l'un des très rares « dont les œuvres peuvent se relire plusieurs fois », comme l'a noté Graham Greene), mais comme un grand auteur tout court.

Les vingt nouvelles jusqu'à présent inédites qui composent ce recueil restituent quelque cinquante années de création highsmithienne. Textes de jeunesse ou de la maturité, ce sont de petits bijoux littéraires, aux écrins finement ciselés par la patte si particulière d'une Patricia Highsmith qui maîtrise étonnamment son art dès son jeune âge. Comme à son habitude, l'ordinaire bascule dans l'extraordinaire, chacune des faiblesses des personnages est savamment exploitée avec un indéniable souci d'économie dramatique.Drôle mais souvent cruelle, égratignant au passage l'image édulcorée d'une Amérique forte de ses valeurs, Patricia Highsmith esquisse les personnages et les thèmes de prédilection qui hanteront ses grands romans. On y découvre notamment l'ébauche expiatoire d'un Tom Ripley ou des figures féminines proches dans leur construction de l'héroïne du Journal d'Edith.

Peter Ritter est mort, à vingt ans, poignardé par des drogués en état de manque, en plein coeur de Zurich. Deux personnes l'aimaient éperdument : Rickie Markwalder, son compagnon, et la belle Luisa, une jeune apprentie couturière de dix-neuf ans.

Dans le jardin de Penelope se dressent, telles d'étranges statues du souvenir, les silhouettes empaillées des animaux qu'autrefois elle a aimés. Pour elle, c'est une façon de conserver à ses côtés ses chers compagnons. Pour son époux, c'est une manie un peu ridicule, qu'il tolère tant bien que mal. Jusqu'au jour où le joli jardin devient un champ de bataille où tous deux s'affrontent, où les rancoeurs conjugales remontent à la surface et font d'un paisible bosquet un piège mortel« Le Jardin des disparus » est la première des neuf nouvelles réunies dans ce volume, qui se clôt sur une terrifiante vengeance mutuelle entre époux, dernière touche d'un recueil en forme de tableau de moeurs ; et particulièrement de moeurs matrimoniales ; où la noirceur n'a d'égale que la subtilité. Comme toujours, Patricia Highsmith étudie jusqu'au vertige, d'une plume à la fois tendre et mordante, les éternels conflits de la psychologie humaine.Née au Texas, Patricia Highsmith a écrit, outre quatre recueilsde nouvelles, de nombreux romans dont plusieurs ont été portés à l'écran :Monsieur Ripley (qui devint Plein Soleil sous la direction de René Clément), L'Inconnu du Nord-Express (film d'Alfred Hitchcock), Ce mal étrange (Dites-lui que je l'aimedans la mise en scène de Claude Miller) Ripley s'amuse(L'Ami américain, film de Wim Wenders), et Eaux profondesqui a inspiré le cinéaste Michel Deville.

Réduire

Elle attire les regards comme la lumière fascine les papillons. Est-ce sa démarche dansante, ses cheveux blonds, son air innocent de fille fraîche croquant la vie sans contraintes ? Toujours est-est il que ceux qui rencontrent Elsie, dans le bar-restaurant où elle travaille ou dans les boîtes où elle aime danser, ne risquent pas de l'oublier.Ni les hommes. Ni les femmes. Ni Ralph Linderman, ce solitaire refoulé, ce puritain moralisateur qui veut sauver Elsie de la perdition dont elle est, croit-il, menacée. Ni Jack Sutherland, qui pensera offrir à Elsie une protection contre les entreprises de Linderman. Ni Natalia, la femme de Jack, étrangement attirée par cette Elsie qui vit avec une amie très intime.Pour tous ces êtres, à des niveaux différents, Elsie va représenter une sorte de rêve, un rêve qui, lentement, au fil du quotidien, va glisser vers le cauchemar.Avec Une créature de rêve, Patricia Highsmith poursuit son analyse d'une société où les puissances ultra-conservatrices s'efforcent d'étouffer les forces vives du bonheur sous le poids de la morale.

L'auteur de "L'inconnu du Nord-Express", des "Gens qui frappent à la porte", d'"Eaux profondes", du "Cri du hibou", et de bien d'autres chefs-d'oeuvre de psychologie criminelle, se penche sur les règles de l'art de l'écriture, pour les définir et tenter de cerner l'indéfinissable : l'inspiration. Il n'y a aucune formule magique dans cet ouvrage. Ni même aucune recette, Patricia Highsmith y livre son savoir, ses secrets, ses idées et parle d'elle et de son oeuvre comme jamais. Avec modestie. Au lecteur d'ajouter sa touche personnelle à cette merveilleuse leçon d'écriture.

Comment la passion de la pêche peut-elle conduire un homme à tuer? Comment la nature peut- elle se venger des hommes qui l ont violée? Au confluent de la psychologie et du fantastique, chacun des dix récits que composent ce volume nous mène implacablement du quotidien au drame.

Redécouvrez toute la saveur de la "nouvelle" avec huit grand auteurs contemporains. Du fantastique à la tendresse, de l'effroi à l'ironie, de l'insolite à la cocasserie, huit récits étonnants, fascinants, qui ont pour auteurs : Mary Higgins Clark, Régine Deforges, Maurice Denuzière, Romain Gary, Patricia Highsmith, John Irving, Stephen King et Félicien Marceau.

David, jeune et brillant chimiste, estimé de tous, passe ses week-ends chez sa mère souffrante. Il n'y aurait là rien que de très estimable si sa mère n'était décédée depuis longtemps.En vérité, David passe ses week-ends à l'insu de tous, sous un nom d'emprunt, dans une maison qu'il a achetée pour Annabelle, la femme qu'il aime.Mais Annabelle est l'épouse d'un autre. Elle n'a jamais vu la maison choisie pour elle par David. Et, bien sûr, elle n'est pas amoureuse de lui.La passion dévore David. Ce mal étrange va le conduire au bout de la folie, là où l'amour et la mort se rejoignent.Sur ce thème d'une psychose obsessionnelle, Patricia Highsmith a brodé de passionnantes et terrifiantes variations qui révèlent son éblouissante maîtrise du suspense et de l'analyse psychologique.Claude Miller a porté à l'écran Ce mal étrange sous le titre Dites-lui que je l'aime.Née au Texas, Patricia Highsmith a écrit, outre quatre recueils de nouvelles, de nombreux romans dont plusieurs ont été portés à l'écran : Monsieur Ripley (qui devint Plein Soleil sous la direction de René Clément), L'Inconnu du Nord-Express (film d'Alfred Hitchcock), Ripley s'amuse (L'Ami américain, film de Wim Wenders) et Eaux profondes qui a inspiré le cinéaste Michel Deville.

Résumé

Jeune homme cultivé, mais impécunieux, Tom Ripley vit misérablement à New York de divers expédients : petites escroqueries et fraudes sans envergure. Or, un jour, le riche Herbert Greenleaf l'approche et le charge de la mission de se rendre en Sicile et de ramener son fils Dickie à la raison, afin que ce dernier rentre aux États-Unis pour s’occuper des entreprises familiales. Tom a déjà croisé Dickie par le passé, mais il se souvient à peine de lui, ce qu’il évite bien entendu de révéler à M. Greenleaf.

En Italie, Ripley ne tarde pas à rencontrer Dickie et sa petite amie, Marge Sherwood. Cette dernière, assez hostile à Ripley, ne manque pas d’insinuer en son absence qu’il est homosexuel. Dickie est d’autant plus troublé par cette insinuation que, peu après, il découvre Tom dans sa propre chambre, avec ses vêtements, en train de l’imiter. Dickie cherche donc à prendre ses distances, mais Tom n'a pas l'intention d'abandonner le train de vie que lui permet la fréquentation de son récent ami. Dickie, dans l’intention de couper les ponts, accepte comme une dernière faveur de faire un bref voyage avec Tom à San Remo. C’est là que Tom l’assassine sur un petit bateau et qu'il endosse l’identité de sa victime.

Ripley ensuite communique par lettres avec Marge pour mettre un terme à leurs relations. Il doit aussi donner le change auprès des autres amis de Dickie et faire croire que ce dernier est encore vivant jusqu’à ce que soit validé un testament que Ripley a lui-même forgé et grâce auquel il veut s’assurer un petit héritage quand la mort de Dickie deviendra officielle.

À L’OCCASION DU CENTENAIRE DE SA NAISSANCE, UNE PLONGÉE INÉDITE ET FASCINANTE DANS L’INTIMITÉ D’UNE IMMENSE ROMANCIÈRE

Malgré une oeuvre colossale, la romancière américaine Patricia Highsmith est toujours restée discrète sur sa personne. La découverte, après sa mort, de dix-huit journaux intimes et trente-huit carnets de notes cachés dans sa maison suisse est donc un événement sensationnel.

Rédigés à la main de 1941 à 1995, en cinq langues pour les garder à l’abri des regards indiscrets, ces écrits personnels contiennent la vie intime, sauvage et poignante de l’autrice, ainsi que des poèmes, des listes de lieux où elle a voyagé et vécu, des romans en cours de rédaction et des personnes les plus importantes à ses yeux.

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