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Peter James

Peter James
Peter James (né en 1948 à Brighton, Grande-Bretagne) est un auteur de thriller et un producteur. Diplômé d'une école de cinéma, il a passé quelques années en tant que scénariste et producteur aux Etats-Unis. Sa vie se partage désormais entre le Sussex et son appartement de Notting Hill, à Londres... Voir plus
Peter James (né en 1948 à Brighton, Grande-Bretagne) est un auteur de thriller et un producteur. Diplômé d'une école de cinéma, il a passé quelques années en tant que scénariste et producteur aux Etats-Unis. Sa vie se partage désormais entre le Sussex et son appartement de Notting Hill, à Londres. Il a publié près d'une vingtaine de romans traduits dans vingt-neuf langues et a reçu le prix Polar International 2006 du salon de Cognac et le prix Coeur Noir 2007.

Avis sur cet auteur (65)

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    Couverture du livre « Comme une tombe » de Peter James aux éditions Pocket

    caro manil sur Comme une tombe de Peter James

    Premier roman de cet auteur ... Pour une fois, j'ai décidé de respecter l'ordre de parution des livres de l'auteur !
    Il s'agit donc de la toute première enquête du commissaire Roy Grace... Personnage récurrent de Peter James. Déjà le synopsis m'a donné très très envie de le lire : un...
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    Premier roman de cet auteur ... Pour une fois, j'ai décidé de respecter l'ordre de parution des livres de l'auteur !
    Il s'agit donc de la toute première enquête du commissaire Roy Grace... Personnage récurrent de Peter James. Déjà le synopsis m'a donné très très envie de le lire : un enterrement de vie de garçon qui vire au cauchemar ! Enterré vivant par ses amis pour une soirée, le temps d'une "blague", Michaël Harrison est loin de se douter de ce qui l'attend ! Les seuls à savoir où est enterré le cercueil sont tous morts dans un tragique accident de voiture ... Mais étaient ils vraiment les seuls à savoir ??? Ce récit ne laisse aucun répit ! Un vrai page turner !! J'ai adoooré cette histoire. Toutefois, je dois bien admettre que les personnages sont bourrés de clichés mais bizarrement, cela ne m'a pas dérangé ... J'étais trop absorbée dans le suspens pour m'en rendre compte pendant la lecture. Voici donc (encore un !!) un auteur que je continuerai à découvrir avec, pas moins de 13 livres qui met en scène ce commissaire énigmatique qui à l'air de croire plus aux fantômes qu'aux vivants ! Très bonne première impression.

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    Couverture du livre « 47, allée du lac » de Peter James aux éditions Fleuve Editions

    Zazaboum sur 47, allée du lac de Peter James

    Sur l’emplacement d’une maison détruite par le feu, dans le roman précédent, un complexe résidentiel est en cours d’édification près du lac, le Parc de Cold Hill. Les premiers habitants sont installés, encore bien seuls mais déjà enclins à se comparer à leurs rares voisins.

    Un bruit parcourt...
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    Sur l’emplacement d’une maison détruite par le feu, dans le roman précédent, un complexe résidentiel est en cours d’édification près du lac, le Parc de Cold Hill. Les premiers habitants sont installés, encore bien seuls mais déjà enclins à se comparer à leurs rares voisins.

    Un bruit parcourt la commune : personne sur le domaine de Cold Hill n’a vécu après ses 40 ans. L’un des propriétaires, écrivain, est proche de son anniversaire. D’étranges choses vont se passer dans la plus belle maison, le couple va avoir l’impression de vivre des choses que les autres vont ignorer et nous, nous savons tout mais qu’est-ce qui est vrai ?

    Un roman qui se lit aisément, qui m’a permis de sortir d’une lecture très prenante, avec suffisamment de d’étrangeté pour susciter des frissons. La peinture des relations de voisinage est réaliste et structure le côté fantastique tout en embrouillant le lecteur, ou la lectrice, parce que j’aime bien cette sensation de ne pas maitriser une histoire dans ce contexte.

    #47alléedulac #NetGalleyFrance #rentreelitteraire2022

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    Couverture du livre « 47, allée du lac » de Peter James aux éditions Fleuve Editions

    Lison CARPENTIER sur 47, allée du lac de Peter James

    Et voici l’avis qui fâche… Difficile de donner son opinion lorsque celle-ci est négative. J’ai lu deux livres de Peter James dont La maison des oubliés, un roman fantastique à l’ambiance angoissante que j’ai beaucoup apprécié. Connaissant l’engouement de l’auteur pour les histoires de maisons...
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    Et voici l’avis qui fâche… Difficile de donner son opinion lorsque celle-ci est négative. J’ai lu deux livres de Peter James dont La maison des oubliés, un roman fantastique à l’ambiance angoissante que j’ai beaucoup apprécié. Connaissant l’engouement de l’auteur pour les histoires de maisons hantées, je m’attendais avec 47, allée du Lac à un récit de la même verve, je me disais « voilà un livre qui m’a me faire frissonner au coeur de l’été ». Râté.

    Le Parc de Cold Hill est un lotissement de maisons modernes dont certaines sont encore en construction. Jason Danes, un artiste-peintre à la renommée grandissante et son épouse sont les heureux propriétaires du plus majestueux pavillon de la résidence. Leur villa, construite à l’emplacement d’un ancien manoir complétement détruit par un incendie, en impose par son standing et sa vue imprenable sur le lac. Peu de temps après leur emménagement, ils font la connaissance de leurs voisins, Maurice et Claudette Penze-Weedell, des retraités qui s’avérent plutôt du genre envahissants. Dès les premiers jours, les deux couples sont les témoins d’étranges phénoménes. Le bruit coure dans le village que le drame qui s’est joué à Cold Hill en 1940 aurait toujours des conséquences aujourd’hui…

    Il ne faut pas faire de mon avis une généralité, ce roman pourra plaire à d’autres lecteurs qui le percevront peut-être différemment. Toutefois, je m’attendais à bien mieux et ma déception est grande. Je n’ai pas un seul instant frémi durant ce récit, bien au contraire je m’y suis profondément ennuyée. En cause je pense le manque de suspense ou un suspense auquel je n’ai pas été réceptive. Si l’auteur aime évoquer les distorsions temporelles et parvient à caser l’idée que l’espace-temps n’est pas une réalité linéaire, j’ai trouvé son récit au contraire bien trop linaire à mon goût. L’endroit est hanté, on l’apprend sans surprise dès le début du roman, viennent ensuite quelques brèves apparitions d’ombres, de visages deci-delà, quelques échos de drames qui ont jalonné le passé du lieu, et l’on apprend très rapidement qu’une étrange malédiction pèse sur les habitants de la nouvelle résidence. Jason Danes entreprend mollement une visite aux archives, une autre au cimetière local pour en apprendre plus sur les précédents habitants de Cold Hill. Tout cela est ennuyeux, survolé comme la trame d’une série B. J’ai également trouvé les personnages ultra-stéréotypés, je ne me suis pas du tout attachée à eux: le jeune couple est aussi détestable que leurs voisins et les dialogues sont insipides. L’auteur a t-il cherché à alourdir l’atmosphère en réunissant les protagonistes autour d’un bol de cacahuètes, discutant champagne ou prosecco, le temps semblant s’étirer au fil des pages sans grand intérêt ? Je me demande si l’auteur n’a pas souhaité écrire une parodie de roman fantastique, certaines situations prêtant à sourire plutôt qu’à frémir. Dans ce cas peut-être est-ce tout de même réussi ? Mais ce n’est pas du tout ce que j’espérais. Dommage. J’ai poursuivi ma lecture jusqu’au bout en me disant que j’allais être surprise à un moment donné, emmenée là où je ne m’y attendais pas et finir par me dire, mea culpa, quel sacré bon roman. Non, j’ai vainement attendu et rien n’est venu.

    Je remercie toutefois chaleureuement Net Galley et les Edtions Fleuve Noir pour cette lecture.

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    Couverture du livre « La mort de Lorna Belling » de Peter James aux éditions Fleuve Editions

    Sandrine Fernandez sur La mort de Lorna Belling de Peter James

    Quand Lorna Belling est découverte, morte, dans la baignoire du studio qu’elle louait à Brighton, les policiers ne sont pas longs à conclure que son mari l’a assassinée, Corin étant déjà connu de leurs services pour des faits de violences conjugales. Mais le commissaire Roy Grace sait bien que...
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    Quand Lorna Belling est découverte, morte, dans la baignoire du studio qu’elle louait à Brighton, les policiers ne sont pas longs à conclure que son mari l’a assassinée, Corin étant déjà connu de leurs services pour des faits de violences conjugales. Mais le commissaire Roy Grace sait bien que dans une enquête, il ne faut privilégier aucune piste, au risque de se fourvoyer. Il s’avère d’ailleurs que Lorna avait un amant dont elle venait de découvrir les mensonges et qu’elle recevait des menaces d’un homme qui pensait qu’elle l’avait arnaqué. Autant de potentiels suspects pour une enquête simple en apparence mais qui pourrait être plus complexe que prévu. Une affaire idéale pour se faire la main que Grace décide de confier à un de ses adjoints, Guy Batchelor, lui-même essayant de consacrer un peu plus de temps à sa famille, agrandie depuis l’arrivée de Bruno, le fils de dix ans qu’il a eu avec Sandy et dont il ignorait jusqu’alors l’existence.

    Rien à dire sur l’enquête, rythmée, musclée, haletante, et particulièrement détaillée par un Peter James très au fait des techniques et procédures policières. Mais il y a un mais…
    Il en va des aventures de Roy Grace comme de ces séries télévisées où les deux héros, souvent un homme et une femme, se tournent autour pendant quelques saisons, laissant planer une tension amoureuse insoutenable. On rêve de les voir en couple et, une fois le premier baiser échangé, on s’ennuie devant leur bonheur tout neuf.
    Pour le commissaire de Brighton, c’était la disparition de Sandy, sa première épouse, qui faisait tout le sel des romans. Sandy était-elle vivante ou morte ? En Angleterre, en Allemagne ou sous les tropiques ? Ce mystère résolu, la série a perdu son âme…Et ce n’est pas le jeune Bruno, taiseux et un poil psychorigide, qui va faire remonter l’intérêt pour la vie privée de Grace. On soupçonne des problèmes à venir mais trop, c’est trop. Le policier n’aura-t-il donc jamais la paix ? Et d’ailleurs la mérite-t-il, lui qui est capable de faire un aller-retour à Munich pour chercher son fils inconnu, de le déposer à la maison et de retourner au poste comme si cet enfant ne venait pas de perdre sa mère, d’être déraciné et transplanté auprès d’un père, d’une belle-mère et d’un demi-frère dont il ignorait l’existence… ?
    Malgré tout, on lira la suite, parce que Peter James maîtrise son sujet et parce qu’on aime ses personnages.