Palais Rohan - Bordeaux, France
Posted by: Groundspeak Premium Member pmaupin
N 44° 50.267 W 000° 34.783
30T E 691292 N 4967779
[EN] The Palais Rohan is a Bordeaux palace built for Archbishop Ferdinand-Maximilien-Mériade, Prince of Rohan, between 1771 and 1784. [FR] Le palais Rohan est un palais bordelais construit pour l'archevêque Ferdinand-Maximilien-Mériade, prince de Rohan, entre 1771 et 1784.
Waymark Code: WM138VQ
Location: Nouvelle-Aquitaine, France
Date Posted: 10/14/2020
Published By:Groundspeak Premium Member Alfouine
Views: 4

"Hôtel de l'Archevêché until the Revolution, hotel of the department then seat of the revolutionary tribunal in 1791, hotel of the prefecture in 1800, imperial palace of Napoleon I in 1808 and royal palace in 1815 under Louis XVIII, the Palais Rohan became town hall in 1835.

Become Archbishop of Bordeaux in 1769, Ferdinand Maximilien Mériadec de Rohan-Guéméné undertook the complete reconstruction of the old archbishopric which, from the Middle Ages, occupied the northwest corner of Saint-André cathedral (like Armand de Rohan-Soubise for the Rohan Palace in Strasbourg).

From 1771, the study of the palace and the subdivisions was entrusted to the engineer Joseph Étienne, a newcomer from Paris. He is planning a large complex comprising a main building on three levels behind a large courtyard.

The sale of the land around the archdiocese (current Mériadeck district), and the income of the diocese, would help with its construction (more than 2 million pounds1 = 22 million euros). Dissatisfied with Joseph Étienne, the archbishop replaced him with Richard-François Bonfin, architect of the city and author of the Grave fountain, who finished the work with the contractor Poirier. As the costs of construction keep rising, the Archbishop is forced to pledge his own fortune.

In 1781, Ferdinand Maximilien Mériadec left his place of archbishop to Mgr Champion de Cicé. The palace was finally completed around 1784.

The palace is made up of a large main building flanked at the front by two low, angled wings that connect it to a colonnade. The square courtyard thus delimited is closed by an Ionic portico with arcades open to the street side, in the center of which opens a monumental portal. Scored by columns, this enclosing wall at first glance offers a decoration of arches reminiscent of the models proposed around 1770 by the Parisian architect Jean-François de Neufforge. On either side of the entrance gate are two niches in which statues of Deschamps, La Ville de Bordeaux and La Religion were provided (models kept at the Museum of Decorative Arts). Today they are occupied by Le Génie du commerce et de l'Industrie and Le Génie des sciences et des arts, works of the sculptor Edmond-Sébastien Prévot (1869).

At the end of the courtyard, the main facade, flat and animated by a central avant-corps, stands out for its rigor and austerity. In the tympanum of the segmental arched pediment, in 1871 a clock replaced the bas-relief representing Evangelical wisdom, produced by Barthélemy Cabirol, and destroyed during the Revolution.

The rear facade, almost similar except for the pediment, overlooks the garden and is extended by two low balustraded pavilions whose openings are surmounted by garlands. Its pediment has preserved Cabirol's sculpture representing La Libéralité.

This dryness in lines and composition is explained by the presence of Victor Louis in Bordeaux, who at the same time was building the Grand Théâtre. "

Sources : The Palace From what Wikipedia tells us.

Photo goes Here Photo goes Here

"Hôtel de l’Archevêché jusqu’à la Révolution, hôtel du département puis siège du tribunal révolutionnaire en 1791, hôtel de la préfecture en 1800, palais impérial de Napoléon Ier en 1808 et palais royal en 1815 sous Louis XVIII, le palais Rohan devient hôtel de ville en 1835.

Devenu archevêque de Bordeaux en 1769, Ferdinand Maximilien Mériadec de Rohan-Guéméné entreprit la reconstruction complète du vieil archevêché qui, dès le Moyen Âge, occupait l’angle nord-ouest de la cathédrale Saint-André (comme Armand de Rohan-Soubise pour le palais des Rohan de Strasbourg).

Dès 1771, c’est à l’ingénieur Joseph Étienne, nouvellement arrivé de Paris, qu’est confiée l’étude du palais et des lotissements. Il fait le projet d’un grand ensemble comportant un bâtiment principal à trois niveaux à l’arrière d’une grande cour.

La vente des terrains autour de l’archevêché (actuel quartier Mériadeck), et les revenus du diocèse, allaient aider à sa construction (plus de 2 millions de livres1 = 22 millions d'euros). Mécontent de Joseph Étienne, l’archevêque le remplace par Richard-François Bonfin, architecte de la ville et auteur de la fontaine de la Grave, qui termine les travaux avec l’entrepreneur Poirier. Alors que les frais de la construction ne cessent de croître, l’archevêque est contraint d’engager sa propre fortune.

En 1781, Ferdinand Maximilien Mériadec laisse sa place d'archevêque à Mgr Champion de Cicé. Le palais est enfin achevé vers 1784.

Le palais est constitué d’un vaste corps de logis flanqué à l'avant de deux ailes basses en retour d’équerre qui le relient à une colonnade. La cour carrée ainsi délimitée est fermée par un portique d’ordre ionique à arcades ouvert côté rue, au centre duquel s’ouvre un portail monumental. Scandé par des colonnes, ce mur de clôture offre au premier abord un décor d’arcatures qui n’est pas sans rappeler les modèles proposés vers 1770 par l’architecte parisien Jean-François de Neufforge. De part et d'autre du portail d'entrée se trouvent deux niches dans lesquelles étaient prévues des statues de Deschamps, La Ville de Bordeaux et La Religion (maquettes conservées au Musée des Arts décoratifs). Elle sont aujourd'hui occupées par Le Génie du commerce et de l'industrie et par Le Génie des sciences et des arts, œuvres du sculpteur Edmond-Sébastien Prévot (1869).

Dans le fond de la cour, la façade principale, plate et animée d’un avant-corps central, s’impose par sa rigueur et son austérité. Dans le tympan du fronton en arc segmentaire, une horloge a remplacé en 1871, le bas-relief représentant La sagesse évangélique, réalisé par Barthélemy Cabirol, et détruit à la Révolution.

La façade postérieure, presque semblable à l'exception du fronton, donne sur le jardin et est prolongée par deux pavillons bas à balustres dont les baies sont surmontées de guirlandes. Son fronton a lui conservé la sculpture de Cabirol représentant La Libéralité.

Cette sècheresse dans les lignes et la composition s’explique par la présence de Victor Louis à Bordeaux, qui à la même époque édifiait le Grand Théâtre. "

Sources : Le Palais D'après ce que nous dit Wikipédia.

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