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Livres - Bibliographie

Woody Allen


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Toutes les séries de Woody Allen

2 livres
30 lecteurs

Chez Woody Allen, Dieu est un chef de service sadique qui s'amuse à lancer des paris absurdes avec Satan. Et pour Les gagner, Le Seigneur n'hésite pas à pousser Job dans un chaudron de Béchamel, avant de lui envoyer un ange de Miséricorde qui l'assomme à coups de maillet de polo... De pensées ahuries en aphorismes grandioses, une folie douce salvatrice qui raille Les mythes du monde moderne.

123 livres
4 lecteurs

1 - J. T. McINTOSH, Une chance sur trois cents (One in three hundred), pages 3 à 40, trad. (non mentionné)

2 - Esther CARLSON, Quelque chose de plus que les autres... (Heads you win...), pages 41 à 48, trad. (non mentionné)

3 - Raymond E. BANKS, Cantiques de Noël (Christmas trombone), pages 49 à 58, trad. (non mentionné)

4 - Alain DORÉMIEUX, Le Crâne, pages 59 à 66

5 - Alan NELSON, ...mais le silence est d'or (Silenzia), pages 67 à 78, trad. (non mentionné)

6 - Jack FINNEY, Le Troisième palier (The third level), pages 79 à 83, trad. (non mentionné)

7 - Michel CARROUGES, Le Cache-nez de caoutchouc, pages 84 à 91

8 - Lord DUNSANY, Diable d'histoire (Told under oath), pages 92 à 98, trad. (non mentionné)

9 - Oliver SAARI, Sa chance (The space man), pages 99 à 108, trad. (non mentionné)

10 - Jacques BERGIER & Igor B. MASLOWSKI, Ici, on désintègre !, pages 109 à 111, Critique(s)

11 - Alain DORÉMIEUX & Igor B. MASLOWSKI, Un "Fémina" très discuté, pages 112 à 113, Critique(s)

12 - F. HODA, De la fantaisie à l'actualité, pages 114 à 115, Chronique

13 - (non mentionné), Deux disciples oubliés d'Edgar Poe : Eugène MOUTON et Jules LERMINA, pages 116 à 121, Article

14 - (non mentionné), Voyages dans le temps, pages 125 à 125, Article

15 - COLLECTIF, Courrier des lecteurs, pages 126 à 126, Courrier

Tous les livres de Woody Allen

Ce recueil de textes et pastiches humoristiques traite de sujets variés, tels que la nature de la relativité et la relativité de la nature, la menace ovniprésente des OVNI, ou la vie secrète de Madame Bovary et de son amant Kugelmass, de même, bien sûr, que des obsessions favorites de Woody Allen, partagées - il faut le dire - par nombre de ses fans : sexe, mort et religion.

Qu'il aborde la philosophie, la science, les grands évènements mondiaux ou la critique gastronomique, le New-Yorkais génial et névrosé déploie dans ces seize courts chefs-d'oeuvre son éclectisme et son humour inimitable.

Riverside Drive, Old Saybrook et Central Park West sont les premières pièces de théâtre écrites par Woody Allen, qui met en scène de manière insolite, avec humour et une grande pénétration, le thème de l'infidélité. Les personnages, archétypes du New Yorkais, apparaissent d'abord sous un jour plutôt innocent, jusqu'à ce qu'une révélation totalement inattendue vienne chambouler le cours de la pièce et engendre des situations véritablement savoureuses pour le lecteur...

Neuf nouvelles de Woody Allen qui renouent avec l'esprit des premiers films du maître de la dérision.

Woody Allen mêle le ridicule à l'invraisemblable sans oublier d'y mettre une pincée d'acide. Il renoue avec un sens du décalage, de la dérision et de l'absurde qui rappelle l'esprit de ses premiers films. Avec, comme toujours, des dialogues à hurler de rire.

"Recueil de nouvelles aux allures de sketchs, L'erreur est humaine ravira les fans de la première heure. C'est en effet l'esprit loufoque du Woody de la période Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le sexe... qui règne sur ces pages."

Elle

"Cocktail détonnant d'analogies et de jeux de mots incongrus [...]. Du bonheur de perdre pied."

Figaro Madame

"Dans son dernier recueil de nouvelles, Woody Allen prouve une fois de plus qu'il est le fils de Groucho Marx et de Dostoïevski."

L'express livres

"Avec Woody Allen, l'erreur est humaine, mais le rire, lui, est divin." TV5 Monde

Une tragédie burlesque dans l'Amérique de la chasse aux sorcières. Présentation de Philippe Labro.

CHANTEUR

Nous voilà cool

Loin de la foule ;

Nul indiscret

Pour déranger...

Soyons osés !

Voici la première comédie sexuelle, le tour du sexe en quatre-vingt minutes et sept sketches :

1. Les aphrodisiaques sont-ils efficaces ?

2. Qu'est-ce que la sodomie ?

3. Pourquoi certaines femmes parviennent-elles difficilement à l'orgasme ?

4. Les travestis sont-ils des homosexuels ?

5. Qu'est-ce que la perversion sexuelle ?

6. Les recherches médicales sur le sexe donnent-elles des résultats probants ?

7. Que se passe-t-il pendant l'éjaculation?

CHANTEUR

Le printemps, dit-on, Excite les oisillons Imitons les Piverts, Soyons Pervers !...

Neige, guirlandes, dinde aux marrons et feu dans la cheminée... Que manque-t-il à ces images d'Epinal de la période de Noël ? Un cadeau, bien sûr ! Mais un cadeau mortel, comme il se doit pour tout amateur éclairé de romans policiers.

Couteau, poison, revolver, enlèvement, quelle arme choisir pour emballer ce délicieux présent ? Le placera-t-on dans la cheminée, dans le pudding, dans le bas de laine ou sous le chapeau de ce bonhomme de neige amoureusement confectionné ?

Qu'ils officient dans le crime en chambre close - Edward D. Hoch -, le suspense - Susan Moody - ou chez les fantômes - Peter Lovesey -, tous les écrivains présents dans ce recueil font de la fête de la Nativité le cadre des actions les plus viles et des manigances les plus noires...

De Conan Doyle à Woody Allen, les plus grandes plumes du polar ou de la comédie policière se sont donné rendez-vous sous le sapin !

Deux best-sellers de Woody Allen réunis dans un Point2 : Dieu, Shakespeare et moi et Pour en finir une bonne fois pour toutes avec la culture. Des récits plus drôles les uns que les autres et des pastiches, qui mettent en scène Dieu, en tant que chef de service sadique, Satan, ou encore la Mort. Woody Allen s'en donne à coeur joie et raille les mythes du monde moderne.

scénario de 4 films DE WOODY ALLEN

Annie Hall - Interieurs - Manhattan - Stardust Memories'

Du côté positif, mourir est une des rares choses que l'on puisse faire aussi bien couché que debout.

(Dieu, Shakespeare... et moi, in Opus 1 et 2, Éd. Solar, trad. Michel Lebrun, p.13)

L'argent est préférable à la pauvreté, ne serait-ce que pour des raisons financières.

(Dieu, Shakespeare... et moi, in Opus 1 et 2, Éd. Solar, trad. Michel Lebrun, p.14)

Être aimé est très différent d'être admiré, car l'on peut être admiré de loin, alors que pour aimer réellement quelqu'un, il est essentiel de se trouver dans la même chambre, et si possible sous le même drap.

(Dieu, Shakespeare... et moi, in Opus 1 et 2, Éd. Solar, trad. Michel Lebrun, p.14)

Pensée : Pourquoi l'homme tue-t-il ? Il tue pour sa nourriture. Et point uniquement pour cela : il faut boire aussi.

(Dieu, Shakespeare... et moi, in Opus 1 et 2, Éd. Solar, trad. Michel Lebrun, p.18)

J'ai décidé de rompre mes fiançailles avec M... [...] Nous nous sommes disputés, et elle a remis sur le tapis la question des enfants, mais j'ai réussi à la convaincre qu'ils seraient trop jeunes lorsque nous en aurions.

(Dieu, Shakespeare... et moi, in Opus 1 et 2, Éd. Solar, trad. Michel Lebrun, p.21)

Si seulement Dieu voulait m'adresser un signe de son existence... S'il me déposait un bon paquet de fric dans une banque suisse, par exemple !

(Dieu, Shakespeare... et moi, in Opus 1 et 2, Éd. Solar, trad. Michel Lebrun, p.21)

Et Abraham tomba à genoux :[...]

Mais cela ne prouve-t-il pas que je T'aime ? J'étais prêt à tuer mon fils unique pour Te montrer mon amour...

Et le Seigneur parla, en sa grande sagesse :

-Ça ne prouve qu'une chose : que des crétins suivront toujours les ordres, si imbéciles soient-ils, pour peu qu'ils soient formulés par une voix autoritaire, retentissante et bien modulée !

(Dieu, Shakespeare... et moi, in Opus 1 et 2, Éd. Solar, trad. Michel Lebrun, p.45)

Il ne fait aucun doute qu'il existe un monde invisible. Cependant, il est permis de se demander à quelle distance il se trouve du centre-ville et jusqu'à quelle heure il est ouvert.

(Dieu, Shakespeare... et moi, in Opus 1 et 2, Éd. Solar, trad. Michel Lebrun, p.58)

- Depuis combien de temps votre mari avait-il des insomnies ?

- Depuis des années. C'était psychique. Il craignait que, s'il fermait les yeux, la municipalité n'en profite pour peindre une ligne jaune sur lui.

(Dieu, Shakespeare... et moi, in Opus 1 et 2, Éd. Solar, trad. Michel Lebrun, p.102)

[...] si j'étais un homme d'État grec, je ne ferais jamais confiance aux Troyens. As-tu remarqué qu'ils ne prennent jamais de vacances ?

(Dieu, Shakespeare... et moi, in Opus 1 et 2, Éd. Solar, trad. Michel Lebrun, p.153)

J'aime bien mon sort. Je sais ce qu'on attend de moi. Je suis bien soigné. Je n'ai aucune responsabilité. Je suis né esclave, esclave je mourrai. Je n'ai nulle angoisse.

(Dieu, Shakespeare... et moi, in Opus 1 et 2, Éd. Solar, trad. Michel Lebrun, p.154)

La liberté, c'est dangereux ! Ce qui est sécurisant, c'est de rester à sa place !

(Dieu, Shakespeare... et moi, in Opus 1 et 2, Éd. Solar, trad. Michel Lebrun, p.155)

Diabètes: Pour écrire une pièce, le truc est de commencer par la fin. Trouver une bonne fin, puis écrire à l'envers.

Hépatitis: J'ai essayé ça une fois. Maintenant j'ai une pièce sans commencement !

(Dieu, Shakespeare... et moi, in Opus 1 et 2, Éd. Solar, trad. Michel Lebrun, p.184)

Aucun moment n'est le bon, sauf pour les choses agréables !

(Dieu, Shakespeare... et moi, in Opus 1 et 2, Éd. Solar, trad. Michel Lebrun, p.199)

C'est aveuglant de clarté.

(Dieu, Shakespeare... et moi, in Opus 1 et 2, Éd. Solar, trad. Michel Lebrun, p.208)

- Harriet, qu'est-ce qui nous est arrivé ?

- Nous n'avons jamais regardé la réalité en face.

- Ce n'était pas ma faute. Tu m'as dit qu'elle était au nord.

- La réalité est au nord, Ike.

- Non, Harriet. Les rêves creux sont au nord. La réalité est à l'ouest. Les fausses espérances sont à l'est, et il me semble bien que la Louisiane est au sud.

(Dieu, Shakespeare... et moi, in Opus 1 et 2, Éd. Solar, trad. Michel Lebrun, p.263)

Rentrez dans un nouveau Manhattan où les tueurs en série se plaignent d'être toujours les premiers incriminés dès que trois ou quatre victimes sont tuées de la même façon. Dans ce monde, les flics sont régulièrement contactés par des zoos pour faire des remplacements lorsque l'ours titulaire est en congé maladie ; les dessinateurs de la police refusent de faire des portraits-robots tant que le suspect ne vient pas prendre la pose ; et un Grand Congrès des Ennemis se tient chaque année sur la Côte Est... Au milieu de ce joyeux capharnaüm, vous trouverez aussi un dentiste qui fait des mystères... Neuf nouvelles imprégnées de l'humour burlesque et décalé du cinéaste américain à savourer.

God

La scène est dans la dans un amphithéâtre de l'Antiquité Grecque, vers 500 avant JC. Diabetes, un acteur, et Hepatitis, un auteur, sont sur scène et se lamentent sur la fin de la nouvelle pièce d'Hepatitis qui n'a pas de fin heureuse. Ils commencent alors à constamment briser le quatrième mur, interpellent le public et font remarquer combien ils sont des personnages fictionnels sortis d'une pièce de théâtre. Hepatitis demande si quelqu'un a un master de philosophie, ce qui fait qu'une spectatrice nommée Doris Levine rejoint l'action sur scène, tandis que Diabetes appelle l'auteur Woody Allen pour savoir comment devrait s'achever sa pièce.

Annie Hall, c'est le nom de la jeune provinciale écervelée et un peu ringarde, jouée par Diane Keaton dont Alvy Singer, véritable double de Woody Allen et représenté par le cinéaste lui-même, tombe amoureux, créant du même coup un personnage promis à une longue postérité.

Alvy est un écrivain juif new-yorkais, la quarantaine douloureuse, deux ex-femmes, quinze ans d'analyse, hanté par la mort, l'apocalypse et le big bang, Kafka, le sexe... et Le Chagrin et la pitié.

Il n'a de cesse de créer des obstacles à son histoire d amour avec Annie Hall...

BILINGUE FRANCAIS - ANGLAIS

Né en 1935 à Brooklyn, Woody Allen se lance dans le show-business à l’âge de seize ans en rédigeant des gags pour des chroniques dans différents journaux de Broadway, avant d’écrire pour la radio, la télévision, le théâtre, le cinéma et le New Yorker. Il quitte ensuite la solitude du bureau de l’écrivain pour devenir humoriste dans divers clubs, puis le célèbre réalisateur que l’on sait.

Durant les quelque soixante ans de sa carrière cinématographique, il a écrit et tourné cinquante films dont il est souvent aussi l’acteur principal. Il a reçu de nombreuses récompenses nationales et internationales, et a vu des statues érigées en son honneur (sans jamais d’ailleurs comprendre ce qui lui avait valu pareil hommage), et ses films ont été mis au programme d’écoles et d’universités dans le monde entier.

Dans Soit dit en passant, Woody Allen parle de ses premiers mariages, l’un avec un amour de jeunesse, le second avec la merveilleusement drôle Louise Lasser, qu’il continue d’adorer. Il décrit aussi son aventure avec Diane Keaton, qui s’est transformée en l’amitié d’une vie entière. Il revient sur ses relations professionnelles et personnelles avec Mia Farrow, qui ont amené à la réalisation d’un certain nombre de grands classiques, avant d’être suivies par une rupture orageuse dont se sont repus les tabloïds. Il confie qu’il a été le premier surpris quand, à cinquante-six ans, il a entamé une amourette avec Soon-Yi Previn, alors âgée de vingt-et-un ans, qui devait conduire à une grande histoire d’amour, passionnée et retentissante, et à un mariage heureux de plus de vingt ans.

Sur un ton souvent désopilant, d’une honnêteté absolue, plein d’intuitions créatives mais traversé de perplexité, c’est le récit d’une icône américaine qui vous dit tout ce que vous avez toujours voulu savoir sans jamais oser le demander…

Recueil de blagues, pensés, anecdotes et répliques de cinéma.

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