Tous les livres de Pierre-Robert Leclerq
Un vieux griot africain raconte éternellement les mêmes histoires, enjolivées, amplifiées au fil des récits. L’ancien tirailleur sénégalais se souvient vaguement de cette ville des routes… C’était il y a si longtemps…
Profiter d'un rayon de soleil pour aller faire un tour à Versailles au long d'un après-midi ensoleillé, voir passer, dans des éclats diffus de lumière, Louis XIV, Marie-Antoinette, Molière, Gamain, Rameau, Marie Legeay, Le Nôtre, Mme de Sévigné, Rohan, Molière, Marie-Adélaïde de Savoie, Bontemps, Lully, d'Artagnan, Mue d'Humières, Bossuet, Corneille tandis que, de loin, les huit premières mesures du Te Deum de Marc-Antoine Charpentier vous arrivent et vous plongent dans le mystère : est-ce le début d'une émission de l'Eurovision ou la suite du concert dont les premières notes ont été relevées par miss Eleanor Frances Jourdain un après-midi de janvier 1902 ?
Ainsi en est-il de Versailles et ses mystères . Auteur de romans, d'essais et de pamphlets, prix Radio 1998 de la Société des auteurs et compositeurs dramatiques pour son oeuvre de fictions radiophoniques, Pierre-Robert Leclercq collabore au Monde des Livres.
Descendant du maréchal de Saxe par son père et d'un oiselier parisien par sa mère, Aurore Dupin voit le jour à Paris le 1er juillet 1804. Trop tôt privée de la présence paternelle, la future George Sand partage son enfance entre sa mère et sa grand-mère, deux femmes qui s'aimeront jamais. Ces premières années sont jalonnées d'événements douloureux, avec la mort du petit frère, d'images traumatisantes comme celles du Dos de Mayo lors d'un voyage en Espagne, en 1808. Mais c'est aussi la découverte de Nohant, où Aurore développe un amour des animaux et de la nature qui ne la quittera plus, et de fréquents séjours à Paris. C'est là, au couvent des Anglaises et sous l'œil vigilant d'une abbesse intrépide, que la jeune effrontée lie ses premières amitiés féminines s'adonne au théâtre et... rencontre Dieu. En 1822, après, avoir éconduit nombre de prétendants, elle épouse François Dudevant dit Casimir, dont elle aura deux enfants. Loin de s'assagir, elle revendique son indépendance et au travers de ses liaisons, supposées ou avérées, et de sa collaboration avec Jules Sandeau, affiche son goût de la transgression et de la liberté. Des années de jeunesse tumultueuses où, de Paris à Nohant, se croisent précepteurs, archevêques, hommes politiques, journalistes et soupirants, préfigurant ce que sera la destinée de George, née le 2 mai 1832, date à laquelle s'achèvent ces Années Aurore
Présentation de l'éditeur
Descendant du maréchal de Saxe par son père et d'un oiselier parisien par sa mère, Aurore Dupin voit le jour à Paris le 1er juillet 1804. Trop tôt privée de la présence paternelle, la future George Sand partage son enfance entre sa mère et sa grand-mère, deux femmes qui n s'aimeront jamais. Ces premières années sont jalonnées d'événements douloureux, avec la mort du petit frère, et d'images traumatisantes comme celles du Dos de Mayo lors d'un voyage en Espagne, en 1808. Mais c'est aussi la découverte de Nohant, où Aurore développe un amour des animaux et de la nature qui ne la quittera plus, et de fréquents séjours à Paris. C'est là, au couvent des Anglaises et sous l'il vigilant d'une abbesse intrépide, que la jeune effrontée lie ses premières amitiés féminines s'adonne au théâtre et... rencontre Dieu. En 1822, après, avoir éconduit nombre de prétendants, elle épouse François Dudevant dit Casimir, dont elle aura deux enfants. Loin de s'assagir, elle revendique son indépendance et au travers de ses liaisons, supposées ou avérées, et de sa collaboration avec Jules Sandeau, affiche son goût de la transgression et de la liberté. Des années de jeunesse tumultueuses où, de Paris à Nohant, se croisent précepteurs, archevêques, hommes politiques, journalistes et soupirants, préfigurant ce que sera la destinée de George, née le 2 mai 1832, date à laquelle s'achèvent ces Années Aurore
S'attardant devant la vitrine grisâtre d'une librairie d'apparence vétuste, il parvint à lire, sur une couverture en vieux cuir, Le Caractère du 'ârif, un ouvrage d'Avicenne. Pensant qu'il y avait là de quoi étonner son commanditaire, il entra dans la librairie. Derrière la pénombre, Mikhaïl ne distinguait pas son visage. Quand il s'en fut approché, il retint un cri. Van Gogh ! Non celui de l'autoportrait à la pipe et au pansement à l'oreille, mais celui au regard de côté, peint pat John Russell. Ce regard l'a toujours fasciné. Le retrouver, animé, au fond de cette librairie justifiait le cri retenu. Il se contenta d'un Bonjour. Un murmure lui répondit. Et il se renseigna sur le prix du livre.
Rien ne destinait Mikhaïl Fiodorovitch Loukianov à faire avec le vieux libraire de la rue Poliveau le chemin qui de la curiosité passe par la sympathie pour aboutir à l'amitié. Rien, si ce n'est la curiosité d'un certain Charles-Claude Bergerac...
Cette vie d'un libraire soumis à une enquête, c'est aussi le roman d'un roman qui s'écrit quand un auteur n'est plus maître de ses personnages.
(Source : Éditions