Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
718 270
Membres
1 030 648

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Toutes les séries de Philippe Carrese

204 livres
164 lecteurs

Quand deux adolescents de la bonne société de Dieppe se suicident, menottés aux rails, en se laissant écraser par un train, tout le monde est horrifié. Il n'y a que Gabriel Lecouvreur, dit le Poulpe, pour ne pas trouver ça "normal". Alors comme d'habitude, en dilettante, il va y voir de plus près. Et ce qu'il va trouver, le long des blanches falaises bordant la Manche, ce n'est pas vraiment la paix des familles...

Tous les livres de Philippe Carrese

" Engatse : c'est une embrouille grave...

très grave, même pas une engambi... Non... Une engatse, voilà... " Et encore, si ça ne se passait pas à Marseille, on dirait que c'est un euphémisme, tant Bernard Rossi a basculé dans une bouillabaisse aux ingrédients des plus sanglants... Pourtant la vie de Bernard, un maçon du quartier de Frais-Vallon, était bien paisible jusqu'au jour où Milhoud vient s'encastrer en mob dans une pile de pont... Depuis cet accident, la mortalité dans les parages a fâcheusement augmenté.

Surtout quand Bernard se retrouve avec le cadavre du garde du corps d'un élu municipal sur les bras, et un carnet d'adresses très compromettant dans la poche. A Marseille, on ne plaisante pas avec la politique, et encore moins avec la mafia, si tant est que un plus un ne fassent pas deux... Mais quand Bernard Rossi s'en mêle, Frais-Vallon se transforme en vallée de la mort, et pour beaucoup, l'enfer n'est plus très loin...

Ca commence par un simple coup de main et ça pourrait bien finir en catastrophe écologique ! Mais cela, Richard l'ignore.

Il sait seulement qu'il doit convoyer des fûts pour rendre service à son " beauf ", l'affligeant Gilbert. Bien sûr, les fûts sont toxiques, mais ce n'est rien à côté de la haine qui anime un certain gitan... Sur un ton désopilant, avec son humour particulièrement grinçant, Philippe Carrese nous montre comment une galère nauséabonde peut vite se transformer en nef infernale.

" Cagole : spécialité marseillaise.

Gamine voyante et délurée, capable de parler gras tout en mâchant du chewing-gum et de garder l'équilibre tout en marchant sur des chaussures à semelles de trente centimètres d'épaisseur. " Félix en est une belle, de cagole. Du fond de sa cité morose, elle rêve de devenir une star de la chanson, comme Alvina Stuart ou Céline Dion. Mais Léo, imprésario miteux du dancing Le Zodiaque, préfère la voir s'effeuiller sur du Joe Cocker...

Alors Félix met le grappin sur le premier prince charmant venu pour fuir et réaliser ses rêves. Enceinte de jumeaux qui n'en finissent pas de se disputer, elle passe d'une boîte de films X tenue par des Albanais en Belgique à un camp de gitans à Port-de-Bouc. Sa virée tourne au cauchemar, surtout avec le gros Léo et son lieutenant Meljibson' qui lui collent au train. Pas de bol, la cagole...

J'aurais pas dû accepter.

Rien qu'à voir Lu' et Zé', ces deux estrasses décaties en ténors du grand banditisme marseillais, et Bouboule, dit " Graine de courge ", la terreur des boulangeries des quartiers sud... Mais j'avais pas prévu avec Tête d'œuf comme directeur de banque, avec Sultan, son doberman cyclothymique et avec Stravinsky, l'Ukrainien aussi convivial qu'un congélateur modèle familial... Rien que des tronches de poulpe.

Braquer une banque ! J'aurais mieux fait de rester tranquille chez moi. Mais à Marseille, quand tu habites chemin du Mauvais-Pas, faut pas t'étonner si tu t'embronches.

Des pistes noires accessibles aux handicapés, une patinoire olympique surveillée par des maîtres nageurs, des cascades de glace avec escalator, des dahus migrateurs à pattes télescopiques sur glissière, un restaurant astronomique pour convives friqués...

suuuuuuuper sympa. Les promoteurs de Flocoon Paradise, station de ski révolutionnaire, ont pensé à tout. À tout sauf à la neige. Alors qu'est-ce qu'il fout là, Raymond Lautaret, à harceler de questions des bonhommes de neige en polyuréthanne ? Pourquoi donc ce modeste correspondant de guerre est-il venu se fourvoyer au milieu d'un troupeau de journalistes mondains invité au paradis de la glisse sans limite ? Flocoon Paradise, un enfer d'embrouilles sans limite ?.

Marseille n'a pas complètement abandonné l'accent rascasse de Pagnol pour les hurlements du Stade Vélodrome. Le rap côtoie toujours le bel canto. Elle n'a pas délaissé les couleurs tonitruantes du Vieux Port et du Panier pour celles, plus problématiques, des quartiers Nord. La deuxième ville de France est toujours tournée vers la nostalgie de la Grèce maternelle, attirée par la mer placentaire, fracturée en villages, irréductible et, comme l'expriment les auteurs de romans noirs réunis dans ce livre, le lieu cosmopolite d'une poésie radieuse et angoissée.

Mon père n'a pas dû faire gaffe.

C'était pas le bon jour pour trimbaler cette nouille souriante de Ravy S. Bhalam Rashkany, l'ingénieur cinghalais, génie des O.G.M. meurtriers. C'était pas le bonjour pour aller déquiller les pontes de la mafia russe marseillaise, ni pour faire du stock-car en semi-remorque dans les allées résidentielles du bord de mer. ,C'était pas le bon jour pour provoquer le bouchon du siècle sur l'autoroute du soleil, ni pour transformer la plus cossue des copropriétés marseillaises en champ de bataille.

C'était pas non plus le bon jour pour que mon père me laisse le volant de sa voiture de luxe pour une petite séance de conduite accompagnée. Pour cette épreuve nerveusement insoutenable, c'est jamais le bonjour. Douze heures d'engatses dévastatrices dans la haute société marseillaise, et moi qui apprends à conduire. Pour mon père, c'est sans doute ça le plus terrible!

" Ces coups de boutoir sans fantaisie évoquaient une danse macabre, le monstrueux piston en bout de course de cette machine infernale qui persiste à vouloir faire tourner le monde.

Le tambour du diable me tenait éveillé, sans répit possible. " Un soldat de l'ONU échoue sur une terre ravagée par un conflit non répertorié. Des lambeaux d'humanité guerrière tirent et s'y terrent, jusqu'à leur dernier souffle, asphyxiés. Le diable a bien soigné sa mise en scène. Philippe Carrese et Jacques Ferrandez se renvoient les balles sur une mélodie grinçante. Seule la moulinette de l'horreur est bien huilée.

Mais qu'est-ce qu'il peut bien emporter dans sa tombe, ce vieux grigou d'Albert Scandolini, pour provoquer autant d'agitation ? Une maîtresse éplorée, un neveu épais et colérique, un chauffeur de corbillard speedé, trois croque-morts municipaux maladroits et un curé culturiste à l'accent slave tournent autour de son cercueil comme des mouches excitées un jour d'orage.

Et moi, Lucas Rozarian, qui ne suis là que parce que j'ai l'esprit de famille... Après "Le bal des cagoles", prix polar SNCF 2001 et prix du livre jeunesse de Marseille 2002, catégorie lycées, après "Conduite accompagnée", son dernier succès, voici "Une petite bière, pour la route", le nouveau roman de Philippe Carrese illustré de dessins originaux de l'auteur : "Une petite bière, pour la route"...

Trois heures d'hystérie dévastatrice autour d'un cercueil trop bien fermé. Un polar à lire en temps réel.

Ingrédients pour une belle histoire d'amour : une riche héritière, un musicien de jazz paumé, un pot de yaourt, un couteau à cran d'arrêt, le clone du pape, un psychopathe jaloux, un gong en fa, quatre pots de farine, quelques marmottes, un condor qui passe, un dancing pour vieux, un colt 45 de 1911, un adepte de la variété italienne en perfusion, un camion-frigo, quatre pots de sucre, un taureau de combat aux yeux de diamant, un cuistot culturiste en manque de neurones, un pot d'huile, une manif de taxis marseillais, Honorine en string, un sachet de levure, quelques crétins mémorables et un caniche nain royal.

Laissez mijoter, et ne demandez pas où est le pain dur. Pindur, c'est le nom du mec qui raconte cette belle histoire d'amour.

L'hiver 1943, un Spitfire des Forces françaises libres en provenance de Londres s'écrase dans les collines de Marseille avec son précieux contenu.

Soixante ans plus tard, Kabyl et sa bande recherchent l'avion mythique, malgré leur rencontre avec l'habitant de la dernière maison du quartier, le vieux très vieux, qui tente de les en dissuader. Ils ne se doutent pas qu'ils vont au-devant des pires ennuis...

Philippe Carrese possède moult talents : les cinéphiles adorent ses réalisations, les téléspectateurs ses émissions, les lecteurs ses polars et les musiciens ses improvisations.

Sans oublier tous ceux qui ont l'heur de compter parmi ses amis et voient tomber régulièrement dans leurs boîtes aux lettres électroniques la chronique dessinée de la vanité humaine au fil des dessins humoristiques, caustiques, critiques et fantastiques du sieur Philippe. Déjà les gazettes s'efforcent de s'attacher la collaboration de ce maître de la caricature politique, sociale et culturelle. Mais notre homme-orchestre de la movida marseillaise ne se laisse pas plus apitoyer par leurs violons que par les fifres ou les tambourins.

C'est donc avec un sens élevé du privilège qui est le tien, ami lecteur, que l'Ecailler du Sud t'invite à goûter au fil de ces pages le bestiaire humain des huiles carrésiennes ...

Un aristo à tête de poireau, un député à la morale déviée, quelques veuves sans preuves, des marmottes pas sottes, des gypaètes pas bêtes, des lémuriens l'air de rien...

mais aussi des roses à haute dose, des billets par pelletées, les enveloppes d'un misanthrope... et encore des bagnoles qui volent, des détectives qui dérivent, des mères qui colèrent, quelques bâtards épars. Surtout des bâtards épars. Et Lucas Rosarian, le marseillais défracté, qui aimerait bien savoir s'il fait partie de la trouble descendances de cette vieille couille d'André-Marie Villevirain de Saint-Chamons, vautour redouté du microcosme politique parisien, récemment carbonisé dans sa voiture de luxe.

Avec son style efficace, sa verve méridionale et son humour ravageur, Philippe Carrese est devenu en dix ans en des incontournables de la littérature noire française. Dans les Veuves gigognes, Philippe Carrese aborde les thèmes de la paternité et des secrets de famille. Lucas Rosarian, héros de ses deux précédents romans, est au cœur de cette histoire sensible et drôle.

Un braquage raté, un camarade de classe qui ne va en cours, des photos volées : quelque chose se trame dans les rues de Marseille, et Kabyl et ses copains sont bien décidés à tout faire pour découvrir le fin mot de l'histoire, au mépris du danger...

Devoir de vacances : réaliser un film.

Kabyl et sa bande ont du mal à se mettre d'accord : Resquille ferait bien un film de Yamakasi, Zoé songe à un court-métrage sur les animaux, tandis que Rodolphe cherche l'inspiration dans l'œuvre de Maupassant... Seul Kevin, témoin d'une scène de western nocturne dans sa cité, sent naître en lui une véritable vocation. Il multiplie alors les démarches auprès des barons de la pègre marseillaise pour réaliser son reportage.

Contre toute attente, le sinistre " Miraculatu " accepte de le rencontrer...

Présentation de l'éditeur

Dans les quartiers nord de Marseille, les travaux entrepris pour bâtir une résidence de luxe ont mis au jour les ruines d'une des premières églises de la civilisation chrétienne. Avec la complicité d'un ami archéologue, Van Klume, l'un des profs de Kevin, Jean-Mathieu, Zoé et Kabyl, a l'idée de mener ses élèves au cœur du chantier. Mais l'arrogant Christoff Ziricord, promoteur immobilier au sourire carnassier, congédie la petite troupe sans ménagement. Il faudrait une découverte exceptionnelle pour que le site soit classé et échappe au triste sort qui l'attend... Un défi que n'auront pas peur de relever Kabyl et sa bande !

Réalisateur et écrivain, Philippe Carrese est l’auteur de nombreux romans noirs, ainsi que de polars jeunesse. Enclave est son premier roman de littérature générale.

« À un signe, les soldats ont tous grimpé dans les quatre premiers camions, avec une parfaite discipline. Le cinquième véhicule hermétiquement bâché, sans doute chargé de tous les secrets de Medved’, suivait. Le convoi a passé les grilles du camp. Un homme de troupe est descendu refermer le grand portail. Les loupiotes rouges aux culs des véhicules se sont dissipées dans la forêt, comme les ronflements brouillons des moteurs. L’odeur des gaz d’échappement a stagné longtemps. L’aube blafarde pointait derrière les cimes enneigées des mélèzes. La lune difforme s’éclipsait derrière les cimes enneigées des montagnes. Ils sont partis, ce matin. » En vidant le camp de Medved’, en janvier 1945, devant l’avancée soviétique, les Allemands ont pris soin de piéger son unique issue. Comment s’échapper de cet enfer ? Faute de trouver une solution immédiate, les détenus, un peu plus de cent soixante êtres humains coincés en pleine montagne, cernés par deux torrents infranchissables, coupés du monde extérieur, vont devoir prendre en main leur propre survie et s’organiser. Tandis que Matthias, le jeune narrateur, tient la chronique de cette nouvelle existence, notant les faits, les gestes et les paroles de chacun, la situation dérape progressivement. Avec un rythme d’écriture impitoyable, Philippe Carrese enracine son œuvre dans l’histoire concentrationnaire. Il la donne à voir, à entendre, à sentir. Son récit, précis jusqu’à l’obsession, est époustouflant : à le lire, on éprouve le goût de l’essentiel.

Mauvais jour pour Kabyl et ses copains... Une journée des métiers qui tourne à la catastrophe au collège ; Jean-Dominique Ponteleccia, le père de Christopher, libéré de prison par erreur ; Kevin en conflit violent avec deux flics ripoux ; Resquille parti sur une mauvaise pente (ou sur la route de la fortune, une fortune pas très morale) ; Rodolphe qui se montre sous son vrai jour... Mais surtout, élément déterminant et perturbateur : Zoé qui file le parfait amour avec Christopher, au nez et à la barbe naissante de Kabyl... À chacun ses choix, à chacun sa route : les adolescents des quartiers sud marseillais ne sont décidément plus des gamins !

Pourquoi veut-on la peau d'Emile, le clochard qui squatte la bastide, une grande demeure en ruine près du bord de mer ? Les deux truands sans scrupules mandatés pour effrayer le malheureux vieillard en sont en tout cas pour leurs frais, car l'homme est plus coriace qu'il n'y paraît, et la bastide recèle d'étonnantes surprises... Pour aider Emile à venir à bout de ses démons, Kabyl et sa nouvelle copine, la fringante Mylène, vont devoir remonter le fil d'une histoire vieille de plus de vingt ans...

L'histoire pouvait s'arrêter là. Mais une destinée se joue souvent à pas grand-chose : quelques secondes de retard, un geste inapproprié, une rencontre anodine, un incident idiot. L'histoire aurait pu s'arrêter là si le fils et le mari de Valentina ne s'étaient pas trouvés sur le pont de ­Genesee River ce jour-là, si Charles Cèseran, un jeune photographe marseillais, n'était pas tombé sur une correspondance d'Amérique destinée à sa mère, si Marzio ­Belonore, le concertiste réputé, ne s'était pas coincé les doigts dans une porte, si Vittoria Belonore avait pris le volant de cette ­Maserati sur le circuit de Tripoli... L'histoire aurait pu ­s'arrêter là si Tancredi Crevalcore, condottiere romain, n'avait pas retrouvé au hasard d'une soirée tout à fait ­oubliable le violon de son fils Michele, disparu un quart de siècle plus tôt.

Volturno Belonore, un homme dans la puissance de l'âge, règne sans conteste sur ses trois fils, sa jeune épouse et son village, San Catello, en Lombardie. Un soir de la fin de l'été 1911, une luxueuse voiture tombe en panne et ses occupants demandent de l'aide à Volturno...

En échange de quoi, ils lui prédisent la fortune grâce au minerai enfoui dans son terrain. Hélas, la prédiction va s'avérer malédiction : seul Marzio, le fils cadet, y échappera. Du moins, à considérer que devenir virtuose au détriment de la passion amoureuse ne fait pas partie de la malédiction...

Un roman vertigineux qui nous plonge dans l'Italie du début du XXe siècle, sur fond de guerre et de montée du fascisme. Tout l'art de Carrese se retrouve dans la force évocatoire de ses personnages, formidablement présents... et attachants.

1945. La guerre se termine, l'Italie fasciste est en pleine débâcle. À San Catello, le fief des Belonore, il ne reste que peu d'habitants. Parmi eux, la belle Vittoria et son jeune garçon, la dévouée Addolorata, Lucio, l'ingénieur paraplégique et le patriarche, celui par qui tout a commencé, Volturno. C'est une lutte pour leur survie et celle du village qu'ils vont devoir mener, une lutte qui les opposera à leur ennemi juré, le condottiere Tancredi Crevalcore, bien décidé à venger la mort de son fils...

1964. Addolorata mène la visite guidée annuelle du village abandonné de San Catello où elle raconte la légende des Belonore et la construction du barrage. Cette année-là, de drôles de randonneurs font la balade...

Brillamment mené, ce roman nous plonge dans l'Italie du lendemain de la guerre, qui panse ses plaies et invente son lendemain.

Il y a 995 ans, en 1023, le comté de Provence vivait sous le règne de Guillaume III Bien sûr, Marseille ramenait déjà sa fraise, jamais contente. Dans 995 ans, en 3013, à moins que vous ne disposiez d’un engin à voyager dans le temps... Qu’en sera-t-il ? Y-aura-t-il encore une Marseille ? Sera-t-elle sous les eaux ? Dans une autre galaxie ? Vidée de tous ses habitants ? Faire un bond jusqu’en 3013… …C’est justement ce que proposent le collectif Marseille 3013 et les éditions Gaussen avec ce recueil de treize nouvelles pour imaginer la ville dans mille ans. Pour composer ce recueil, Patrick Coulomb a fait appel à 12 auteurs confirmés auxquels s’est jointe Clémence Bailly, lauréate d’un concours de nouvelles ouvert à tous les lycéens et apprentis des Bouches-du-Rhône. Le jury de ce concours, coorganisés avec le collectif Marseille 3013, était présidé par Franz-Olivier Giesbert.

Mai 1967, sur les bords du Tibre… Le groupe Potere Rosso, "le Pouvoir Rouge" est fin prêt à passer à l'acte. Les attentats se dessinent spectaculaires.

Mais la révolution n'est pas un exercice facile, surtout lorsque toutes les attentions sont focalisées sur d'autres événements d'importance : la sortie de l'album "Sergent Pepper" des Beatles, la guerre des six jours en Palestine, les querelles intestines à l'ambassade américaine, la pusillanimité des communistes du Lazio, les désordres gastriques du responsable local de la CIA, les cours de tango argentin dans les salons de Trastevere et les doutes existentiels de Pietrino Belonore, en croisade viscérale contre les soldats yankees.

Surtout lorsque l'amour qui déboule fait plus de dégâts que toutes les bombes à retardement.

Philippe Carrese, né à Marseille en 1956, est écrivain, musicien, scénariste, réalisateur et dessinateur.

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode