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Revue de l'Art Thierry Lefrançois, Charles Coypel. 1694-1752. Préface de Pierre Rosenberg, Paris, Arthéna, 1994, 521 p., 30 pl. coul., 356 ill. n. et bl. Monsieur Stéphane Loire Citer ce document / Cite this document : Loire Stéphane. Thierry Lefrançois, Charles Coypel. 1694-1752. Préface de Pierre Rosenberg, Paris, Arthéna, 1994, 521 p., 30 pl. coul., 356 ill. n. et bl.. In: Revue de l'Art, 1997, n°117. pp. 77-78. http://www.persee.fr/doc/rvart_0035-1326_1997_num_117_1_348348_t1_0077_0000_006 Document généré le 29/09/2015 Bibliographie critique degli Italiani 1972) même si la produc tion littéraire du cardinal attestée par les sources reste encore inconnue Il faut la compléter pour le mécénat musical du cardinal par les différentes études de Camiz et pour autres points par des articles dus Wazbinski lui-même que auteur trop modeste pas voulu réutiliser sur les liens entre Del Monte et le milieu politique et artistique fran ais voire par exemple sa contribution au colloque Simon Vonet édité par Sté phane Loire Paris 1992 Fort de ces découvertes auteur insiste justement sur importance de la formation de Del Monte université de adone dans encourage de Benavides dont la collection fut i-ni modèle pour le cardinal 31-39) ou pour ne donner un autre exemple sur importance de -sa participation expédition de Ferrare de 1?98 qui ré véla art vénitien aiLX élites romaines mais en ait les contacts entre Rome et Venise écaient déjà nombreux comme le prouve la carrière de Signa lons au passage que le snn Epalon de Saraceni commande ? du cardinal azbinski propose de taire remoncer la datarion 1599-1600 contient une vue de la villa Mediéis On ne peur dès lors que regretter que la moisson considérable de raits decouverrs soir perdue en des hrmadons parrois un peu approximatives de nombre oeuvres anonymes correspond räntor la moitié tantôt un tiers de la collecnon er en des hvpochèses qui tendent faire du palais Madame le lieu de résidence de Del Monte le centre de toute activité culturelle Rome On regrettera surtout que auteur ait pas mis profit son ample connaissance de la personne du cardinal Del Monte et du milieu romain pour sortir du cadre biographique et proposer une analyse de la culture du cardinal qui tienne comp te également de son mécénat musical ou de la fresque astrologique de Caravage dans le casino Ludovisi ex Del Monte elle eût peut-être permis de comprendre comment et pourquoi le mécénat de Del Monte peut passer de Caravage Sacchi Mais ces deux volu mes dont ampleur de la documenta tion est utilement servie par un index constituent une merveilleuse plongée dans le monde dense et singulièrement complexe est la Rome autour des années 1600 Olivier Bonfait Jonathan Brown Kings Connois seurs Collecting Art in SeventeenthCentury Europe New Haven et Londres Yale University Press 1995 Ce livre présente les six conférences enrichies de notes et une bibliographie que Jonathan Brown donna en 1994 la National Gallery of Art de Washing ton dans le cadre des Andrew Mellon Lectures Cet eminent spécialiste des goûts artistiques de Philippe IV Espa gne avait choisi de traiter des collections dans Europe du xviie siècle Pour inté resser un large auditoire avec ce sujet passionnant mais austère risquant la ré pétition Jonathan Brown choisi de mettre en valeur la personnalité des col lectionneurs tout en écartant ce qui trait leur mécénat Il campe donc un Charles 1er sans Van Dyck un Phi lippe sans Velazquez Cette approche très vivante est la grande réussite de ce livre qui est peut-être pas destiné en premier lieu aux spécialistes les plus pointus du domaine alors que ceux-ci restent volontiers intérieur du cadre géographique ou temporel ils se sont imposés cet ouvrage aussi le mérite offrir une synthèse et donc des possi bilités de comparaison sur ensemble du phénomène dans Europe du xviie siècle exception un peu regret table de Italie évocation du Cardinal Federico Borromeo ou un de ses con frères aurait sensiblement enrichi ce paCharles 1er Angleterre ouvre logi quement le volume des ouvrages très érudits dont le dernier en date est Thé Late Goods édité par Arthur Mac Gregor Londres et Oxford 1989) nous ont certes déjà donné une connaissance exhausrive du mouvement des uvres des achats Manroue ou des cadeaux de Madrid Mais Brown sait reconstituer atmosphère du groupe de hirehall de ces amateurs qui autour Arundel ont su guider le jeune goût du roi Il sait aussi montrer le caractère extraordinaire des liens qui grâce en vie de collectionner purent se tisser en tre le monarque anglican et la Rome pontificale ou rappeler comment la pas sion de Charles pu influencer cer tains de ses courtisans comme le duc Hamitlon Il tait de même dans la conférence sur Philippe IV en analysant les collections de Haro ou de Leganés Le chapitre consacré la vente du Com monwealth qui de manière caractéristi que devient la vente du siècle oublie pas les autres ventes que ses partisans ont rapidement du réaliser eelle du second due de Bukiiigliam ou celle Arundel ou le rôle capital joué par Cardenas ambassadeur espagnol Le lecteur fran ais qui de plus lu Cu rieux du Grand Siècle Flammarion 1994 Antoine Schnapper pas encore publié époque des Mellon Lectures peut ne voir dans le chapitre consacré la France Raisons Etat une élé gante synthèse Mais il devra reconnaître que les chapitres consacrés Espagne ou la collection de archiduc Leopold William apportent des informations peu facilement accessibles au non-spé cialiste et que ce chapitre fran ais sera donc très utile aux historiens autres pays que le sien Le dernier chapitre qui est une jolie pirouette pour justifier son étude quasi exclusive de la peinture dans ces collections rassemble plusieurs ques tions fondamentales celle des agents et des marchands qui sillonnent ailleurs tout le livre celle des faux et des attribu tions ou encore celle des catalogues et des gravures de reproduction Répondant la demande du public des Mellon Lectures ce livre est donc essentiellement un ouvrage de haute vulgarisation qui le mérite offrir un large public le fruit des plus récentes recherches dans un domaine tradition nellement réservé aux érudits Véronique Gerard-Powell Marina Mojana Orazio Fidani Eikonos Edizioni 178 p. nb ill en coul et er bl Pourquoi la Toscane fut-elle long temps tenue écart et la dernière attirer les historiens art spécialistes du xviie siècle italien Le poids du passé le souvenir des grands génies de la Renais sance et du Maniérisme une part un isolement artistique délibérément entre tenu de autre expliquent pas tout Les particularités un style parfois gran diloquent parfois sentimental où le pa thétique allie selon une formule parfaitement originale et propre Flo rence un verisme parfois qualifié hyperréalisme pour certains de ces artistes) sans oublier une sensualité fleur de peau ne pouvaient pas être appréciés il quarante ans en plein triomphe du caravagisme internatio nal la veille du retour au classicisme un mot bannir plus ou moins idéalisé des maîtres bolonais Le goût évolué et grâce quelques érudits Mina Grego et ses nombreux élèves Gerhard Ewald quelques marchands quel ques collectionneurs Piero Bigongiari est le plus célèbre entre eux mais est plus le seul Florence tient hui la vedette Orazio Fidani 1606-1656 devint célèbre en 1961 pour un tableau qui ne lui revenait pas En publiant le splendide Marchandde poissonsde la Galleria Corsini de Rome alors donné Ca gnacci Roberto Longhi attirait attention sur un peintre qui pour beaucoup était guère plus un nom Remarquons en passant que si attribu tion est hui très généralement rejetée aucun des noms de substitution qui ont été proposés hiir unanimité On hésite même parteis placer oeuvre dans école florentine il faut renoncer au Marchand de poissons le noyau dur regroupé par Marina Mojana plus de cinquante tableaux quelques trop rares dessins permet de se faire une idée assez précise de la place de Fidani parmi les artistes de sa génération de sa place et de son importance Elève de Giovanni Bilivert dont emprise fut considérable il re ut quelques belles commandes pour des églises toscanes Celle Bagno Ri poli Montopoli Castelfiorentino Pietrasanta Cortone Casciana Alta Quinto etc.) sans parvenir imposer véritablement Florence même sinon la Certosa del Galluzzo décor des der nières années de sa brève existence Son dernier tableau connu un Tobie rendant la vue son père déposé Otan Bruxelles résume bien les qualités de cet habile et séduisant narrateur Ce sont aussi celles de Marina Mojana dont ouvrage bien mené vient utilement en richir le rayon des monographies sur les artistes florentins duxvnc siècle dont on rappellera ici parmi les plus anciennes celle sur Furini Emilio Cecchi publiée en 1950 et celles sur Giovanni da San Giovanni Edoardo Giglio 1920 et 1949) en un temps où ignorance sur la peinture florentine du xvile siècle était complète Les temps ont bien changé Souhaitons que le Louvre puisse un jour prochain consacrer ces peintres si at tachants qui surent affirmer leur origi nalité et leur autonomie égard des grands centres italiens Rome comme Bologne Venise comme Naples sans oublier Milan une salle qui puisse ri valiser avec exceptionnel ensemble de dessins conservés au département des Arts graphiques Pierre Rosenberg Thierry Lefran ois Charles Coypel 1694-1752 Préface de Pierre Rosen berg Paris Arthéna 1994 521 p. 30 pl coul. 356 ill et bl Vingt-cinquième titre publié par les éditions Arthéna depuis 1978 et dixième consacré un artiste du xville siècle fran ais ce volume vient après celui de Nicole Garnier sur Antoine Coypel 1989 hui inconnu du grand public sinon comme créateur de scènes tirées du Don Quichotte large ment diffusées par la tapisserie Charles Coypel est souvent cité que comme le dernier représentant une dynastie de peintres académiques En dépit une précédente monographie Irène Jamieson 1930) qui traitait surtout de son activité littéraire les historiens art ne se sont intéressés que récemment son uvre malgré la place de premier plan il occupé dans la vie artistique de la première moitié du xville siècle Jouis77 Bibliographie critique sant une grande réputation au cours une carrière illustrant bien le fonction nement des institutions artistiques de Ancien Régime il incarne le type de artiste officiel homme du monde lettré et cultivé habile dans tous les genres et adaptant toutes les commandes Aîné une génération brillante il rapide ment souffert du même discrédit que Boucher Jean-Fran ois de Troy Na toire ou Carie Van Loo mais abon dance des productions de grand format entraîné des pertes bien plus graves pour son uvre que chez ces contempo rains son fameux Sacrifice Iphigénie 111-112 est plus connu que par une tapisserie et seules des gravures nous conservent le souvenir de ses com positions religieuses les plus ambitieu ses impressionnant Ecce Homo 105 achevé en 1729 pour oratoire de la rue Saint-Honoré Paris peut-être le plus grand tableau peint Paris au xvine siècle ou La mise au tombeau 159 de 1734 pour église Saint-Nicolas-du-Louvre Donnant une présen tation très détaillée du déroulement chronologique de la carrière de Coypel mais aussi de son rôle administrateur et de théoricien ou amateur art cet ouvrage comprend surtout un catalogue très complet de ses peintures pastels dessins et gravures faisant la part de ses ambitions littéraires et de son goût pour le théâtre révélant la variété de son acti vité comme éclectisme de ses sources inspiration il permet enfin évaluer sans préjugés un des peintres majeurs du xvme siècle fran ais Petit-fils de Noël Coypel fils An toine et neveu de Noël-Nicolas Charles Coypel en dépit une habitude an cienne son prénom usuel doit erre pré féré celui de Charles-Antoine grandit dans entourage des Orléans et fut élève de son père Négligeant le traditionnel voyage en Italie il fut admis dès 1715 Académie royale il fré quenta de manière irrégulière gravissant cependant les fonctions officielles jus celle de premier peintre du roi et de directeur de institution en 1747 Mais il se voulut aussi homme de lettres au tant que peintre du moins jusque vers 1730 il renon son uvre lit téraire pour se consacrer uniquement la peinture une conversion origine de tableaux comme étonnant Th lie chas sée par la Peinture 140 de 1732 Il est auteur une quarantaine de pièces jouées sans succès mais aussi écrits théoriques qui témoignent un goût très vif pour le théâtre sans lequel on ne saurait comprendre son uvre Le rôle joué par art de la scène est évident chez ses contemporains mais dans sa concep tion très large de la peinture histoire Coypel est allé beaucoup plus loin 78 aucun eux dans son rapproche ment avec le théâtre il agisse des tentures directement inspirées de textes dramatiques où affleure un exotisme modéré des 28 cartons de Histoire de Don Quichotte 1716-1751 qui évo quent plutôt la comédie que la grandeur tragique du roman de Cervantes ou encore de ses sujets religieux En disciple de son père il est efforcé de transmet tre émotion de la scène dans ses ta bleaux en réduisant le récit un seul moment particulièrement fort Cette volonté souvent poussé donner une expressivité excessive ses figures Ma riette déplorant ailleurs son absence étude de la nature mais originali té de la démarche de Coypel est incon testable et évaluation de sa tentative de renouvellement de la peinture histoire par le théâtre au moment où triom phaient les mythologies galantes de Boucher est pas le moindre mérite de cet ouvrage La nomination de Coypel comme premier peintre semble avoir entraîné une production décroissante mais ins piration différente il complète une sé rie de petits tableaux dévotionnels aux sujets rares et sans gravité pour ora toire de la reine Marie Leczinska Ver sailles ou multiplie des portraits empreints de conventions mais qui va lent cependant par effet décoratif le raffinement du métier ou harmonie des couleurs en particulier dans ses pas tels au rendu moelleux et velouté des matières Surcoût il travaille restaurer importance de Académie jouant le rôle un intermédiaire obligé entre la Surintendance des Bâtiments et ses con frères il redonne vie aux conférences institue un jury admission au Salon ou favorise la rémunération des tableaux histoire il inspire la création en 1748 de Ecole royale des élèves proté gés dont importance est indéniable pour le renouveau de la peinture his toire dans la seconde moitié du siècle son rôle administrateur exerce aussi en-dehors de Académie garde des des sins et estampes du roi il est encore un des promoteurs de la première exposi tion des tableaux du roi au Luxembourg en 1750 auteur avoue avoir traité que de manière incomplète ces aspects de la carrière de Coypel en raison de abondance des documents mais étude mériterait sans doute être poursuivie on aimerait en particulier disposer indications plus précises sur ses rela tions avec ses contemporains son as cendant sur la vie de Académie exer a-t-il sans résistances Le combat théorique contre la peinture galante accompagna-t-il de rivalités avec Bou cher Natoire ou de Troy actifs eux aussi pour le roi et aux Gobelins Ses revenus et sa fortune étaient-ils compa rables aux leurs uvre de Coypel nous est parvenu largement amputé mais abondance des gravures de reproduction ou des tapisse ries souvent permis de suppléer aux disparitions pour établissement un catalogue chronologique des peintures Celui-ci recense 304 compositions dont près de la moitié ont pu être repro duites auxquels ajoutent les mentions oeuvres perdues 126 Bien peu des 623 dessins légués son élève MichelAdrien Portien sont documentés 145) un certain nombre ne étant que par les estampes du comte de Caylus qui les interprètent librement enfin une ving taine estampes pleines de verve révè lent un aspect plus intime de son inspiration On peut déplorer que les délais écoulés depuis achèvement de la thèse origine de ce volume aient pas été mis profit pour mettre jour la bibliographie mais il ne fait pas de doute que la documentation très complète fournie dans le catalogue provoquera bien des réapparitions on peut déjà signaler sur le marché de art celles une Tête de Christ datée de 1730 un modello pour une des scènes tirées du Don Quichotte 25) une Sainte Thaïs 175 revenue depuis Ver sailles ou encore du Sacrifice Abraham 237 avec lequel Coypel rempla en 1746 son morceau de réception Aca démie nulle doute que oeuvre connu de Charles Coypel devrait très rapide ment accroître grâce cette monogra phie exemplaire Stéphane Loire Olivier Michel Vivre et peindre Rome au xvine siècle Collection de Ecole Fran aise de Rome no 217 Rome 1996 685 p. nb ill et bl Le titre Olivier Michel voulu donner au recueil de trente-cinq de ses articles republiés en un seul volume par Ecole Fran aise de Rome est pas seu lement un beau titre Vivre et peindre Rome au xvilr siècle convient parfaite ment un ouvrage consacré autant des peintres des hommes autant des uvres aux ateliers où elles virent le jour Si les articles republiés dans le pré sent ouvrage étaient déjà connus dans leur ensemble des historiens de art romain du xvnie siècle ils gagnent pouvoir erre lus la suite un de autre en un tout dont unité apparaît fondée essentiellement sur la méthode originale appliquée par auteur sa recherche Dans son introduction Olivier Mi chel expose les principes de sa démarche qui découle de sa formation historien et place au premier rang la recherche documentaire une recherche au che minement souvent tortueux et aux révélations inattendues Ajoutons Olivier Michel fit preuve un flair et une rigueur hors pair qui lui valent hui être reconnu par la com munauté scientifique toute entière comme le meilleur connaisseur des ar chives de Rome en particulier des archi ves du Vicariat Sainr-Jean-de-Latran où sont conservés des documents pré cieux pour historien de art les fa meux Stati anime issus du contrôle de la communion pascale équivalent un recensement annuel de la population de Rome une seule remarque nous soit permise au sujet de cette démarche Oli vier Michel tenu en souligner que la dimension prudente garde-fou écrit-il contre les attributions aventu reuses sans cesse remises en question Mais la recherche archives et il faut le dire est autant un garde-fou un tremplin pour de nouvelles attributions et identifications non pas aventureuses mais pertinentes et fondées En ouverture du présent recueil quelques articles amorcent une appro che globale de certains aspects de uni vers artistique romain auxvme siècle tels la vie quotidienne des peintres ou or ganisation des différentes académies de la ville Mais apport essentiel de ou vrage consiste en importante série de contributions ponctuelles consacrées des personnalités artistiques actives sur les chantiers de la capitale en premier lieu des peintres et des sculpteurs fran ais des articles du plus haut intérêt éclairent la vie et la création du carcassonnais Jacques Gamelin et du sculpteur Fran ois-Marie Poncet) mais aussi quelques artistes romains ou provenant autres écoles de la péninsule tels Giaquinto et Sebastiano Conca) ou au tres pays Europe Personnalités qui parvinrent une certaine notoriété ou demeurèrent obscures mais qui contri buèrent toutes fa onner le profil cos mopolite de la Rome du xvine siècle dont une définition satisfaisante pas encore été donnée Presque quarante ans après exposition mémorable consacrée au Settecento Roma Rome palais des Expositions 1959) les travaux dédiés aux aspects de art romain de cette épo que se sont multipliés et les premières études de synthèse ont vu le jour Nous pensons tout particulièrement ou vrage de Hanns Gross Rome in thé Age of Enlightenment The post Tridentine syndrome and the ancien régime Cam bridge University Press 1990 traduc tion italienne aux Edizioni Laterza 1990) dont le chapitre consacré aux milieux littéraires romains et acadé mie de Arcadia recoupe des sujets abor-