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Chronique des bonnes nouvelles

 Cette réouverture annoncée passe aussi par toutes les saveurs à découvrir ou à redécouvrir, à la façon des esthètes que raconte le livre 'Esthétique du vin".
Cette réouverture annoncée passe aussi par toutes les saveurs à découvrir ou à redécouvrir, à la façon des esthètes que raconte le livre 'Esthétique du vin". © DR
Philippe Legrand , Mis à jour le

En surfant sur l'actualité des réouvertures annoncées, plusieurs bonnes nouvelles viennent égayer le panorama qui se dé-confine petit à petit. Revue de détails.

Le Mas Candille, adresse emblématique de la Côte d'Azur, ouvre ses portes le 11 juin dans sa belle pinède aux arbres centenaires. Toute l'équipe est sur le pont d'une excellence qui a fait ses preuves à travers des prix, des étoiles, des trophées internationaux et surtout un savoir-faire qui rime avec savoir-recevoir. Autour de son propriétaire, Mark Silver, et de son directeur général, Giuseppe Cosmaï, l'été y sera beau autour de quelques surprises raffinées et gastronomiques pour prendre enfin l'air face aux Alpilles, au sommet desquelles le soleil réserve quelques clins d'oeil séduisants.

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De son jardin coloré à ses chambres d'une élégance royale, en passant par ses piscines bleutées, ses restaurants et terrasses fleuries, rien ne manque ici pour faire d'un dépaysement dans le sud la meilleure expérience. (Renseignements, réservations : www.lemascandille.com )

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Pour aller encore plus loin dans l'aventure des sommets, Catherine Destivelle, la championne de l'alpinisme mondial, publie dans sa maison d'édition, Les Editions du Mont-Blanc, le livre d'une enquête haletante "La bataille du Cervin", signé Pietro Crivellaro. Il s'agit d'une course entre grimpeurs de la montagne qui veulent être les premiers à planter leur drapeau sur la cime la plus haute. Cette véritable histoire d'une conquête donne parfois le vertige mais raconte surtout la passion qui pousse les Hommes à prendre des risques pour ajouter des victoires au palmarès.

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 C'est depuis le Maroc que Stéphanie Cassan a eu l'idée de créer l'événement culturel et artistique "Lady Berbère". Le titre est fort et clair. Qui sont ces femmes reines d'une tapisserie d'un genre inédit qui depuis des générations les raconte ? Les Ladies Berbères vivent dans le Moyen Atlas, là où l'air est changeant, là où les routes sont peu nombreuses, là où les chemins n'ont pas vraiment de noms, là où une certaine rudesse de la vie agricole ne facilite pas le quotidien. "Lady Berbère" - l'exposition qui va voyager au Maroc, entre le désert d'Agafay et Marrakech - révèle un art ancestrale féminin. Autour de cette manifestation culturelle historique, initiée et conduite par Stéphanie Cassan, quelques personnalités ont rejoint cette initiative unique comme Pierre-Yves Marais, Elisabeth Bauchet-Bouhlal, Nadia Bennani Smires et Jean-Louis Haguenauer, Ilham Echadaddi, Keya mais aussi Christophe Chaillot, le directeur de l'Institut français de Marrakech, et la collectionneuse Nathalie Heller Loufrani qui explique que "ces tapisseries Zindekh ont une écriture secrète". (Informations : https://ladyberbere.com/

Il faut s'asseoir à la terrasse suspendue du Warwick à Paris - du côté des Champs Elysées - pour être à la fois loin de la foule et au cœur de la capitale. Il y fait bon avec devant soi La Tour Eiffel ; avec, à ses côtés, les douceurs salées, sucrées de la carte de saison tricotée de main de maitre par le chef Franck Enée. Des légumes des vergers de France, du poisson, des viandes, des tartares maisons aux recettes généreuses qui donnent envie de prolonger l'instant à table, y venir pour le plaisir de la dégustation stimule autant les papilles que tous les sens, de la vision à l'écoute. On y est - au fond - comme assis dans un théâtre où se joue la partition harmonieuse d'un orchestre philharmonique, dans la grâce de ces notes sublimes qui diffusent un cocktail d'émotions. (Réservations - Tel 01.45.61.82.14). 

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Julien Gagon et Aurélie Labruyère s'y connaissent en vin. De son Histoire à ses nuances, de ses grands crus à ses vignobles à découvrir, le vin qu'ils aiment raconter, commenter, se déguste d'abord avec des mots. Les mots des mets et des vins. Les mots de cette belle langue qui sait dire l'indicible ressenti en une gorgée de dégustation, en un regard sur une étiquette, une cave, une expression de sommeliers, de propriétaires qui connaissent les hauts et les bas de la culture du raisin. Leur livre à quatre mains s'intitule "Esthétique du vin" (Ed. Glénat). On s'y promène comme dans un gigantesque chai aux trésors infinis, nés du travail des Hommes et de la Terre. 

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