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"Balance ton quoi" : Angèle explique le consentement à Pierre Niney

Paloma Clément Picos , Mis à jour le

Alors que son album «Brol», sorti en octobre dernier, vient d’être certifié triple disque de platine, la star belge a sorti un clip drôle et décalé sur un sujet sérieux qui lui tient un cœur depuis ses débuts : le sexisme ordinaire.

Successivement Cendrillon du XXIème siècle, juge, avocate de la défense, victime et coupable, Angèle incarne tous les rôles dans son nouveau clip publié ce lundi 15 avril. Avec «Balance ton quoi», titre découvert dans son premier album, Angèle fait référence aux mouvements #MeToo et #BalanceTonPorc qui ont déclenché en 2017 un élan de prise de parole des femmes et une prise de conscience autour du harcèlement. La chanteuse de 23 ans y interroge les rôles de la justice et de l’éducation dans le combat pour le respect et l’égalité entre toutes et tous. D’autres thèmes sont abordés : les questions de genre, le harcèlement sexuel, le slut-shaming, la fétichisation des femmes noires, l’inégalité salariale ou encore la charge mentale.

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Réalisé par l’artiste et amie d’Angèle, Charlotte Abramow, la vidéo est agrémentée d’une mini-scène où la bruxelloise de 23 ans apprend les règles du consentement à Pierre Niney, invité surprise du clip. Dans une «Anti Sexism Academy» imaginaire, la jeune belge explique que «non c’est non». Tous les protagonistes abordent un pull floqué du nom de cette école du consentement. Cet uniforme fait partie d’une collection capsule en partenariat avec la marque de vêtement féministe Meuf Paris . L’intégralité des bénéfices des ventes sera reversée à deux associations féministe, Centre 320 rue Haute en Belgique et La Maison des Femmes x Saint Denis en France.

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Depuis son premier clip, «La loi de Murphy» sorti en 2017, Angèle utilise son influence pour bousculer les mœurs, principalement autour de son jeune public. Après tout comme elle le chante, «on dit que le rap est à la mode et qu’il marche mieux quand il est sale, faudrait peut-être changer les codes, une fille qui l’ouvre ça serait normal». You go girl !

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