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La force de la marginalité, à l’Intime Festival

La 11e édition du festival littéraire pluridisciplinaire s’est déroulée à Namur ce week-end. Article réservé aux abonnés
Journaliste au pôle Culture Temps de lecture: 2 min

A l’Intime Festival, 11e chapitre, qui s’est déroulé ce week-end au Théâtre royal de Namur, on ne met pas les écrivains et écrivaines, les comédiens et comédiennes qui lisent leurs écrits, les artistes qui s’y produisent sur un piédestal. On les respecte, évidemment, mais dans une atmosphère de convivialité, d’amitié, de partage qui permet à chacun d’aborder tous ces artistes, de discuter avec eux. Comme le rock ou le rap, la littérature a ses fans, mais ceux-ci sont moins dans la démonstration débordante que dans l’affection polie. Et des fans il y en a. La grande salle à l’italienne du théâtre, les petites salles du studio et de l’amphithéâtre sont toujours pleines, l’écoute des lectures comme des entretiens publics est attentive, absorbée, concentrée. Sans aucune componction, et c’est ce qui est tellement attrayant.

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