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Oudayas : la kasbah des oudayas de Rabat

De Hélène Décuyper , Patrick Lowie , et Peter Lamborn Wilson chez Biliki

Broché 59 pages
Paru le 25/08/2009
20,01
Indisponible

La Kasbah des Oudayas de Rabat

La turquoise si violemment bleue qui arbore avec arrogance sa couleur comme un signe distinctif entre tous les bleus. A chacun son bleu donc. L'oeil du photographe authentifie le paysage. Hélène Decuyper n'invente rien : elle voit. Elle balance la part d'ombre et de lumière d'un paysage qui Flambe la pellicule. L'écrivain, Patrick Lowie, l'accompagne à mots comptés : pas un de trop. Pas de Fracas. Juste un tremblement sous le soleil. Le corps est le filtre de l'oeil. Sensible. Juste.


Der Türkis, so gewaltvoll blau, der mit Arroganz seine Farbe zur Schau stellt wie ein besonderes Merkmal unter allem Blau. Jedem sein Blau also. Das Auge des Fotografen gibt der Landschaft ihre Echtheit. Hélène Decuyper erfindet nichts : sie sieht. Sie wiegt den Anteil des Schattens und des Lichts einer Landschaft ab, die den Film zum lodern bringt. Der Schriftsteller, Patrick Lowie, begleitet sie mit gemessenen Worten : nicht ein überflüssiges. Kein Getöse. Nur ein Zittern unter der Sonne. Der Körper ist der Filter des Auges. Empfindlich. Genau.


Il turchese così violentemente blu da ostentare con arroganza il suo colore corne un segno distintivo fra tutti i blu. A ciascuno il suo blu, quindi. L'occhio del fotografo autentica il paesaggio. Hélène Decuyper non inventa nulla : vede. Equilibra le parti d'ombra e di luce d'un paesaggio che brucia la pellicola. Lo scrittore, Patrick Lowie, l'accompagna con parole misurate : non una di troppo. Nessun Fragore. Solo un fremito sotto il sole. Il corpo è il filtra dell'occhio. Sensibile. Giusto.