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Exposition du 8 avril au 16 mai 2011
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Avant-propos
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J
e connais bien l’avenue Matignon
pour en avoir arpenté le moindre centimètre carré alors que, dans les années 1990, je recherchais une salle des ventes pour Christie’s. J’ai quitté Christie’s en 2001, et je reviens avenue Matignon pour y montrer, dix ans après, l’Art qui me touche, et mon Père avant moi, celui créé à Paris après-guerre, par les grands Artistes qui s’y sont croisés. Paris rive gauche, Paris rive droite, de Saint-Germain-des-Prés au carrefour Saint-Honoré, de la rue de Seine à l’avenue Matignon, Paris et ses peintres, français (aveyronnais, boulonnais, normands, constantinois…), russes, suisses, canadiens, hongrois, allemands… de toutes origines, croyances, ou religions… talentueux surtout, avant tout ! Paris comme un aimant ! Paris que nous aimons ! L’exposition 14 Matignon, dont une sélection est présentée en avantpremière à Tefaf Maastricht du 18 au 27 mars 2011 et au Salon du dessin du 30 mars au 4 avril 2011, se tient à la Galerie Applicat-Prazan Rive droite du 8 avril au 16 mai 2011.
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Jean Dubuffet (1901 - 1985) Portrait Cambouis, décembre 1945 Haute pâte sur panneau Signée et datée en haut à droite 41 x 33 cm Provenance
René Drouin, Paris Collection Alfonso Ossorio et Edward Dragon, East Hampton Thomas Gibson Fine Art, Londres The Elkon Gallery, New York Collection Milton D. Ratner, Chicago Collection particulière, France Collection particulière, New York Expositions
Paris, Galerie René Drouin, Jean Dubuffet, Mirobolus, Macadam & Cie, 1946, cat., rep. p. 33 Paris, Musée des Arts décoratifs, Dubuffet, 16 déc. 1960 – 25 fév. 1961, n° 28, rep. p. 277 Berlin, Akademie der Künste, 7 sept. – 26 oct. 1980 ; Vienne, Museum Moderner Kunst / Museum des 20. Jahrhunderts Schweitzergarten, 20 nov. 1980 – 18 janv. 1981 ; Cologne, JosefHaubrich-Kunsthalle, 7 fév. – 29 mars 1981 ; Dubuffet Retrospektive, cat. n° 43, rep. p. 309 Paris, Centre Georges Pompidou, Musée national d’Art moderne, Paris-Paris, 26 mai – 2 nov. 1981, cat. n° 192 Chicago, University of Chicago, The David and Alfred Smart Gallery, 4 oct. – 2 déc. 1984 ; Saint-Louis, Washington University, Gallery of Art, 18 janv. – 3 mars 1985; Jean Dubuffet, Forty Years of His Art, cat. n° 6 Tanlay, Centre d’Art contemporain, 1988, cat. n° 2, rep. p. 25 Madrid, Fundación Caja de Pensiones, Jean Dubuffet, 1992, cat. n° 52, rep. p. 65 Vence, Château de Vence, Chambres pour Dubuffet, 1995, cat. n° 2, rep. Paris, Musée d’Art moderne de la Ville de Paris, Passions privées, déc. 1995 – mars 1996, collection A33, n° 5, rep. en pp. coul. p. 315 Paris, Centre Georges Pompidou, Musée national d’Art moderne, Dubuffet, 13 sept. – 31 déc. 2001, cat. p.64 Bibliographie
Max Loreau, Catalogue des travaux de Jean Dubuffet, fascicule II : Mirobolus, Macadam & Cie, Jean-Jacques Pauvert Éditeur, 1966, n° 91, rep. en pp. p. 62 (support erroné)
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Jean Fautrier (1898 - 1964) Nu (Not much to look at), 1957 Technique mixte sur papier marouflé sur toile Signée et datée en bas à droite ; signée, titrée et datée au dos 89 x 116 cm Provenance
Galleria Apollinaire, Milan Collection Ricardo Jucker, Milan Collection Fabio Sargentini, Rome Importante collection particulière italienne Expositions
Lissone, 10e édition du prix Lissone, 1957 Mamiano di Traversetolo (Parme), Fondazione Magnani Rocca, Jean Fautrier e l’Informale in Europa, 14 sept. – 1er déc. 2002, rep. en pp. coul. p. 91 Bibliographie
Palma Bucarelli, Jean Fautrier, Pintura e Materia, Il Saggiatore, Milan 1960, n° 353, rep. p. 354 Cette œuvre sera incluse au catalogue raisonné des travaux de l’artiste en préparation par Madame Marie-José Lefort.
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Georges Mathieu (né en 1921) Mille neuf cent cinquante et un, 1951 Huile sur panneau Signée et datée en bas à droite 120 x 160 cm Provenance
Collection Urvater, Belgique Collection particulière, Suisse Bibliographie
L’œil, n° 88, avr. 1962, rep. Certificat de l’artiste en date du 29 septembre 1994 Nous remercions Monsieur Jean-Marie Cusinberche pour les informations qu’il nous a transmises au sujet de cette œuvre.
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Hans Hartung (1904 - 1989) Composition, 1947 Mine de plomb, pastel et fusain sur papier Signé et daté en bas à droite 57 x 73 cm Provenance
André Simoens Gallery, Knokke (Belgique) Collection particulière, Luxembourg Cette œuvre est répertoriée sous le n° 2196-23 dans les archives de la Fondation Hans Hartung et Anna-Eva Bergman et sera incluse au catalogue raisonné des travaux de l’artiste en préparation par cette dernière. “Le dessin est la base de tout .” Alberto Giacometti “[Il] n’est pas la forme, il est la manière de voir la forme.” Edgar Degas
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Pierre Soulages (né en 1919) Peinture 195 x 130 cm, 11 juillet 1953 Huile sur toile Signée et datée en bas à droite ; signée et datée au dos 195 x 130 cm Provenance
Collection Burton Tremaine, Meriden, Connecticut Principia College, Elsah, Illinois (acquise en 1964) Exposition
Turin, Palazzo Belle Arti, Peintres d’aujourd’hui, 1953 Bibliographie
Pierre Encrevé, Soulages, l’œuvre complet, Peintures, vol. I. 1946 - 1959, Seuil, Paris 1994, n° 128, rep. en pp. coul. p. 147 Au premier tome du catalogue raisonné des peintures de Pierre Soulages, Pierre Encrevé répertorie 372 œuvres exécutées entre 1946 et le 16 juin 1959, dont 51 grands formats (“120 figures” ou plus). Au moment de la publication de l’ouvrage, sur ces 51 œuvres, 24 appartenaient à l’artiste ou à des musées et institutions dont celle-ci qui, à notre avis, est l’une des plus importantes. “On sait, depuis les années 1950 déjà, que « les préjugés coûtent cher ». Non seulement ils coûtent cher, mais selon toutes apparences, ils rendent aveugles. Les préjugés qui sévissaient, durant les années 1950 à New York à l’égard de l’Art européen et de l’Art français, avaient été mis en place par une critique intelligente, certes, mais aussi étroite que politiquement motivée. Aujourd’hui encore, ces préjugés restent opératoires dans certains milieux. En revanche, Pierre Soulages, qui fut très tôt reconnu à New York et respecté par un grand nombre d’artistes sensibles à sa démarche, occupe une place singulière et reste en dehors de ces appréciations hâtives.” Serge Guilbaut, Pierre Soulages, l’Américain de Paris in Soulages, catalogue de la rétrospective présentée au Centre Pompidou, Musée national d’Art moderne à Paris, du 14 oct. 2009 au 8 mars 2010
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Jean-Paul Riopelle (1923 - 2002) Retour d’Espagne, 1952 Huile sur toile Signée et datée au dos 89 x 130 cm Provenance
Collection Michel Tapié Collection particulière, Londres Collection particulière, Paris Expositions
Madrid, Museo Thyssen-Bornemisza, Fundación Caja Madrid, 23 fév. – 30 mai 2010, cat. 86, rep. en pp. coul. p. 229 ; Paris, Musée Marmottan Monet, 17 juin – 26 sept. 2010, cat. 41, rep. en pp. coul. p. 149 ; Monet et l’abstraction Bibliographie
Yseult Riopelle, Jean-Paul Riopelle, Catalogue raisonné, tome II, addendum au tome I, Acatos, 2004, n° 1952.044H1952, reproduite (inversée) p. 426 En mars 1951, Riopelle participe à l’exposition Véhémences confrontées à la galerie Nina Dausset, organisée par Georges Mathieu et présentée par le petit-cousin de Toulouse-Lautrec, Michel Tapié de Céleyran. Cette dernière rencontre sera déterminante. En novembre, à Paris, une nouvelle exposition de groupe, Signifiants de l’informel, toujours présentée par Michel Tapié, le réunit à Fautrier, Dubuffet, Michaux, Mathieu et Serpan, au Studio Paul Fachetti. En décembre, Tapié lui consacre une exposition personnelle au Studio Fachetti. En 1952, Riopelle voyage en motocyclette et en train à travers l’Espagne pendant plusieurs semaines. Retour d’Espagne, qui a appartenu à Michel Tapié, est une œuvre centrale de cette période de l’Artiste, sans doute la plus féconde et certainement la plus recherchée, durant laquelle le dripping (ou gicling) a pris une direction plastique différente, celle de l’explosion ! Elle est le fruit de cette relation d’amitié et d’admiration mutuelle, entre les deux hommes et le produit de l’imagination de l’Artiste, nourrie des paysages féconds d’un pays, l’Espagne, si différent des horizons canadiens dont il est issu.
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Jean-Michel Atlan (1913 - 1960) Le Tao, 1956 Huile sur toile Signée en bas à gauche 146 x 89 cm Provenance
Collection Henri Kamer, New York Collection Chevry Collection particulière, Genève Expositions
Bruxelles, Palais des Beaux-Arts, Atlan, 16 mars – 3 avr. 1957, cat. n° 35 Antibes, Musée Picasso, Atlan, juil. – août 1957, pl. n° 2 Milan, Galleria del Navigo, 17 – 26 mai 1958, cat. Paris, Musée national d’Art moderne, Atlan, 22 janv. – 17 mars 1963, cat. n° 36 Paris, Galerie Enrico Navarra, Atlan, avr. – juin 1989, cat., rep. en pp. coul. p. 31, rep. en couv. Bibliographie
Bernard Dorival, Atlan, Essai de biographie artistique, Paris 1962, Éd. Pierre Tisné, pl. n° 39 Bernard Dorival, Atlan, Essai de biographie artistique, Paris 1970, Le Musée de Poche Nice Matin, 30 avril 1989, rep. Parcours, mai 1989, rep. coul. Elle, 23 mai 1989, rep. coul. Art Press, n° 136, mai 1989, rep. coul. Connaissance des Arts, n° 447, mai 1989, rep. coul. Beaux-Arts, n° 66, mai 1989, rep. p. 22 New Art International, mai 1989, rep. coul. Le Nouvel Observateur, n° 1279, mai 1989, rep. coul. et n/b L’œil, mai 1989, rep. coul. et n/b Art in America, mai 1989, rep. coul. p. 105 La Gazette de Drouot, Paris, 12 mai 1989, rep. Le Quotidien de Paris, mai 1989, rep. L’Observateur de Paris, 11 mai 1989, rep. coul. Le Revenu français, n° 225, juillet 1989, rep. coul. p. 56 Jacques Polieri et Kenneth White, Atlan, Catalogue raisonné de l’œuvre complet, Gallimard, Milan 1996, n° 313, rep. coul. p. 257 Jacques Derrida, Atlan Grand Format, Gallimard, Paris 2001, rep. en pp. coul.
“Le Tao n’a pas de nom. Il n’a pas non plus de couleur ni de forme. Fondée à l’origine sur la recherche de la voie et de la vertu, cette discipline philosophique et religion chinoise a produit au fil des siècles nombre d’images et de rituels, bien loin de l’impossibilité énoncée de donner forme au Tao.” Laure Coulon
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Jean Hélion (1904 - 1987) La Belle Étrusque (ou Le porteur de citrouilles), 1948 Huile sur toile Monogrammée et datée en haut à gauche ; signée, datée, située et titrée Le porteur de citrouilles au dos 114 x 146 cm Provenance
Collection particulière Expositions
Paris, Fondation Mercedes-Benz, Formes en puissance, 9 mars – 9 avr. 1971 Paris, Centre Georges Pompidou, Musée national d’Art moderne, Paris-Paris, 26 mai – 2 nov. 1981 Valence, IVAM, Centre Julio González, 27 mars – 31 mai 1990, n° 102 ; Liverpool, Tate Gallery, 24 août – 21 oct. 1990 ; Jean Hélion Bibliographie
Armin Zweite, Jean Hélion, Abstraktion und Mythen des Alltags, catalogue de l’exposition à la Städtische Galerie im Lenbachhaus, Munich 1984, rep. p. 248 Henry-Claude Cousseau, Hélion, Éditions du Regard, Paris 1992, rep. coul. p. 132 et p. 323 Philippe Dagen, Hélion, Éditions Hazan, Paris 2004, rep. en pp. coul. p. 193 “C’est en 1944 qu’Hélion esquisse pour la première fois un thème fondamental dans son travail, peu abordé par ses contemporains immédiats, celui de la vitrine. Le motif est riche qui traite tout à la fois de la notion de cadre, de transparence, de reflet, et paraît comme un des plus propices à mettre en valeur les caractéristiques de sa pensée. […] La vitrine, ornement naturel de la rue, et organe par excellence de présentation, influencera beaucoup les peintres vers 1925-28. Il réunit en effet deux des éléments essentiels de la représentation picturale : la fenêtre et le miroir […] C’est dans la série des boutiques aux citrouilles (1948) que le thème prend sa véritable ampleur en devenant sujet de l’œuvre à part entière. Les éléments d’encadrement de la devanture sont ceux-là même qui structurent la composition ; surtout la vitrine devient, dans la fiction spatiale du tableau, le prétexte à une théâtralisation de la dialectique entre intériorité et extériorité, jeu auquel Hélion nous avait déjà invités, mais de façon plus allusive, dans les compositions avec fenêtres et portes. Ici, cette problématique devient le mobile proprement dit de l’œuvre. Tantôt le personnage acheteur de citrouilles (toujours masculin) est vu de dos à l’intérieur de la boutique, tantôt il en sort, amplifié du volumineux légume ; de même, les citrouilles sont tantôt vues de l’intérieur au travers de la paroi de verre, tantôt offertes, à même la rue, exhibant leurs cavités.” Henry-Claude Cousseau, Hélion, Éditions du Regard, Paris 1992 Le thème de la Citrouillerie est emblématique du travail de Jean Hélion dont il constitue d’ailleurs l’une des images les plus puissantes. Si puissante qu’elle semble omniprésente, presque pléthorique. Pourtant, les grandes peintures sur ce thème sont extrêmement rares ! On les compte sur les doigts d’une main ! Celle-ci est à notre avis l’une des plus importantes.
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Maurice Estève (1904 - 2001) Médrano, 1953 Huile sur toile Signée et datée en bas à gauche 116 x 81 cm Provenance
Galerie Henri Dupont, Lille Collection Philippe Leclercq, Lille Collection particulière, Paris Expositions
Paris, Galerie Galanis, Estève, 13 mai – 30 juin 1955 Bâle, Kunsthalle, 10 juin – 16 juil ; Düsseldorf, Kunstverein für die Rheinlande und Westfalen, Kunsthalle, 26 juil. – 27 août ; Copenhague, Statens Museum for Kunst, 15 sept. – 15 oct.; Oslo, Kunstnernes Hus, 11 nov. – 3 déc. ; Estève, 1961 Paris, Fondation nationale des Arts graphiques et plastiques, Hommage à Charles Estienne, 1984 Bibliographie
Geneviève Bonnefoi, Les Années fertiles, 1940 – 1960, Mouvements Éditions, 1988, rep. coul. p. 103 Robert Maillard et Monique Prudhomme-Estève, Estève, Catalogue raisonné de l’œuvre peint, Ides et Calendes, Neuchâtel 1995, n° 425, rep. p. 309
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Serge Poliakoff (1900 - 1969) Composition abstraite (Rose), 1951 - 1952 Huile sur toile Signée en bas à droite 92 x 73 cm Provenance
Ancienne collection Philippe Dotremont, Bruxelles Bibliographie
Art d’aujourd’hui, n° 2, janv. 1952, rep. p. 29 Alexis Poliakoff, Serge Poliakoff, Catalogue raisonné, vol. I, 1922-1954, Acatos, Paris 2004, n° 52-12, rep. coul. p. 400
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Victor Vasarely (1908 - 1997) Ivia, 1954 - 57 Huile sur toile Signée, titrée, et datée au dos, avec indication des dimensions 120 x 100 cm Provenance
Galerie Veranneman, Bruxelles Collection particulière, Genève (acquise directement auprès de cette dernière en 1960) Certificat de Monsieur Pierre Vasarely en date du 4 mars 2010 Cette œuvre est répertoriée dans les archives de l’œuvre de l’artiste.
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Gérard Schneider (1896 - 1986) Opus 21 F, 1961 Huile sur toile Signée en bas à droite ; titrée au dos 200 x 150 cm Provenance
Collection particulière Certificat de Madame Loïs Schneider en date du 24 février 2010
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Remerciements
Ma gratitude va à ma femme et mes filles qui supportent mes longues heures d’absence. Elle va à mon Père, Monsieur Bernard Prazan, et à mes collaboratrices, Mesdames Perla Levy, Elspeth Chabbi et Camille Francart, sans oublier Madame Fatma. Elle va également à nos amis et clients qui nous font confiance, ainsi qu’à nos partenaires et fournisseurs (transporteurs, encadreurs, restaurateurs, photographes, éclairagistes, architectes, agenceurs, organisateurs de salons, syndicats professionnels, avocats, comptables, banquiers, informaticiens, assureurs, agences de presse et de communication, graphistes, imprimeurs, etc.) dont nous avons réuni les quelque 80 collaborateurs le 6 mai 2010 au Syndicat National des Antiquaires.
Création, édition : COMMUNIC’ART 216 bd Raspail 75014 Paris – Tél 33 (0)1 43 20 10 49 contact@communicart.fr Directeur de la création : François Blanc Design : Georges Baur Coordination : Pascale Guerre Photos : Art Digital Studio - © Adagp, Paris 2011 Imprimé en Corée © Applicat-Prazan Dépot légal février 2011 isbn 978-2-916277-29-5 – 50 €
APPLICAT–PRAZAN Rive gauche 16 rue de Seine – 75006 Paris
Rive droite 14 avenue Matignon – 75008 Paris
Tél +33 (0) 1 43 25 39 24 – Fax +33 (0)1 43 25 39 25 – info@applicat-prazan.com – www.applicat-prazan.com
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