Parfois, la personne faite pour nous est sous nos yeux depuis le début, mais le destin prend un malin plaisir à retarder l'inévitable.
Fallon est ce phare flamboyant qui m'extraie de mon océan d'obscurité. Je la vois et je jette l'ancre pour m'accrocher à son faisceau de lumière. Elle me répère sans cesse qui je suis celui qui la sauve, que je suis toujours là pour elle, mais elle ignore que c'est tout le contraire. Elle me donne l'impression de valoir quelque chose, de compter, d'être aimé.
Thomas est le rempart qui me protège de tout ce mal. Il me délivre de cette peine, anticipe tout ce qui pourrait me détruire. Il est toujours là, quelque part.
Fallon, la perfection de mon monde imparfait. Fallon, le solei de mon existence, qui rallume le feu intérieur où j eme brûle quand je l'effleure.
Parfois, on enfouit ses émotions pour mieux se protéger, parfois on les laisse nous écorcher pour mieux nous y habituer.
Tu es la perfection de mon monde imparfait.
Maintenant que je ne crains plus rien, c'est son putain de sourire qui devient le pilier autour duquel tout le reste tourne.
Je hais l'idée que cette femme puisse menacer la stabilité des remparts que j'ai érigés.
Julia abat un à un les remparts que j'ai érigés, elle se faufile à l'intérieur puis les reconstruit afin que nous soyons seuls entre leurs murs protecteurs.
-𝓐𝓵𝓸𝓻𝓼 𝓲𝓵 𝓮𝓼𝓽 𝓬𝓵𝓪𝓲𝓻 𝓺𝓾𝓮 𝓳𝓮 𝓷𝓮 𝓼𝓾𝓲𝓼 𝓹𝓪𝓼 𝓬𝓮𝓵𝓾𝓲 𝓺𝓾’𝓲𝓵 𝓽𝓮 𝓯𝓪𝓾𝓽.
-𝓣𝓾 𝓮𝓼 𝓽𝓸𝓾𝓽 𝓬𝓮 𝓺𝓾’𝓲𝓵 𝓷𝓮 𝓶𝓮 𝓯𝓪𝓾𝓽 𝓹𝓪𝓼.
-𝓔𝓽 𝓹𝓸𝓾𝓻𝓽𝓪𝓷𝓽… 𝓽𝓾 𝓮𝓼 𝓭é𝓳à 𝓶𝓲𝓮𝓷𝓷𝓮.