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Panthéoniser Manouchian et toute l’Affiche rouge

Panthéoniser Manouchian et toute l’Affiche rouge

Par Collectif

Monsieur le Président de la République,

Nous vous écrivons cette lettre dans l’espoir d’empêcher une injustice. Vous avez annoncé le 18 juin votre choix de faire entrer au Panthéon les dépouilles de Missak Manouchian et de son épouse, Mélinée, en février 2024, à l’occasion du quatre-vingtième anniversaire du martyre du groupe de résistance à l’occupation nazie et à ses collaborateurs français. Le 21 février 1944, vingt-deux hommes furent fusillés au Mont-Valérien. La seule femme de leur réseau fut décapitée à Stuttgart, le 10 mai 1944.

Votre décision est une heureuse nouvelle qui nous a réjouis. Mettant fin à un trop long oubli, elle marque la reconnaissance de la contribution décisive des résistants internationalistes à la libération de la France et au rétablissement de la République. Manouchian et ses camarades appartenaient en effet aux Francs-tireurs et partisans – Main-d’œuvre immigrée (FTP-MOI), une unité de la Résistance communiste composée en grande part d’étrangers, de réfugiés et d’immigrés.  « Vingt et trois étrangers et nos frères pourtant », rappelait Louis Aragon en les célébrant dans son poème « L’Affiche rouge », où il évoquait leurs noms « difficiles à prononcer ».

En nos temps ô combien incertains où de nouvelles ombres gagnent, où xénophobie, racisme, antisémitisme et toutes les formes de rejet de l’autre, de l’étranger et du différent menacent, cet hommage patriotique et républicain est un message de fraternité qui rappelle que la France a toujours été faite du monde, de la diversité de son peuple et de la pluralité de ses cultures grâce à l’apport de toutes ses communautés d’origine étrangère. C’est surtout un message universel qui souligne combien les idéaux d’égalité des droits, sans distinction de naissance, de croyance ou d’apparence, initialement proclamés par la Déclaration des droits de l’homme de 1789, pour lesquels Manouchian et ses camarades ont donné leurs vies, peuvent soulever le monde entier.

Or, Monsieur le Président, c’est ce message que contredit le choix de faire entrer au Panthéon Missak et Mélinée Manouchian, et eux seuls. Eux-mêmes ne l’auraient sans doute ni compris ni souhaité. Isoler un seul nom, c’est rompre la fraternité de leur collectif militant. Distinguer une seule communauté, c’est blesser l’internationalisme qui les animait. Ce groupe de résistants communistes ne se résume pas à Manouchian qui, certes, en fut le responsable militaire avant que la propagande allemande ne le promeuve chef d’une bande criminelle. Et le symbole qu’il représente, à juste titre, pour nos compatriotes de la communauté arménienne est indissociable de toutes les autres nationalités et communautés qui ont partagé son combat et son sacrifice.

Monsieur le Président, nous espérons vous avoir convaincu que Missak Manouchian ne saurait entrer seul au Panthéon, fût-ce en compagnie de son épouse. Ce sont les vingt-trois, tous ensemble, qui font l’épaisseur de cette histoire, la leur devenue la nôtre, celle de la France, hier comme aujourd’hui. Les vingt-trois, sans en oublier un seul : juifs polonais, républicains espagnols, antifascistes italiens, et bien d’autres encore.

Nous vous demandons donc de faire en sorte qu’il soit accompagné par ses vingt-deux camarades : l’Arménien Armenak Arpen Manoukian, l’Espagnol Celestino Alfonso, les Italiens Rino Della Negra, Spartaco Fontanot, Cesare Luccarni, Antoine Salvadori et Amedeo Usseglio, les Français Georges Cloarec, Roger Rouxel et Robert Witchitz, les Hongrois Joseph Boczov, Thomas Elek et Emeric Glasz, les Polonais Maurice Füngercwaig, Jonas Geduldig, Léon Goldberg, Szlama Grzywacz, Stanislas Kubacki, Marcel Rajman, Willy Schapiro et Wolf Wajsbrot, et la Roumaine Olga Bancic.

Ils étaient vingt-trois, « vingt et trois qui criaient la France en s’abattant » – Aragon toujours –, vingt et trois qui disent notre patrie commune, sa richesse et sa force. Vingt et trois qui, à l’heure de la reconnaissance nationale, sont indissociables.

Signataires : Juana Alfonso, petite fille de Celestino Alfonso ; Patrick Boucheron, historien, professeur au Collège de France ; Michel Broué, mathématicien ; Patrick Chamoiseau, écrivain ; Costa-Gavras, cinéaste, président de La Cinémathèque française ; Elise Couzens et Fabienne Meyer, cousines germaines de Marcel Rajman ; Michel, Patrice et Yves Della Negra, neveux de Rino Della Negra ; René Dzagoyan, écrivain ; Jean Estivil, neveu de Celestino Alfonso ; André Grimaldi, professeur émérite de médecine ; Anouk Grinberg, comédienne et artiste ; Jean-Claude Grumberg, écrivain et homme de théâtre ; Yannick Haenel, écrivain ; Delphine Horvilleur, rabbine et écrivaine ; Serge et Beate Klarsfeld, historiens ; Mosco Levi Boucault, réalisateur ; Patrick Modiano, écrivain, prix Nobel de littérature ; Edgar Morin, sociologue et philosophe ; Edwy Plenel, journaliste ; Anne Sinclair, journaliste ; Thomas Stern, neveu de Thomas Elek ; Annette Wieviorka, historienne, directrice de recherche au CNRS ; Ruth Zylberman, écrivaine et réalisatrice.

(« Exécution des héros de l’Affiche rouge le 21 février 1944 » photo D.R.)

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commentaires

856 Réponses pour Panthéoniser Manouchian et toute l’Affiche rouge

Clopine dit: à

Jjj, j’aimerais bien que vous m’expliquiez votre numéro 1 : « il n’y a PAS, etc. », affirmez-vous. Une mise en majuscules n’a jamais constituée un argumentaire, ou l’ombre d’un commencement de discussion, d’après moi. Donc, « et pourquoi PAS ? »

Une réponse constituée en une simple affirmation (comme l’énoncé d’une opinion « point-barre) est une porte qu’on claque, ce qui n’est guère… courtois ?

Votre 3 prouve que vous ne connaissez pas mon enfer, c’est tout. Je n’en dirai pas plus, parce que je sais que je ne peux être entendue. Et j’ai de moins en moins de voix.

Votre 2 lui aussi est doucereusement venimeux… Non forcément pour moi (parce qu’après tout, souhaiter le meilleur pour son fils, comme par exemple la reconnaissance de ses mérites par ses pairs, à son fils m’apparaît assez naturel, en tout ça n’a pas à être entaché d’autorité d’on ne sait quelle amertume égoïste, comme vous le faites), mais pour le fiston en question : soupçonné d’avoir orienté sa trajectoire pour « faire plaisir à Maman ». Or, rien de plus faux, mais bon, vous avez visiblement eu besoin de secouer la bienveillance que vous me manifestez parfois, façon chien qui s’ébroue au sortir de l’eau. Tant pis si ça pue et c’est mouillé. Séchez bien, en tout cas ! (bon, allez, rigolez un peu, quoi.)

Et merci pour vos appréciations. J’entame une petite nouvelle en ce moment. Si mon enfer me permet de la finir sans rôti ni mes mains ni ma plume d’oie-azerty, je vous la dédierais !

et alii dit: à

rouge:
Autrefois, la butte du Chapeau-Rouge constituait une parcelle de la plaine du Pré-Saint-Gervais, animée d’une guinguette qui lui a laissé son nom. Ici, au début des années 1910, les mouvements politiques et les syndicats de gauche se rassemblaient pour défendre le pacifisme contre le militarisme.

Au printemps 1913, alors que la guerre devenait imminente, le rassemblement en souvenir des communards qui devait se tenir comme chaque année au Père-Lachaise fut annulé par le gouvernement de Louis Barthou. Ce dernier redoutait que la manifestation ne se retournât contre lui. Le 25 mai, cent cinquante mille personnes répondirent alors à l’appel de la Section française de l’Internationale ouvrière (SFIO), à manifester à la place au Pré-Saint-Gervais.

Là, au milieu d’une véritable marée humaine, Jean Jaurès prononce son discours contre la loi des trois ans tendant à allonger d’une année le service militaire.

Les premiers journalistes photographes immortalisent sur le vif son charisme. Malgré l’ampleur de la mobilisation, l’Assemblée nationale vota la loi.

Janssen J-J dit: à

pub) La Propagandiste / Cécile Desprairies
Dans le Paris des Trente Glorieuses, une enfant assiste aux réunions des femmes de la famille organisées au domicile de sa mère, Lucie, dans un immeuble haussmannien. On parle chiffons et on s’échange les potins du jour. L’ambiance est joyeuse. Plus agitée, aussi, quand il s’agit d’évoquer, à mots voilés, le passé de Lucie, ce grand amour qu’elle aurait connu, pendant la Seconde Guerre mondiale, avant de se remarier.
Qui est Lucie ? Qu’a-t-elle fait précisément, avant ? De fil en aiguille, perçant les mensonges et les non-dits de cette mère énigmatique, l’enfant, devenue adulte et historienne de profession, met à nu la part d’ombre de Lucie et de toute une partie de sa famille. Les masques tombent, et l’histoire de cette femme, collaboratrice zélée, en France, sous l’Occupation, se révèle en plein, à l’image d’un passé collectif dont on n’a, aujourd’hui encore, pas fini de faire l’inventaire. La Propagandiste jette un regard sans concession sur la France de la collaboration et son empreinte sur notre mémoire collective. – Née à Paris en 1957, Cécile Desprairies est germaniste et historienne de l’Occupation en France. Elle a publié de nombreux ouvrages sur les images de propagande, les lieux et les lois de cette période, notamment Paris dans la collaboration (Seuil, 2009). La Propagandiste est son premier roman
________________

Je sais pas pourquoi, mais je n’ai pas envie de lire ça… Cela dit, je ne voudrais en dégoûter personne, bien évidemment. Bàv, JC (tuerie fait raire)

MC dit: à

Accessoirement, si je comprends bien une correspondante (?) souvent plus indignée que lucide, mais qui me fait l’amitié de m’écrire tous les jours, quel qualificatif chantourne veut-on que j’emploie pour désigner Jeanne Rozerot, qui fut bien la bonne de Zola, rien de plus courant à l’époque, et la mère de ces enfants ?’Consultez la- dessus Evelyne Le Bloch-Dano, « Madame Zola ». MC

Janssen J-J dit: à

N’en faites rien, CT… Je ne mérite point de dédicace…, et si votre paranoïa larvée habituelle est salutaire à votre estime de vous-même, grand bien vous fasse ! Je suis très heureux de vos réactions de bien vivante. Qui me permettent d’enfin passer à autre chose qu’à votre propre nombril. Bien amicalement vôtre.

MC dit: à

Mais quel adjectif chantourne aurais-je dû utiliser pour ne pas dire bonne, comme paraît le vouloir une. amie (?) qui m’écrit chaque jour que Dieu fait, et chez qui la colère , permanente, n’exclut pas la fidélité à sa cible ?! Il fait ici le redire; Jeanne Rozerot n’était pas une » technicienne de surface « , elle était bonne à une époque où cette profession était des plus répandues, elle fut aussi la mère des enfants d’ Emile Zola. Sur l’éloignement puis le rapprochement avec Alexandrine, on pourra consulter d’ Evelyne Le Bloch-Dano, « Madame Zola. « Ce n’est pas un livre malhonnête…. MC

MC dit: à

Oups! doublon ! Le commentarium est lent ce matin…,

MC dit: à

Et Alii, je vous ai lu. MC

Bloom dit: à

«Friederich, en bon romantique, aime aussi la littérature. Son maître est le docteur Destouches, plus connu sous son nom de plume, Céline. C’est un homme de terrain, avec lequel Friedrich et l’ensemble de la communauté scientifique partagent les mêmes convictions. Céline est médecin, hait les juifs et promène un mépris quasi-universel sur tout et tout le monde. Il n’aime que les chats et sa femme. Ayant une vision biologique des choses, Louis-Ferdinand est obsédé par la race, la décadence. ‘Bagatelles pour un massacre’ a été réédité en 1941 aux éditions Denoël et Céline en a dédicacé un exemplaire à Friedrich. Durant toute la vie de Lucie, l’ouvrage restera à la tête du lit conjugal (…).
Louis-Ferdinand est assez casanier, mais il descend parfois à vélo de Montmartre, accompagné de sa femme, retrouver en centre-ville leurs amis aux conférences de l’Institut des questions juives, au 21 rue de la Boétie, précisément l’immeuble qui avait abrité la célèbre galerie Rosenberg. Se substituant aux impressionnistes et aux cubistes, l’IEQJ est une sorte d’institut d’opinion sur « la question juive » (c’est le temps où l’on n’a pas encore trouvé la Solution), un laboratoire de propagande, crée par la Gestapo – on dit « les Allemands » – à la suite du Commissariat général aux questions juives. C’est une sorte d’ambassade non officielle, un laboratoire d’idées antisémites et la propagande de ce « centre anti-juif » doit être orienté à la française ». op.cit pp. 66-67

Phil dit: à

Le commentarium est lent ce matin

tout au loisir d’admirer la fessée flanquée à miss sasseur avant d’aller au lit. Sans talc, de l’affiche aux fesses rouges.

Marie Sasseur dit: à

Moi, j’accuse, ceux laxistes, qui ont laissé prospéré au sein de l’université parisienne des bons à rien, qui pompent un pognon de dingue, alors que l’enseignement manque par ailleurs cruellement de moyens, au collège et au lycée.

Marie Sasseur dit: à

Et tant pis pour la grammaire, lire: qui ont laissé prospérer des imposteurs, propagateurs de haine et d’idéologie incompatible avec les valeurs de larépublique.

Tout est dit.

et alii dit: à

MC,si je voyais comment faire cesser la comédie de Sasseur,je m’y appliquerais (impliquerais);elle joue à un jeu stupide à mes yeux, et je ne vois guère que P.Assouline pour y mettre un terme sans en faire pâtir tout le blog qui sait surement en voir la « malhonnêteté »;je n’ai pas la carrure pour imposer à ces « femmes »la raison à laquelle elles ne veulent pas se rendre; ça n’a rien à voir avec du féminisme ni une lutte contre le patriarcat; vous faites la « cible » d’appoint parce qu’elle n’a ni l’imagination, ni l’expérience pour affronter ce qu’elle croit mettre en jeu:
si P.Assouline me renvoyait de son blog, je partirais, serait-ce sur mon lit me reposer :j’en ressens souvent le besoin;
courage à vous et à tous; nous savons que le monde n’est pas en fête;pensons à d’autres temps qui ne sauraient manquer de venir

Marie Sasseur dit: à

Bon repos Et Al. Sans vous commander.
Je m’arrange toujours pour ne pas devoir mettre de qualificatif, vous concernant, car hésitant sur le genre.
Vous avez opéré une « transition », et ma foi, , le résultat est une catastrophe, je préférais quand vous étiez Robert.

Jazzi dit: à

Le léZard a découvert une bien belle chimère du cinéma italien !

Marie Sasseur dit: à

Quel toupet quand même, Et Al, cette madame Doubfire du blogapassou. A posté un lien, sans commentaire, comme toujours, dont l’auteur a été la cible d’insultes honteuses, alors qu’il s’agit de faits HISTORIQUES, comme si l’intention était déjà de nuire à l’intelligence, et s’en lave maintenant les mains. Belle mentalité !
J’ajoute vieux trombon, et vous l’avez déjà sûrement enregistré, que je bosse qu’avec des hommes, j’hésite à mettre une majuscule, mais elle serait sans doute nécessaire pour bien marquer la différence avec  » ce » qui commente, en majorité, ici.

Marie Sasseur dit: à

Enfin Et Al, je vous dois de me souvenir de la -presque- dernière phrase du roman  » le silence des agneaux  »

On s’est compris,j’espère !

Il y a presque du soleil, ce matin, en Provence.

Patrice Charoulet dit: à

SOUCHON

Avez-vous raté le concert Alain Souchon ?
Le mercredi 6 décembre 2023 , la chaîne de télé France 4 a diffusé de 21h10 à 23h15 un concert d’Alain Souchon. Quel régal ! Mon quotidien le vantait en disant « une voix exceptionnelle ». Mauvais éloge. Il aurait fallu dire « le meilleur parolier français depuis vingt ans dans la chanson de variétés » et, c’est mon humble avis, un homme délicieux et adorable, dont on aimerait être l’ami. Dans la salle , immense public  qui connaissait souvent quelques chansons par cœur.
Tâchez de voir et d’écouter cela, avec retard.

Janssen J-J dit: à

« le meilleur parolier de la chanson de variétés  » devrait être un éloge plutôt adressé à Laurent Voulzy, le métisse, je croij. Ce qui n’enlève rien au compliment fait à ce chanteur populaire aimé de beaucoup de français de souche (on ?) notamment, tout autant que le sont Allan Bashung et Cathy Ringer, dans le genre certes un brin plus rataquoouère..
Qu’en pense Philippe Bilgère ?

@ courageuse etalii, face à la teigneuse, teignasse !… Chapô. —

Janssen J-J dit: à

Je trouve que Marie Sassoeur est victime de harcèlements sexuels constants sur cette chaine.
Il faudrait que Passoul vire tous les délinquants de l’herdélie qui lui veulent du mâle !
Mais en aurait-il les C au Q, pour ce faire ?

Janssen J-J dit: à

@ Odette Joyeux et son feuilleton passaient à la téloche.
Oui, je crois me souvenir de l’âge heureux, que la petite danseuse s’appelait Delphine Desyeux, j’aurais bien aimé être à sa place.
Aujourd’hui, cette jeune femme de 70 ans se porte comme un charme. La danse d’opé-rats, ça conserve bien, il faut dire. Non ?
https://fr.wikipedia.org/wiki/Delphine_Desyeux

MC dit: à

Les personnages historiques, moins Pétain, on l’a déjà dit, sont têtus et se défendent avec logique: le Soldeville fraîchement élu voudrait nous faire croire le contraire. Il n’a pour l’instant sur ce blog qu’une disciple, très prévisible , qui en est réduite à glapir dans le suraigu…Grenoble devient une ville à éviter d’urgence. Au fait, quelle place a-t-elle dans ce que notre Muse (?) nomme le « classement Pizza »?

rose dit: à

Je ne me souvenais pas du titre, l’Âge heureux.
Et c’étions des petits rats.

Damien dit: à

Moi aussi, j’ai La chimère, le film rital. Je n’ai pas aimé. Il n’y a que des crétins dans cette histoire, qui n’en est pas une. C’est dur, 2 h et quelques avec que des débiles mentaux profonds ! Comme pour Accatone de Pasolini, vous savez. Je préfère un cinéma puissamment élitiste, qui vous élève.

Marie Sasseur dit: à

Tout le monde ( j’exagère) a compris que les faits historiques, dans le lien posté par Robert, concernent des délibérations du conseil municipal de Grenoble, en 1938. On connaît la suite.

S’il y a encore un bourrin qui souhaite que je lui administre la conduite de Grenoble , je redonnerai le lien sur Mediapart.

D. dit: à

J’ai demandé à ChatGpt (version de base gratuite) d’écrire quelques programmes simples (par exemple afficher les 10 premiers multiples de 2) dans différents langages de programmation et notamment le langages « machine », nommé Assembleur, pour différents processeurs, y compris une mainframe IBM 370 de la fin des années 70.
Étonnamment, il s’en sort plutôt bien, avec une approche « pointilliste ». Aucun des programmes donnés en réponse ne peut cependant fonctionner. On trouve de ci-delà des invraisemblablances naïves et comiques, comme vouloir charger une chaîne dans un registre de 8 bits, placer un espace de donnée en début de programme, remplacer une instruction de multiplication par une addition, utiliser une instruction de déplacement multiple de caractères (longue à exécuter) pour en déplacer un seul, alors que l’intruction pour un seul existe. J’en passe et des meilleures.
Mais globalement on obtient une ébauche qui tient presque la route, assez facile à retoucher, comprenant même parfois des astuces ou des méthodes auxquelles je n’aurais pas pensé. Les instructions utilisées (et leurs mnémoniques) font bel et bien partie du jeu d’instructions réel de chacun des processeurs, et leurs arguments sont corrects dans la plupart des cas.
J’avoue avoir été fortement étonné de ce que cette « IA » de base a été capable de faire. Cela laisse penser que, oui, des versions beaucoup plus abouties, spécialisées et, logiquement, payantes, seront capables de résoudre des problèmes et d’en écrire correctement les codes.
Et quand les machines seront devenues capables d’écrire leur propre code d’IA, de façon contrôlée par l’homme…ou non…alors adviendra un tournant de l’Histoire.

Marie Sasseur dit: à

La suite.

« A la fin de la guerre le 8 mai 1945, le bilan pour Grenoble est très lourd. 840 fusillés, plus de 2.000 hommes tués au combat, autant de disparus et 1.150 déportés, dont la moitié ne sont pas revenus.

Le 5 novembre 1944, le général de Gaulle remet la Croix de la Libération à Grenoble. La ville recevra également la Croix de guerre 1939 – 1945. »

https://www.grenoble.fr/1669-grenoble-commune-compagnon-de-la-liberation.htm

Janssen J-J dit: à

@ si je voyais comment faire cesser la comédie de Sasseur, je m’y appliquerais (impliquerais); elle joue à un jeu stupide à mes yeux, et je ne vois guère que P. Assouline pour y mettre un terme

@ on va demander au Chatgpt de D. de lui trouver une solution, à partir de la question :
comment faire pour se débarrasser pacifiquement d’une internaute qui pollue chaque jour un blog prestigieux blog littéraire ?
Bàv.

Janssen J-J dit: à

Réponse possible : l’attaquer sur ses liens musicaux qui attestent tous d’un indicible goût de chiottes !

D. dit: à

Oui ben je vous laisse demander, JJJ.

Janssen J-J dit: à

faux cul, D…

faut bin reconnaître que tous les chrétiens vangélistes intégristes se tiennent par les

J J-J dit: à

gagné une garde contre avec le chien aux adversaires qui y ont trouvé un roi ? bin mon colon . Faut dire quand on joue toute seule, on risque pas de perdre, o – ma perdre, i (Tiktoque, dit ma pendule cabossée) !

renato dit: à

Maduro est prêt à ouvrir un troisième front : les fascistes de tous les pays s’unissent.

MC dit: à

« À vaincre sans péril, on triomphe sans gloire… »

Bloom dit: à

C’est une bien doulce musique que distille le grand Corneille comparée à l’âpreté du faux iambe shakespearien:

« Cowards die many times before their deaths,
The valiant never taste of death but once. »
– Jules César, maxime préférée de Mandela.

(Les lâches meurent mille fois avant de mourir /
Les braves ne goûtent jamais à la mort qu’une seule fois).

Patrice Charoulet dit: à

JJJ J’aime Voulzy ET Souchon. Vous en parlez sans les connaître. Ils ont composé des chansons à deux toute leur vie, mais les mots, c’est Souchon, et la musique, c’est Voulzy, 9 fois sur dix.

D. dit: à

Mais pas du tout. Souchon est un excellent musicien, il a écrit une multitude de musiques !

D. dit: à

Dis, Gigi, je suis pas ton larbin.

D. dit: à

Les musiques écrites par Voulzy pour Souchon existent, mais elles restent minoritaires.

et alii dit: à

tiens,rose ne vous pas encore parlé du grand miracle? C est un miracle; elle doit jouer à la toupie
bonsoir

Bihoreau, duc de Bellerente dit: à

«Liberté, égalité, fraternité.»

Si il y a vraiment liberté, on devrait pouvoir exclure les deux autres. Si il y a égalité, pas besoin des deux autres. Si il y a fraternité, les deux autres sont inutiles.

Ces politiciens de droite, tendance libertarienne, sont rarement fascistes. Ils reconnaissent l’inégalité entre les individus et s’en remettent à la charité pour atténuer leur misère. Ils répugnent à ce que des incompétents soient aux commandes, souvent le cas en démocratie: Trump.

Le prêchi-prêcha gauchisant séduit la populace, et pour l’empêcher de se révolter quand les lendemains ne chantent toujours pas, et quand il n’y a pas de plage sous les pavés, et bien on impose la dictature, qu’on qualifie de prolétarienne. Gare à qui s’y opposera: goulag !

Il arrive que des arbitrages déchirants doivent être effectués. Comme on veut tous le beurre et l’argent du beurre, gouverner devient presque impossible, sauf pour ceux et celles qui ont le courage – ou la témérité – de s’y aventurer.

Tout le reste n’est que bla-bla-bla …

et alii dit: à

ne vous a pas encore parlé!
sorry!

B dit: à

. Gare à qui s’y opposera: goulag !

Mon Dieu, prenez vos amphétamines et potassez vos livres d’histoires, je suis d’accord pour confirmer que le national socialisme n’a pas été le système idéal pour l’Europe mais à quelles autres dictatures de gauche en Europe faites vous référence pour agiter l’ombre du goulag? Il ne faudrait pas non plus faire l’impasse de tous les coups d’état soutenus par des démocraties libérales, de tous les tyrans courtisés et aidés à se maintenir par ces mêmes démocraties. Je dirais que les démocraties font leurs coups en douce en échange de contrats pour garantir leur balance commerciale. Que leur importe que les droits de l’homme soient bafoués , les prisons des pays avec qui nous échangeons sont remplies de prisonniers politiques, Turquie, Egypte, Chine, Arabie saoudite … Et ce n’est qu’un des aspects de notre hypocrisie.

B dit: à

Si il y a vraiment liberté, on devrait pouvoir exclure les deux autres.

il vous faut définir la Liberté, il existe des libertés encadrées par un droit qui diffère selon les pays.

« Quel est le principe de la liberté ?
Le principe de liberté induit l’existence de la liberté d’opinion, d’expression, de réunion, de culte, de la liberté syndicale ainsi que du droit de grève. Le droit de propriété (art. 17 DDHC) a pour corollaire la liberté de disposer de ses biens et d’entreprendre (art. 4).3 oct. 2022 »

En considérant cet article il est possible d’en déduire l’égalité à l’expression, à l’opinion (souvent manipulable), au choix du culte. Il sous entend ,du moins pour moi, la fraternité puisque des frères ne sont pas identiques et néanmoins se respectent , s’aiment. Il existe néanmoins des guerres fratricides.

B dit: à

Le prêchi-prêcha gauchisant séduit la populace

j’avoue avoir voté une fois en désespoir de cause pour un programme LFI mais folie en pensant qu’il n’avait aucune chance de l’emporter, blanc au second. Merci pour la populace dont je suis. pour 2027 je veillerai à voter au second un peu comme quand Jospin avec un bilan pas si mauvais s’est vu éjecté par le peuple populiste.

FL dit: à

« C’est dur, 2 h et quelques avec que des débiles mentaux profonds ! Comme pour Accatone de Pasolini, vous savez. »

Des débiles mentaux. Une histoire christique. Qu’est-ce qu’il faut pas entendre !

Dans les Évangiles aussi il n’y a que des « débiles mentaux ».

FL dit: à

Faulkner c’est plein de « débiles mentaux ».

FL dit: à

Samuel Beckett, il n’y a que des « débiles mentaux ».

William Boquet dit: à

Pour ceux que cela peut intéresser, j’ai fait provision de munitions en vue de la trêve des confiseurs auprès de epices point com et de taschen point com ; par parenthèse, le congrès des amerloques a bien fait de bloquer l’enveloppe amalgamée de 100 milliards de dollars – faudrait voir à pas confondre les nécessiteux et courageux ukrainiens qui résistent à l’ogre russe sanguinaire, et le gouvernement de Bibi la fripouille dont les moyens employés contre ses adversaires terroristes donnent chaque jour qui passe davantage dans la démesure inadmissible

William Boquet dit: à

(Aussi je crois avoir fait plutôt bon usage de la prime de Noël qui m’a été allouée)

FL dit: à

Et « Moderato Cantabile », un chef d’oeuvre, ils ont pas inventé l’eau tiède.

Janssen J-J dit: à

Si fait, D., vous êtes mon larbin comme celui de toute l’herdélie, y compris celui de la soeur ma sucette. BàV,

Janssen J-J dit: à

Allons nous coucher, mon coyote, ast’heure (23.09), Demain, nous aurons à plancher sur l’invariant anthropologique et ses variations architectoniques, à l’heure de l’anthropocène. BNàV.

rose dit: à

Miracles.
Hier, une dame âgée a entamé la conversation à la sortie d’une graaaannnnde surface.
« Vous avez des cheveux magnifiques ».
-« j’ai les cheveux de mon père ».
« On appelle ça une belle tignasse. »
-oui, mon père avait cette qualité de cheveux.
« Et bien, il vous a laissé un bel héritage ! »
-Vous ne croyez pas si bien dire.

Alors, je lui ai raconté en long en large et en travers comment, en cinq mois, je me suis fait dépouiller de mon héritage. Clac clac.

Voilà, hyper détendue je suis.

Miracle number two.
Je suis sortie de nuit.
Oui.
Et demain, je nettoie mes chiottes. Je l’ai fait très récemment, mais je vais recommencer de manière détaillée.

Je sors de Perfect days de Wim Wenders.
Quelle leçon de vie !
Ai aimé plus particulièrement la première partie, jusqu’à l’arrivée de la soeur.
Pourvu que la petite ne se suicide pas.
Le reste, y a trop d’action pour moi.

https://youtu.be/QYEC4TZsy-Y?feature=shared

Miracle number three : Ozu dans Tokyo-Ga de 1985 ; la ville tentaculaire, l’ai trouvé effrayante.

rose dit: à

l’ai trouvée

Aglagla

rose dit: à

Et miracle number four, je suis en passe de finir le Jacques Drillon. J’ai hissé le grand spi. Mon père m’a offert son annuaire des marées. Ou son livre de bord. Ou, beaucoup de choses.

MC dit: à

Il y a une différence, certains diraient notable, entre gagner effectivement, et proclamer qu’on a gagné, lors même qu’on a perdu . Peut-être faut-il le signaler, en cette fin de soirée, à notre chère Marietta.., MC

rose dit: à

Le vrai et seul miracle serait la fin des hostilités entre Israël et Gaza.

Marie Sasseur dit: à

L’Étrange Défaite. Témoignage écrit en 1940 est un essai sur la bataille de France écrit en 1940 par Marc Bloch, officier et historien, qui a participé aux deux guerres mondiales. Dans ce livre, il ne raconte pas ses souvenirs personnels mais s’efforce, en témoin objectif, de comprendre les raisons de la défaite française lors de la bataille de France pendant la Seconde Guerre mondiale. Rédigé sur le moment, L’Étrange Défaite a marqué les esprits dès sa parution par la pertinence de ses constats[1].
Wikipedia

JC..... dit: à

VENDREDI 8 DECEMBRE 2023, 6h36

Le fait est significatif. Le dernier message en RdL, numéro 666, est signé Marie Sasseur, notre chère diablesse !!!

Que Lucifer la protège ! Elle donne beaucoup de sel à la mangeaille courante …

rose dit: à

Je peux l’écrire le 666. Dieu sur ma tête. Je mets MS sous le parapluie et hors EHPAD, impératif. Si elle part, certains vont la réclamer.

rose dit: à

« La musique affreuse que j’écoute ».

Drillon, qui n’y va pas avec le dos de la cuillère, en un long paragraphe, démolit salement le rock.
Wim Wenders, dans Tokyo-Ga, 1985, très longuement, consacre un bon morceau de son film à la description élégiaque de jeunes tokyoïtes fous de rock, fous de l’Amérique et fous de rompre avec leurs traditions. Il nous convainc.

En parallèle, on sait combien c’est terminé radicalement que l’Amérique soit notre modèle.
Et pourtant c’est l’Amérique. Au même titre que le Pérou.
C’est le Pérou.

Phil dit: à

Wikipedia
L’amazone du prestigieux blog à passou livre du rebattu

rose dit: à

Il a fermé les écoutilles.
C’est comme si tu dis les lasagnes ça va, le bo bun hors de question.
Il assassine le rock en deux coups de cuillères à pot.
On aurait débarqué chez lui avec un blouson en cuir, plusieurs grosses bagouses en argent, Un jean collé serré et des santiags. Je l’aurais initié au rock acrobatique, un autre à la guitare électrique. On lui aurait dit viens voir.
Ses origines bourgeoises ne l’ont pas aidé.
L’en a eu que pour le classique.

Phil dit: à

Et demain, je nettoie mes chiottes.

Rose perd les pétales

JC..... dit: à

Dear Philou, on nous l’a caché, mais demain c’est la célébration de la Journée des Chiottes.

Les media cachent soigneusement cet évènement pour éviter toute récupération politique par des groupes terroristes bien connus ayant la faveur des simples d’esprit.

Bloom dit: à

Chez Faulkner, il y a surtout Benjy, le frère de Caddy, dans Le Bruit et la fureur, FL, sinon, il y a des cas sociaux, des exclus, des sadiques, les Snopes accapareurs qui se frittent avec les Sartoris soi-disant patriciens du Sud, et bien plus encore car le Count No’Count a laissé un monde dont la topographie est vaste et la géologie profonde.
Mais j’ai parlé de littérature, je m’arrête donc là.

Bloom dit: à

Les 5 013 (!) personnages de Faulkner, sur le site de The Digital Yoknapatawpha Project, avec pour les plus importants d’entre eux une fiche signalétique.

Exemple de Lucas Beauchamp, protagoniste de L’Intrus (Inbtruder in the Dust)

Lucas Beauchamp

Text:
Intruder in the Dust
Character Key:
Lucas Quintus Carothers McCaslin Beauchamp
Display Name:
Lucas Beauchamp
Sort Name:
Beauchamp, Lucas
Parent:
Lucas Beauchamp’s Father
Race:
Mixed Black White
Gender:
Male
Class:
Free Black
Rank:
Major
Vitality:
Alive
Family:
McCaslin
Family (new):
McCaslins In ID (Intruder in the Dust)
Occupation:
Farming
Specific Job:
Farmer
First Mentioned:
County Jail in Intruder in the Dust (Location)
Home:
Lucas Beauchamp’s Cabin in Intruder in the Dust (Location)
Date of Birth:
Monday, January 1, 1883 to Saturday, December 31, 1887
Origin:
Yoknapatawpha
Other Texts:
« A Point of Law »
« Go Down, Moses »
« Gold Is Not Always »
« Pantaloon in Black »
Go Down, Moses
The Reivers
Biography:

Lucas Beauchamp says, proudly, « I am a McCaslin » (19). His white grandfather was a powerful planter, the first Yoknapatawpha McCaslin, who fathered a son with one of his slaves who in turn fathered Lucas. The McCaslin wealth has descended to the Edmondses, one of whom deeds Lucas ten acres of land in the middle of the plantation; on this land Lucas lives as a man who refuses to accept the racist terms laid down by the Jim Crow society around him despite the longing of « every white man » in Beat Four (as Chick puts it with a crudeness that reminds us of how demeaning those terms were) « to make a nigger out of him » (18, 31). The novel describes him with adjectives like « friendless opinionated arrogant hardheaded intractable independent » (76) « damned highnosed [and] impudent » (148). In jail and on the verge of being lynched for a murder he didn’t commit, he finds a way to save himself and to get the mystery solved. Although offstage for most of the narrative, he is probably Faulkner’s most impressive African American character.
Property Status:
owns land
owns house
Individual or Group:
Individual
Character changes class

Bloom dit: à

l’inénarrable Popeye, le pervers impuissant

Précisément celui à qui je pensais, B, avec son épis de maïs en guise de membre, et ce qu’il fait subir à Temple Drake.
Popeye, « oeil globuleux », si l’on traduit…

B dit: à

Et demain, je nettoie mes chiottes.

Votre femme de ménage est-elle en grève, revendique-t-elle une hausse de son pouvoir d’achat? E n tout cas, ce projet témoigne d’une humeur dépressive, consultez avant les fêtes !☎

Jazzi dit: à

« Je sors de Perfect days de Wim Wenders.
Quelle leçon de vie !
Ai aimé plus particulièrement la première partie, jusqu’à l’arrivée de la soeur.
Pourvu que la petite ne se suicide pas.
Le reste, y a trop d’action pour moi. »

Beau et tendre film un peu décevant toutefois.
Trop clean.
Je n’ai pas fait de compte-rendu sur mon site.
J’ai noté la diversité et la propreté des toilettes publiques de Tokyo, encore nettoyées à l’ancienne, contrairement à nos sanisettes automatiques Decaux, souvent en panne.
Le problème du film, c’est que le héros, venu les récurer, les trouve aussi propres en entrant qu’il les laisse en partant…

renato dit: à

Quelle relation entre origine et goûts musicaux ?

Patrice Charoulet dit: à

Appel à tous les profs de lettres ou de philo

Qui croit comprendre le sens de ces mots de La Fontaine :
« Gens boiteux haïssent le logis. » ?

renato dit: à

« chiottes »

Jetez un coup d’œil au fil, B !

Jazzi dit: à

Appel à tous les poètes

« Le 23 juillet 1922, plus de 30 ans après la mort à Marseille du poète, Marcel Proust en fit l’aveu, dans une lettre à Charles du Bos, en ces termes : « Je ne connais pas Rimbaud. » »

Jazzi dit: à

« Hier, une dame âgée a entamé la conversation à la sortie d’une graaaannnnde surface.
(…)
Alors, je lui ai raconté en long en large et en travers comment, en cinq mois, je me suis fait dépouiller de mon héritage. Clac clac.

Voilà, hyper détendue je suis. »

La pauvre, c’est elle qui est repartie hyper tendue avec le fardeau sur ses frêles épaules !
Pourvu que la prochaine fois elle ne rencontre pas Clopine, ou alors elle sera foutue…

MC dit: à

P 666; On se souvient d’un des premiers recueils de théâtre médiéval paru sous la Restauration. La dedans, dans le « Comment Clovis se fit chrestienner par Clotilde » on n’est pas surpris de lire précisément p 666: « Renoncez-vous au Satanas? » . Deux précautions, à cette époque, valent mieux qu’une !

JC..... dit: à

Holà ! HOLA !

Rimbaud n’est pas mort à Marseille, cher Cannois, il est toujours vivant à Chaville, au fond du trou !

C’est le négociant d’armes qui est mort à Marseille à moins de 40 hivers, d’un cancer pourri inguérissable et douloureux.

Pas le trafiquant d’âmes, si ennuyeux dans sa vie quotidienne de génie à la dérive africaine.

JC..... dit: à

« Quelle relation entre origine et goûts musicaux ? » (renato)

Question sans réponse possible.

Le plus fanatique mélomane adorant le jazz moderne de l’époque, rencontré chez Max Gordon au Village Vanguard en compagnie d’un pote producteur, était….japonais.

Heureux d’avoir 2 amours : NYC Manhattan et Tokyo.

JC..... dit: à

MANOUCHIAN et son AFFICHE ROUGE

A célébrer, une fois pour toute, dans son tiroir vide. Bref, dégonflons les baudruches soviétiques animées par des marionnettistes sans narratif factuels.

Occupons nous du présent et de ce qu’il peut devenir….

Bloom dit: à

sans narratif factuels

‘That’s some weird shit’ (GW Bush)
La novlangue à la portée des caniches.
Où le néant le dispute au non-être.

D. dit: à

Rimbaud à Chaville ?! Sous mes rangs d’endives ? Je m’en doutais…

Bolibongo dit: à

Et demain, je nettoie mes chiottes. Je l’ai fait très récemment, mais je vais recommencer de manière détaillée.

N’oubliez surtout pas, quand même, de vous laver les dents! 🙂

Bolibongo dit: à

surtout pas, quand même

Sinon, ça continuera à sentir le renfermé.

JC..... dit: à

Profitons d’une rime facile : ce billet du Collectif MANOUCHIAN devient chiant, non ?

MC dit: à

JJJ. Ne pas être Prophète, est-ce un crime Cardinal aux yeux de Clopine Trouillefou, qui vaticine en éco-pas-logis te a tout va? Il semblerait…. Il suffit de voir comment est rejeté le pas majuscule par l’intéressée. «  ce n’est pas une preuve ». Certes. Mais c’est un moyen emphatique de le souligner….Quant aux tournures façon « mon Enfer » , elles visent à créer le même effet, côté Trouillefesque: « plaignez-moi surtout. si vous ne pouvez pas comprendre, sachant que je ne vous dirai rien. »Tout cela est inutilement compliqué et semble n’avoir pour but que la dernière phrase; « « je vous dédierais une nouvelle ». Vous voilà prévenu. Note bas-bleu national mord encore. Bien à vous. MC

JC..... dit: à

« Où le néant le dispute au non-être. » (Bloom)

Cher ami, nous ne sommes pas là pour causer le freudien d’époque, n’est il pas vrai ?

et alii dit: à

À l’âge de 17 ans, il est repéré dans un concours de mode et il est élu « plus bel homme d’Italie » en 2019. Un titre qui lui ouvrait une grande voie dans le milieu de la mode.
« C’était sans compter sur la rencontre avec deux prêtres avec qui il est allé vivre l’an dernier. « J’ai eu l’occasion de rencontrer des hommes qui m’ont montré ce que signifie l’Eglise. Ils m’ont donné la force d’enquêter sur cette question que je pose depuis que je suis enfant mais que diverses peurs m’empêchaient d’approfondir ».
Corriere della serra que cette expérience lui a apporté des réponses de l’au-delà » et que son engagement religieux est la « plus belle expérience de sa vie ». Il poursuit : « J’ai fait ce pas qui me terrifiait, qui m’empêchait d’être pleinement moi-même ». Il explique que son choix n’a pas été évident car il avait « peur du jugement des autres ».

et alii dit: à

Avec la déclassification des archives soviétiques à partir des années 1990, le passé de « l’homme de fer » ressurgit dans toute sa vérité.

Staline et des dignitaires du régime assistent au défilé de l’armée soviétique sur la place Rouge, le 1er mai 1925. Les visages de quatre d’entre eux ont été effacés sur le négatif…
https://photo.geo.fr/ces-photos-que-staline-a-cachees-46104?utm_source=taboola&utm_medium=cpc&utm_campaign=pmo_geo_diapo_desktop_desktop_flux_tag_geopolitique&utm_term=28912206|ladpche-web|3836116066&tblci=GiA-urYPY-QOmxf60M3NqplaIWH3FBIN42RVZaXOupI4sCCJm1Aoj7KjlOiAmI9s#staline-a-tout-fait-pour-effacer-ou-reecrire-l-histoire-4cm17

JC..... dit: à

Chère Alii, il avait raison : nous savons bien que la religion a été inventée pour soulager, pas pour guérir, les malades

rose dit: à

La pauvre, c’est elle qui est repartie hyper tendue avec le fardeau sur ses frêles épaules

À côté de la plaque, comme d’hab. Jazzi. Elle était ravie. Et a enchainé avec son électricien qui l’a piratée, elle aussi. Belle conversation pour elle qui l’a entamée pck elle ne parle à personne.

closer dit: à

Edoardo Santini?

rose dit: à

Le problème du film, c’est que le héros, venu les récurer, les trouve aussi propres en entrant qu’il les laisse en partant…

Jazzi
Nous n’avons pas vu le même film sans doute. J’ai vu une vraie ode à la vie.
Et des chiottes dégueulasses en entrant et nickel chrome après lui.

rose dit: à

B.et Phil
Eh non et non.
Ni dépressive ni perdant les pédales.

renato dit: à

Je ne ferais pas les noms car ce serait indélicat, mais je connais des bourgeois qui aiment le rock et le jouent et des prolos qui se privent de dessert pour payer leur abonnement à La Scala ou qui interprètent les auteurs classiques avec suces — exemple banale d’une bourgeoise (kapitaliste — nous avons eu à un moment le même prof de composition) qui joue du rock :

https://youtu.be/fqKXubPjC6Q?si=64ZzgFulkbawDRmm

Enfin ! assez avec les jugements pré-faits ! faite un meilleur usage de vos préjugés !

,

Kilékon dit: à

les auteurs classiques avec suces

Mais qui donc « suce » les notes de musique?

Le succès de la sucée musicale sans doute.:)

( Pas la peine de faire une « grosse et lourde » remarque à et alii pour serra et sera alors que l’on retombe encore plus plat avec la suce!)

renato dit: à

le gros kon qui signe Kilékon a réussi son entrée

Kilékon dit: à

TOTO DEVRAIT SERRER PLUS SON GLOSSAIRE avec sa glose!

Kilékon dit: à

Un coup de glotte et ça repart!

renato dit: à

toujours plus kon le Kilékon… même pas capable d’assumer ses position de petite rakliure…

renato dit: à

Pour revenir à la connerie de rose — que l’on laisse volontiers au nettoyage de ses chiottes —, si l’on discrimine un groupe de personnes en fonction des origines l’on est juste un-e pauvre chose sans intérêt. Tout simplement Drillon n’aimait pas le rock et c’était son droit !

https://youtu.be/7kEwGXLdbZ8?si=BeFo2OVD7ew8j-qJ

Bloom dit: à

Signalons les parutions suivantes, recensées dans le Monde des Livres:

– « Manouchian. Missak et Mélinée Manouchian, deux orphelins du génocide des Arméniens engagés dans la Résistance française », d’Astrig Atamian, Claire Mouradian et Denis Peschanski, Textuel.

– « Manouchian. Témoignage suivi de poèmes, lettres et documents inédits », de Mélinée Manouchian, Parenthèses, « Diasporales »

Patrice Charoulet dit: à

à Jazzi

« Le 23 juillet 1922, plus de 30 ans après la mort à Marseille du poète, Marcel Proust en fit l’aveu, dans une lettre à Charles du Bos, en ces termes : « Je ne connais pas Rimbaud. »
Il n’a rien perdu. S’il l’avait connu, l’aurait-il classé parmi les cinquante meilleurs français ? Je ne le crois pas. Et il aurait eu raison. C’est un petit écrivain surfait.

MC dit: à

Rimbaud à Chaville? À Charleville, on veut bien !

Patrice Charoulet dit: à

En science, en politique, en philosophie…le vrai, c’est le vérifié.

et alii dit: à

renato,je vous croyais gourmet:que n’avez-vous indiqué Restaurant Lasserre
17, Avenue Franklin Roosevelt
75008 PARIS
c’esla que Marc Chagall, qui décida au cours d’un déjeuner avec Malraux de créer le plafond de l’Opéra Garnier.
c’est le moment d’y songer!

rose dit: à

Renato

Je vous laisse plonger la tête dedans. Pour moi c fini.

Et quelque chose que tu n’aimes pas, tu n’es pas tenu de l’assassiner. Point barre.

renato dit: à

« On aurait débarqué chez lui avec un blouson en cuir, plusieurs grosses bagouses en argent, Un jean collé serré et des santiags. Je l’aurais initié au rock acrobatique, un autre à la guitare électrique. On lui aurait dit viens voir. »

Et pourquoi pas couverte de fleurs ?

https://youtu.be/jbh8adU3ooI?si=7wsmPWIS3ziDeB_9

renato dit: à

C’est facile : lâcher des jugements à la con et puis dire que c’est fini. Mijotez plutôt vos récriminations familiales et laissez les autres (Drillon) tranquilles.

D. dit: à

Macron se fait beaucoup mousser avec ND de Paris, dont il s’est emparé, alors qu’il s’en contrefichait comme de sa première culotte avant l’incendie.
Ouverture d’un musée, concours de vitraux, ouverture partielle pour les JO etc…
Après Villers-Coterêts, ND est le nouveau rideau de fumée (si j’ose dire) destiné à masquer une présidence calamiteuse de la République française, notamment en raison des dernières et nombreuses humiliations subies sur le plan international, les faux pas de toutes sortes et la soumission à en vomir aux intérêts lobbyistes européens et américains.
On en oublierait que ND de Paris est en premier lieu la cathédrale du diocèse de Paris, d’abord un lieu de culte et secondairement un joyau ouvert à une visite, sensée être respectueuse et comprise au regard du christianisme qui a permis l’existence de ce prodige architectural et artistique.

B dit: à

Mais qui donc « suce » les notes de musique?

je suppose que certains en sucrent, ça doit pouvoir s’entendre avec une oreille minimale. Si l’on s’attaque au second sens de sucré, je pense immédiatement à l’antagonisme: certains salent, font très cher payer leur prestation et ça ne va pas toujours de paire avec le génie, la virtuosité, l’exceptionnel. Quant à sucer les notes, visionnons un pipeau, une flute et tout de suite nous tombons à genoux pour une séance de fellation à condition que le « sucé » soit un minimum sonore. Dans mon souvenir ( assez lointain),ils sont assez silencieux sauf quand le coup part même si cela s’apparente à un bon flingue muni du bien connu silencieux employé assez fréquemment dans les vieux polars.

D. dit: à

Mon ami gepette vient de me composer un petit poème intelligent et artuficiel :

Sous terre, les endives cachées,
Un poète repose, oublié.
Les racines tissent leur toile,
Dans la terre, son dernier émoi.

Les feuilles pâlissent, dévoilant
L’histoire d’un poète sous le plant.
Endives amères, dans l’ombre,
Son souvenir, racine sombre.

Au potager, l’âme enserrée,
Le poète dort, racines enlacées.
Les endives, dans leur lit de terre,
Chantent sa ballade sépulcrale, austère.

D. dit: à

Rimbaud, en ce potager, repose en silence,
Parmi les endives, en son dernier somme.
Chaville retient son âme en résidence,
Ses vers s’entremêlent à la terre, économe.

Les endives, complices du poète déchu,
Gardent en elles les secrets du passé.
Sous la lueur pâle de la lune accrue,
Rimbaud sommeille, dans l’ombre amassée.

Les saisons défilent, mais l’écho persiste,
Dans le potager où Rimbaud subsiste.
Endives comprennent les mots muets,
Le poète, éternel, s’entrelace aux racines discrètes.

B dit: à

Macron se fait beaucoup mousser avec ND de Paris, dont il s’est emparé, alors qu’il s’en contrefichait comme de sa première culotte avant l’incendie.

de nombreux parisiens ne profitent pas suffisamment du patrimoine à disposition dans la capitale, moi même qui ne suis pas parisienne je suis passée à coté de l’édifice sans prendre le temps d’y entrer, on se dit toujours qu’on a le temps, que ces monuments sont immortels. Je le regrette maintenant. E Macron ne rate pas une occasion pour nous dispenser un de ses beaux discours toutefois étant donné le cout du chantier je doute qu’il s’en soit fichu dés les premières flammes. Ceci étant, quoi que ce genre de catastrophe coute à l’Etat malgré les dons, nous nous annonçons comme les derniers pigeons prêts à accueillir les prochains jeux d’hiver et pour cause, les chantiers stimuleront artificiellement et provisoirement l’activité économique du pays.( Et pourquoi donc des pays alpins prospères se sont-ils désisté?)

D. dit: à

Au potager de Chaville, là où le temps suspend son vol,
Rimbaud, poète éternel, repose sous le linceul des endives d’opale.
Les racines tissent des liens avec son esprit en friches,
Les feuilles en éventail cachent les secrets des rêves riches.

Sous le manteau du sol, là où la terre chuchote,
Rimbaud dort, parmi les endives, une étrange symbiose.
Chaville, berceau de vers, témoin des passions écloses,
Les saisons déroulent le tapis de son épopée comateuse.

Un jour, la lueur du soleil embrase les endives,
Chaville éveille le poète, sorti des limbes avides.
Son esprit, tel un gratin de pensées délicates,
S’élève vers le ciel, entre les rangs en cascade.

La sauce Béchamel, velouté divin de l’imaginaire,
Enrobe les vers, les rendant encore plus exemplaires.
Les endives, toile de fond pour ce festin poétique,
Gratinées de rêves, elles révèlent l’âme artistique.

Ainsi, Rimbaud, dans le potager de Chaville,
Se dresse, gratiné de lumière, poésie qui distille.
Les endives, témoins et acteurs de cette saga,
Portent en elles l’éclat d’un poète qui ne trépasse pas.

D. dit: à

Au potager de Chaville, où les saisons jouent leur gamme,
Rimbaud, poète endormi, compose une éternelle trame.
Les endives, telles des blanches et des noires enracinées,
Sucent les notes de musique, symphonie de l’âme tissée.

Les racines, comme des clés de fa profondes,
Résonnent en quart de soupirs, mélodie vagabonde.
Chaville devient partition, entre la terre et le ciel,
Les endives sucent les notes, réveillant l’essence du pastel.

Sous le sol, la pulsation du poète s’entrelace,
Chaville devient le solfège, Rimbaud en sait l’espace.
Les endives, telles des croches éphémères,
Sucent les notes, font danser l’air en lumières.

Le soleil, chef d’orchestre, dirige ce ballet végétal,
Endives, instruments sucrés, révèlent un récital.
La Béchamel, douceur harmonique, enveloppe les strophes,
Notes sucées par les endives, la partition se métamorphose.

Ainsi, Rimbaud, compositeur caché sous les cieux,
Les endives sucent les notes, récit musical pieux.
Chaville, jardin d’une symphonie éternelle,
Endives, musiciennes, dansent la mélodie immortelle.

D. dit: à

C’est beau.

Clopine dit: à

Bon, ça y est, c’est de décidé. Pour les cadeaux, ce sera bouquins et zut, rien d’autre. Qu’au moins je sois cohérente avec ce qui semble sauver ma pauvre vie : la littérature. Et puis les bouquins ne sont pas si chers. D’ailleurs j’envisage de créer une association patronnant la figure de Jacques Lang ( dont je n’ai rien, mais alors rien à foutre par ailleurs), comme l’instigateur du prix unique du livre. Bon, c’est quand même cher, les livres. Heureusement, je n’ai pas beaucoup de cadeaux à faire. Deux, si j’ai bien compté. C’est ça aussi, la solitude. N’avoir plus de cadeaux à faire. Peut être parce qu’on n’a plus à en recevoir ?

Bolibongo dit: à

qui décida au cours d’un déjeuner avec Malraux de créer le plafond de l’Opéra Garnier.

Un plat garnis pour un opéra Garnier,
un vrai et culturel garde-manger!

Bolibongo dit: à

pour D,
Le poète dort, racines enlacées.
Les endives, dans leur lit de terre,
Chantent sa ballade sépulcrale, austère.

Contre la machine numérique :
Chantent sa ballade sépulcrale, enchâssée.

Changer ce dernier mot, ce n’est pas rien. C’est faire intervenir la sémantique face à l’ accumulation du data. Cela renvoie au sépulcral, à la tombe, à la châsse qui n’a aucunement l »obligation d’ être gardée…

Bolibongo dit: à

Il faudrait créer un poème sur l’enterrement d’ une endive…
Avec e-pluchures c’est plus sûr!

Samuel dit: à

Pourquoi un mangeur d’endives ne peut pas du tout être crédible comme poète ?😂

Jazzi dit: à

B, l’argent a afflué du monde entier pour la reconstruction de Notre-Dame.
Macron vient de transmettre son invitation au Pape, pour la cérémonie de réouverture officielle.
Les délais ont été tenus et ce chantier a permit de réactiver les nombreux métiers d’art liés à ce genre de bâtiment.
Que l’on soit croyant ou pas, aucune raison de se plaindre de la part des grincheux !
J’ai assisté à la chute de la flèche en flamme, je me réjouis de sa prochaine réapparition publique…

et alii dit: à

Archive : le cimetière de Plainpalais à Genève, le 25/08/2003LAURENT GILLIERON/AP
En ce lieu de verdure sont érigées les pierres tombales de personnalités, suisses et étrangères, comme Jean Calvin, (fondateur du calvinisme au XVIème siècle) ou encore Jorge Luis Borges (écrivain d’origine argentine).

Le site est communément appelé le « Panthéon genevois ».
https://fr.euronews.com/2021/11/30/la-france-a-son-pantheon-qu-en-est-il-ailleurs-en-europe
nb je crois que là est BARTLEBY the scrivener

Jazzi dit: à

à permiS, pardon et alii !

et alii dit: à

Serpouhi Hovaghian faisait partie de ces rares rescapés des massacres. Serpouhi est née le 22 juin 1893 à Samsun. Elle n’est pas restée longtemps dans cette ville, la plus grande des rives de la mer Noire. Son père, Agop, ingénieur à la compagnie de chemin de fer chargée de la construction de la Bagdadbahn, la ligne devant relier Berlin à Bagdad, entraîne en effet sa femme Ani et ses quatre enfants au gré de ses nombreux déplacements professionnels. Comme le reste de la fratrie, la fillette fréquente les meilleures écoles. A Nazareth, en Palestine, elle apprend ainsi le français chez les sœurs, en plus du turc et de l’arménien qu’elle parle déjà couramment. Elle a 13 ans lorsqu’un premier malheur frappe les siens : son père succombe à une péritonite. Ce décès prématuré oblige la famille Hovaghian à regagner Samsun.

suite
. La jeune Arménienne en profite pour reprendre des forces mais reste inquiète quant à son avenir. «Voilà deux ans et leur haine contre nous n’a pas eu le moindre apaisement. Nous sommes les orphelins de ce monde, sans patrie, sans foyer. […] Ô mon Dieu, quand mettras-tu fin à tous ces supplices ?» confie-t-elle dans son carnet.
suite

« .Fin 1918, à Batoum, en Géorgie, un homme se présente dans un orphelinat où sont rassemblés des dizaines d’enfants grecs et arméniens. Tous leurs parents ont péri dans les massacres. Ces enfants ont suivi les troupes russes qui se repliaient vers le Caucase. L’inconnu demande qu’on lui présente les garçons dont la taille peut laisser penser qu’ils sont âgés de 8 ou 9 ans. Une fois le tri effectué, il leur présente une photographie d’un couple, en leur demandant s’ils le reconnaissent. «C’est mon père, déclare un des garçons en désignant l’homme sur le cliché. Il joue du violon. Et là, c’est ma mère, Serpouhi, qui joue du piano.» Aussi extraordinaire que cela puisse paraître, c’est bien Jiraïr qui vient d’être retrouvé. «Quand ma grand-mère a appris que des centaines d’orphelins avaient suivi les Russes lors de leur repli vers le Caucase, elle s’est prise à espérer ardemment que son fils fasse partie de ces petits rescapés, nous explique aujourd’hui Anny Romand. Elle a contacté un de ses oncles qui vivait en Russie pour lui demander de se mettre à sa recherche. Et le miracle a eu lieu…» Jiraïr retrouve sa mère à Constantinople. Et c’est avec elle qu’il embarque le 19 février 1919, sur un bateau qui les conduit d’abord au Pirée, puis à Gênes, avant de gagner Marseille.

Jazzi dit: à

Hier, la surprise pour le léZard n’est pas venue de l’écran mais de la salle !

et alii dit: à

adieu endives;
voicile titre:
L’actrice Anny Romand (Diva, Le Soulier de satin…) a écrit Ma grand-mère d’Arménie (éd. Michel de Maule), un livre de souvenirs écrit après la découverte du carnet de son aïeule. Ed Alcock/Myop.

et alii dit: à

Comprendre le génocide des Arméniens (éd. Tallandier, 2015), les historiens Hamit Bozarslan, Vincent Duclert et Raymond Kévorkian reconstituent la chronologie de l’horreur.

et alii dit: à

Centre national de la mémoire arménienne, à Décines-Charpieu où vivent toujours de nombreux descendants de rescapés, facilement identifiables à la terminaison de leurs noms de famille en «ian» (qui signifie «fils de» en arménien).

et alii dit: à

« Seule la terre viendra à notre secours » de Serpouhi Hovaghian (1893-1976) est publié jeudi par la Bibliothèque nationale de France (BnF), qui a hérité de cette pièce d’histoire.

rose dit: à

Sauf lorsque le ian a été supprimé comme pour Aznavour.

MC dit: à

Saluons les noces de ChatGPT , via D ce grand poète, avec l’
hendécasyllabe ! Ce qui est consolant, au vu du résultat, c’est qu’il reste bien du chemin à parcourir…. MC

rose dit: à

Renato

Je vous emmerde copieusement.
Occupez-vous de vos chiottes bien crasseuses.
Les miennes sont nickel chrome et je n’en ai pas fini avec Drillon, je suis en plein dedans.

Des récriminations familiales, c’est bien léger par rapport à un drame familial : regardez par chez vous : y a du boulot.

Clopine dit: à

jazzy, raconté au moins. Tu dis Surprise venant de la salle « . Il S’est passé quoi ? Ça a dégénéré en partouze ? (plus rien ne m’étonne)…

Bloom dit: à

Rimbaud n’est pas écrivain mais poète. L’écrivain est un Assis, le poète a la bougeotte, il surfe sur ses semelles de foehn. Quand des nains s’évertuent à se grandir en le conchiant, il les traite au sulfate de dédain de ses hauteurs de géant.

William Boquet dit: à

« La population de Gaza est déplacée comme une boule de flipper », dénonce le chef de l’ONU

« La population de Gaza est déplacée comme une boule de flipper, ricochant entre les bandes sud (de l’enclave), sans les besoins fondamentaux à sa survie » a déclaré le secrétaire général de l’ONU devant le Conseil de sécurité.

En espérant un retournement de situation qui écartera du pouvoir Et Bibi la fripouille & Cie Et le Hamas, tellement dépendants l’un de l’autre
https://www.youtube.com/watch?v=4AKbUm8GrbM

MC dit: à

«Jazzi, raconte au moins! « Ces deux là m’évoquent « l’ Amour Tyrannique, »de Georges de Scudery. « Tu m’aimes? Je te hais! Tu me fuis? Je t’ abhorre/ Je mangerais ton cœur! En veux-tu plus encore? ». Ce qui n’empêche pas la pièce de finir par un mariage…

William Boquet dit: à

@Cette entrée a été publiée dans Actualité, Histoire.

Heu ! Non, rien …

renato dit: à

Pauvre rose, jamais fatiguée par ses tristes histoires de famille — que nous connaissons parce qu’elle nous les raconte sans aucun sens de la dignité —, elle fantasme à propos de la propreté des chiottes des autres et de leur vie ; et puisque cela ne lui semble pas assez, elle s’en prend aussi aux goût d’un qui n’est pas là pour éventuellement argumenter.

https://youtu.be/LrGALDL2pVc?si=WhPFgxeE7uKnmnbR

D. dit: à

Je regrette, Rose, mais les toilettes de renato sont très bien entretenues. Quelqu’un me l’a confié.

Rosanette dit: à

Pas encore sur le blog de reactions sur ce urprenant allumage de hanoukka à l’Elysée
A ms yeu une initiative macronienne scandaleuse et ridicule;et ce a trois points de vue
1)Insulte au principe de laïcité tel que defini par la loi de 1905 qui institue l’abstention de l’Etat et des ses institutions de toute implication dans le fonctionnement de la vie religieuse
2)Action qui vaut reference implicite à une vision communautariste de la société;
Le president de la république ne doit connaître que des citoyens, et ne saurait envisager l identité et le statut de ces nationaux, a travers la grille d’ appartenances religieuses les organisant en groupes distincts
3)c’est une une risette déplacée en direction des juifs de Macron ,qui croit par ce pas de clerc se sortir des consequences de son refus timoré et maladroit de participation à la manif contre l’antisémitisme ,celle-ci strictement républicaine; et il ne fait donc qu’aggraver son cas avec cette bévue d’une insigne maladresse politique

D. dit: à

Je crois qu’il met du harpic fraîcheur d’ailleurs-forêt d’eucalyptus.

D. dit: à

Pas Macron, renato. Je ne sais pas ce que met Macron dans ses wc.

et alii dit: à

Tsitsernakaberd (en arménien : Ծիծեռնակաբերդ, en arménien occidental : Dzidzernagapert) est un mémorial dédié aux victimes du génocide arménien perpétré par le gouvernement Jeunes-Turcs entre 1915 et 1916, situé sur une des collines de la capitale arménienne, Erevan. Tsitsernakaberd signifie « fort aux hirondelles » en arménien (tsitsernak, « hirondelle », et berd, « fort »).
wiki

D. dit: à

Par contre je me suis laissé dire que c’etait des chiottes à la Turinoise.

D. dit: à

Ce sont quasimment les mêmes que les nôtres, les petites différences ne méritent pas que l’on s’y attardent. Donc je ne m’y attarderai pas.

William Boquet dit: à

@son refus timoré et maladroit de participation à la manif contre l’antisémitisme ,celle-ci strictement républicaine

Où va se loger la maladresse ? Le comble étant de faire passer « la manif contre l’antisémitisme » pour une manifestation communautariste ; on ne lutte pas contre l’antisémitisme dans la confusion

William Boquet dit: à

Il est l’heure de remettre le pouce à l’oreille

Main basse sur Israël : Netanyahu et la fin du rêve sioniste

Populisme agressif, régression démocratique…, ce processus orchestré par l’indétrônable Benjamin Netanyahu est-il irréversible ? Un autre Israël est-il possible ?

Alors que l’Etat d’Israël s’apprête à vivre des élections législatives d’une importance capitale [2019, cf. l’affiche de campagne avec Poutine], les pères fondateurs du sionisme auraient pourtant bien de la peine à se retrouver dans l’actualité israélienne, marquée par les scandales à répétition et des polémiques d’une brutalité inouïe. Le grand artisan de ce détournement est Benjamin Netanyahu, en passe de battre le record de longévité de David Ben Gourion à la tête du gouvernement de l’État hébreu.

Comment cette main basse sur Israël s’accompagne aujourd’hui de la fin du rêve sioniste : Netanyahu a choisi de s’appuyer sur les religieux ultraorthodoxes contre toutes les autres familles du judaïsme ; il n’hésite pas à jouer aux États-Unis les fondamentalistes chrétiens contre la communauté juive ; il va jusqu’à encourager, comme en Hongrie, des campagnes à relent antisémite. Un autre Israël demeure néanmoins possible, mais il lui faudra se réconcilier avec lui-même et avec la diaspora avant de rouvrir l’horizon de la paix avec ses voisins arabes.(…)
https://www.radiofrance.fr/franceculture/main-basse-sur-israel-netanyahu-et-la-fin-du-reve-sioniste-8699566

Alexia Neuhoff dit: à

D’accord avec Rosanette. C’est un acte d’une maladresse, d’une inconséquence effarantes. J’espère que les représentants des autres cultes demanderont à égorger un mouton dans la salle des fêtes, à bénir des rameaux, etc. Ils auraient tort de s’en priver.

D. dit: à

Comment Macron a-t-il pu s’entourer de conseillers aussi mauvais ?

D. dit: à

ou une confession. Pourquoi pas une confession de Macron par le Pape, retransmise en direct par BFM ?

rose dit: à

Rose

Au lieu de conchier Renato, et Jazzi, change de point de vue.

En 2004, déjà vingt ans, tu regardais un homme droit dans les yeux dans la rue en Seine saint Denis, tu risquais un gnon. Ta fille t’avait enjoint de regarder tes pieds. Dans le métro, le dialogue était envisageable avec les africains.
Cela ne s’est pas amélioré.
Impossible pour un citadin de piger la conversation blabla qui se noue avec une parfaite inconnue.
Et pourtant !

Le bel héritage.
Oui, tu as une chevelure magnifique qui te vient de ton père. Sinon tu pourrais te faire faire des implants en Turquie comme Cédric Grolet.

Le rock. Tu trouves le jugement de Drillon brutal. Pas que là dans le livre. Le hard rock tu n’aimes pas. Les filles peroxydées à poil en fleurs pas plus. Et finalement, le seul rock que tu aimes c’est celui des familles. Comme la jeunesse tokyoïte dans Tokyo-ga.

Alors laisse Renato qui apprécie la disputatio. Sans l’emmerder copieusement. Toi pas, la disputatio ne t’intéresse pas.

William Boquet dit: à

De la France terre d’asile des dingos. Enfin, puisqu’il paraît que le RN est purgé de son antisémitisme viscéral et que Zemmour est la démonstration vivante qu’on peut-être, en 2023, en France, juif et pétainiste décomplexé, tout va pour le mieux dans le microcosme de la France moisie … merci à closer de nous avoir orienté avant-hier vers le dernier numéro de causeur : illustration parfaite

rose dit: à

Vu les bougies de Hanoucka.
Macron passe sa prêsidence à aggraver son cas.
Et comme lèche-cul il est pas mal doué.
Les conséquences politiques (le dialogue avec Poutine avant la guerre) il n’obtient rien.

Bloom dit: à

Les Assis

Noirs de loupes, grêlés, les yeux cerclés de bagues
Vertes, leurs doigts boulus crispés à leurs fémurs,
Le sinciput plaqué de hargnosités vagues
Comme les floraisons lépreuses des vieux murs ;

Ils ont greffé dans des amours épileptiques
Leur fantasque ossature aux grands squelettes noirs
De leurs chaises ; leurs pieds aux barreaux rachitiques
S’entrelacent pour les matins et pour les soirs !

Ces vieillards ont toujours fait tresse avec leurs sièges,
Sentant les soleils vifs percaliser leur peau,
Ou, les yeux à la vitre où se fanent les neiges,
Tremblant du tremblement douloureux du crapaud.

Et les Sièges leur ont des bontés : culottée
De brun, la paille cède aux angles de leurs reins ;
L’âme des vieux soleils s’allume, emmaillotée
Dans ces tresses d’épis où fermentaient les grains.

Et les Assis, genoux aux dents, verts pianistes,
Les dix doigts sous leur siège aux rumeurs de tambour,
S’écoutent clapoter des barcarolles tristes,
Et leurs caboches vont dans des roulis d’amour.

– Oh ! ne les faites pas lever ! C’est le naufrage…
Ils surgissent, grondant comme des chats giflés,
Ouvrant lentement leurs omoplates, ô rage !
Tout leur pantalon bouffe à leurs reins boursouflés.

Et vous les écoutez, cognant leurs têtes chauves,
Aux murs sombres, plaquant et plaquant leurs pieds tors,
Et leurs boutons d’habit sont des prunelles fauves
Qui vous accrochent l’oeil du fond des corridors !

Puis ils ont une main invisible qui tue :
Au retour, leur regard filtre ce venin noir
Qui charge l’oeil souffrant de la chienne battue,
Et vous suez, pris dans un atroce entonnoir.

Rassis, les poings noyés dans des manchettes sales,
Ils songent à ceux-là qui les ont fait lever
Et, de l’aurore au soir, des grappes d’amygdales
Sous leurs mentons chétifs s’agitent à crever.

Quand l’austère sommeil a baissé leurs visières,
Ils rêvent sur leur bras de sièges fécondés,
De vrais petits amours de chaises en lisière
Par lesquelles de fiers bureaux seront bordés ;

Des fleurs d’encre crachant des pollens en virgule
Les bercent, le long des calices accroupis
Tels qu’au fil des glaïeuls le vol des libellules
– Et leur membre s’agace à des barbes d’épis.

Arthur Rimbaud, Poésies

Janssen J-J dit: à

et voilà comment un Bilt, directeur BCBG de la chaine très frontiste « TV libertés », plutôt habile, en arrive à faire passer Philippe Pichon pour un pamphlétaire de l’ultra-droite, alors qu’en réalité son essai est un petit chef d’œuvre de courage et de grande lucidité, par les temps qui courent…
https://tvl.fr/zoom-philippe-pichon-un-pamphlet-contre-les-femmes-ecrivains-feministes
Souhaitons que son bouquin très informé, soit lu, médité et discuté à sa juste mesure, au delà des grotesques pantalonnades de « la méthode Bayard » dans les dîners en ville.
https://tvl.fr/zoom-philippe-pichon-un-pamphlet-contre-les-femmes-ecrivains-feministes
Bàv, j’espère pmp que la RDL sera à la hauteur de sa vocation, sait-on jamais ?

D. dit: à

A qui s’adresse Rose ?!

William Boquet dit: à

Guerre Israël-Gaza: le chef de l’ONU dénonce la « punition collective » des Palestiniens

Les violences du Hamas ne justifient « en aucun cas la punition collective » des Palestiniens, a jugé vendredi le secrétaire général de l’ONU, mettant la pression sur le Conseil de sécurité pour déclarer un « cessez-le-feu humanitaire immédiat », que les Etats-Unis ne soutiennent pas.

« Je condamne sans réserve » les attaques du Hamas du 7 octobre, mais « les violences perpétrées par le Hamas ne peuvent en aucun cas justifier la punition collective du peuple palestinien », a déclaré Antonio Guterres qui a pour la première fois invoqué mercredi l’article 99 de la Charte de l’ONU pour provoquer cette réunion extraordinaire du Conseil sur un dossier qui « pourrait mettre en danger le maintien de la paix et de la sécurité internationales ».

« Si les tirs sans discernement de roquettes du Hamas vers Israël, et l’utilisation de civils comme boucliers humains sont des violations du droit de la guerre, un tel comportement n’absout pas Israël de ses propres violations », a-t-il insisté, décrivant une nouvelle fois une situation humanitaire « au point de rupture » et le risque d’un « effondrement total de l’ordre public » dans la bande de Gaza.

« Le monde et l’Histoire nous regardent. Il est temps d’agir », a-t-il ajouté devant les membres du Conseil, leur réclamant de « pousser pour un cessez-le-feu humanitaire immédiat ».

Après l’attaque sans précédent contre Israël menée le 7 octobre par le mouvement islamiste palestinien Hamas, qui a fait selon les autorités israéliennes environ 1200 morts, majoritairement civils, Israël a imposé un « siège complet » et pilonné massivement la bande de Gaza, réduisant en ruines de vastes zones.

Nourriture, eau, carburant et médicaments n’y entrent qu’au compte-gouttes, alors qu’environ 1,9 million de personnes, soit 85% de la population, ont dû quitter leur logement selon l’ONU depuis le début des hostilités, qui ont fait plus de 17.000 morts selon le ministère de la Santé du Hamas.

A la suite de l’invocation de l’article 99 par Antonio Guterres, les Emirats arabes unis ont préparé un projet de résolution qui selon le texte vu par l’AFP « exige un cessez-le-feu humanitaire immédiat ».

closer dit: à

C’est le « en même temps » macronien, Rosanette…Je ne participe pas à la manif contre l’antisémitisme mais j’allume la bougie pour hanoukka…c’est comme ça depuis le début dans tous les domaines et c’est lamentable.

closer dit: à

Les obsessions de bilboquet commencent à nous fatiguer, en tout cas, moi. Croit il que nous ne suivons pas l’actualité, que nous sommes des fans de Netanyahu ?

Janssen J-J dit: à

@ MC / Vous voilà prévenu. Note bas-bleu national mord encore. Bien à vous. MC

Merci de votre réaction sur celle de CT. Je ne la partagerais pas entièrement, mais il y a des vues assez justes dans votre manière de considérer ce sacré « personnage »…, comme « grande incomprise »…
Bof, après tout, chacun se donne le rôle qu’il veut bien sur les réseaux sociaux, et nous aurons toujours tort de vouloir indulger tout ce qu’on y croit pouvoir saisir comme de l’autobiographie intégrale au premier degré. Cela divulgâche le genre un brin, et s’agissant de tous les romans familiaux, les gens ont horreur de ça.
Bàv,

et alii dit: à

Les latrines à la turque et les water-closets à la turque sont parfaitement et abondamment documentés tout au long du XIXe siècle et correspondent déjà exactement à ce qu’ils sont encore c’est-à-dire à des toilettes sans siège :
« On trouve dans beaucoup de casernes en France et en Algérie les latrines adossées aux cuisines dans un pavillon isolé, sans autre séparation qu’une cloison et les cheminées dont on a voulu sans doute utiliser la chaleur pour activer l’appel dans le tuyau d’évent. Il va sans dire que ces latrines à la turque sont immondes et puantes. Quel étrange rapprochement, et qu’il faut se hâter de supprimer cette cause de dégoût! Les latrines à la turque, avec ou sans clapet, avec ou sans bras de fer scellés an mur, sont, il faut le dire bien haut, en France comme en Turquie où on les dispose aux quatre angles des casernes, le foyer d’une infection permanente et pénétrante pour ces habitations. »
Traité d’hygiène publique et privée, Michel Lévy, 1869
« C’est ce qui a motivé la construction des latrines dites à la turque (PI. III, fig. 11), à présent généralement adoptées en France, pour les casernes et les hôpitaux , et qui devraient l’être dans tous nos établissements analogues , civils et militaires. Le siège ordinaire est remplacé par des dalles en pierre de taille, taillées en cuvette, de 2m,00 de longueur, de 0m,90 de largeur et de 0m,30 de plus grande épaisseur, dans lesquels on ouvre des trous prismatiques, de 0m,08 de largeur et de 0m,20 de longueur à l’orifice supérieur, tandis que l’inférieur a 0m,12 sur 0m,24. Le mur derrière est revêtu également en dalles ou en carreaux vernissés, pour le garantir de l’humidité lorsqu’on verse des seaux d’eau sur les dalles, afin d’entraîner les immondices qui pourraient rester déposés. »
Cours d’Art militaire, Laurillard Fallot, 1841

Jazzi dit: à

« Les obsessions de bilboquet commencent à nous fatiguer »

Fais comme moi, closer, je saute par dessus !
Idem pour Marie Sasseur.

« Il S’est passé quoi ? Ça a dégénéré en partouze ? »

Il s’est passé qu’une femme, entre deux âges, a fait un malaise dans la grande salle, Clopine.
Nous étions guère plus d’une trentaine, disséminés autour d’elle.
Elle était prostrée sur son siège et ne pouvait pas se lever ni s’allonger. Elle pleurait.
Une crise d’angoisse ?

rose dit: à

D.

Posez-vous la même question vous concernant.

William Boquet dit: à

@Fais comme moi, closer, je saute par dessus !

Frimeurs. C’est bon, la haie n’est pas trop haute ?

William Boquet dit: à

Pour le saut en longueur, je propose de prendre pour étalon du niveau primaire Zemmour de La Télé (le plus hardu sera de parvenir à le déplier)

William Boquet dit: à

ardu

William Boquet dit: à

@De la France terre d’asile des dingos. Enfin, puisqu’il paraît que le RN est purgé de son antisémitisme viscéral et que Zemmour est la démonstration vivante qu’on peut-être, en 2023, en France, juif et pétainiste décomplexé, tout va pour le mieux dans le microcosme de la France moisie … merci à closer de nous avoir orienté avant-hier vers le dernier numéro de causeur : illustration parfaite

Enfin, ces gens brillent surtout par leur esprit aiguisé, vous ne trouvez pas ?
Causeur: Zemmour à Jérusalem. «Réarmer l’Occident»
https://www.causeur.fr/causeur-zemmour-a-jerusalem-rearmer-l-occident-271042

William Boquet dit: à

(Occident, Occident … cela me dit quelque chose d’un mouvement politique aux penchants assez marqués -pas du « en même temps », quoi – qui se nommait ainsi jadis … Est-ce que j’ai une gueule d’Occident ?)

Rosanette dit: à

Et Elizabeth Borne , depuis Mayotte ,en rajoute sur le pataques à coloration communautariste de Macron, en présentant cet allumage comme un geste de » soutien à la « communauté » (sic) juive « .
La les choses sont encore plus claires que dans la formulation de Macron: elle nous dit qu’ il y a une communauté souffrante ,et que le président lui manifesté une sympathie réconfortante par ce geste bienveillant qui relevé de la tradition religieuse de ces citoyens particuliers…..(ni français ni innocents comme aurait dit un des prédécesseurs de madame Borne )

Marie Sasseur dit: à

Bon anniversaire France Inter.
Que de souvenirs.

« Ce générique, de Carlos Santana repris par Gato Barbieri, est une madeleine pour beaucoup d’auditrices et d’auditeurs. Il ouvrait « Pollen », émission de France Inter, présentée par Jean-Louis Foulquier tous les soirs à 20 heures »

https://youtu.be/YfyCrpUOAJw?feature=shared

Marie Sasseur dit: à

L’oreille en coin.

Emission créée par Pierre Codou et Jean Garetto, « L’Oreille en coin » a été diffusée sur France Inter avec un générique de Jim Wild Carson.

https://youtu.be/iiJuUXBxvVk?feature=shared

et alii dit: à

L’artiste Mike Parr abandonné par une galerie australienne après avoir mis en scène une pièce faisant référence à Israël et à la Palestine
artnews

vedo dit: à

Pour info, un russe m’envoie ceci.
There is a book of conversations between Solomon Volkov, a journalist who wrote some books (conversations/biographies) about famous Russians of the 20th century and Joseph Brodsky, who is perhaps slightly more famous because of his Nobel Prize. They were talking about different types of Russian literature known abroad:

« SV: Tsvetaeva, Mandelstam, Pasternak, and Akhmatova are known to the reading public in the West, especially the last two. Pushkin is primarily known through Tchaikovsky’s operas. Baratynsky or Tyutchev sound empty even to an educated Western reader. In other words, Russian poetry in the West is primarily the poetry of the 20th century, whereas Russian prose is known predominantly through 19th-century authors. Why did this happen?
JB: I have an extremely simple answer to this. Take, for example, Dostoevsky. The problematics of Dostoevsky—sociologically speaking, the issues of a society that ceased to exist in Russia after the 1917 revolution. While here, in the West, the society remains the same, namely capitalist. Therefore, Dostoevsky is so significant here. On the other hand, take a modern Russian individual: of course, Dostoevsky might be interesting to them; in the development of an individual, in awakening their self-awareness, this writer can play a colossal role. But when a Russian reader goes outside, they encounter a reality not described by Dostoevsky.
SV: Akhmatova also spoke about this, if I remember correctly.
JB: Absolutely right. Remember? Like a person, after shooting another batch of those sentenced, returns home from this « work » and plans to go to the theater with his wife. He might even argue with her about the curlers! No remorse, no Dostoevskian torment! While for a Western person, the situations and dilemmas of Dostoevsky are his own situations and dilemmas. They are recognizable to him. Hence the popularity of Dostoevsky in the West. And hence the untranslatability of much of Russian prose from the 20th century.
SV: Inaccessibility…
JB: Yes, a certain incompatibility. To read prose, one needs to have some understanding of the reality behind it. And the Soviet reality, described in the best Russian prose works of that period, is so shifted and reorganized, right?
To comprehend the reflecting prose, a certain knowledge of the history of the Soviet Union is inevitably required. Or—a tension of imagination, to which not every reader is ready, including the Western one. While reading Dostoevsky or Leo Tolstoy, there is no need for any special tension of imagination for the Western reader; the only effort is to navigate through these Russian names and patronymics. That’s all. »

Note that he said that 30 years ago. Last week, when I came to the shop to pick up the book, I saw exactly the same names on the shelf with Russian literature. Even though the 20th century was rich in amazing Russian writers.

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