Avec le parcours historique qui a été celui du Maroc au Qatar, devenant le premier pays africain et arabe à atteindre le dernier carré de la Coupe du monde. Pourtant ce n’était pas évident pour les Lions de l’Atlas qui ont préparé le mondial avec un nouvel entraineur, Vahid Halilhodzic ayant été limogé en août, à trois mois du démarrage de la compétition.
Invité sur RMC, Romain Saïss a révélé qu’avec l’ex-entraîneur, l’ambiance devenait invivable, même s’il a aidé le Maroc à se qualifier pour la Coupe du monde. « On était arrivé à un point où ça devenait compliqué, même pour lui personnellement, où il se faisait siffler à chaque déplacement. Cela se ressentait dans le groupe forcément. Quand vous jouez au Maroc et qu’on entend son nom, ça siffle de partout et ça affecte tout le monde. Cela amène des tensions ».
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Vahid Halilhodzic a cédé sa place à Walid Regragui suite à son limogeage par la fédération royale marocaine de football. Pour le capitaine des Lions de l’Atlas, ce n’était pas gagné d’avance, mais le pari a été tenu. « Quand il est arrivé, il n’avait pas énormément de temps pour préparer cette Coupe du monde. Il fallait que son message et ce qu’il voulait pour son équipe, passent rapidement »
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Il a reconnu le leadership de Walid Regragui qui a su comment redonner confiance à chaque joueur et faire revenir la cohésion qui avait disparu à force de discorde. « Il s’est vite imprégné de l’atmosphère. Tout le monde était conscient de l’importance du rendez-vous, avec le peu de temps qu’on avait pour se préparer. Personne n’a triché, tout le monde a fait les efforts, du staff aux joueurs », a précisé Romain Saïss.
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Au lendemain du limogeage du sélectionneur national des Lions de l’Atlas, le président de la fédération royale marocaine de football (FRMF), Fouzi Lekjaa, a justifié sa décision.
Le sélectionneur de l’équipe du Maroc Walid Regragui est considéré comme le meilleur entraîneur de la coupe du monde qui s’est achevée dimanche par le sacre de l’Argentine.
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