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Loïc Lantoine
Au registre des albums dont on ne peut plus se défaire, celui de Loïc Lantoine ne décollera pas de notre mémoire. « J'ai mûri, j'ai grossi, ça va mieux ! » crie-t-il. Non, il a définitivement gagné le cercle des indispensables écrivains... diseurs de chansons ! Quelle force d'écriture dans ses formules puisées aux sources fécondes d'un Leprest si proche, des Ogres de barback, d'un Ferré ou d'un Brel (« Quand j'nous rassure de toi-même ») ! Visiblement assagi (« Je vide mes horreurs ») par l'arrivée d'Olympe (« J'suis bête et content, j'aime ta maman ! »), le « Côté Punk » de son groupe identitaire n'est pas largué pour autant. Il le respire à pleines images, même s'il affirme : « J'ai changé » ! Les intonations éraillées d'une voix au charme profond viennent en plus renforcer la séduction d'un opus superbe, sublimé par cinq musiciens compositeurs en totale connivence avec l'oeuvre commune.
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