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Jacques Chirac en 1975 : « Je veux que tu viennes travailler avec moi »
« Mon excitation intérieure était à son comble. J'avais gardé mon jean mais mis pour l'occasion une cravate en laine. Je restai un long moment à la guérite des gendarmes autorisant les entrées par la rue de Varenne. On vérifia mon identité avec soin. Je sentis que l'état de mon véhicule impressionnait défavorablement. Enfin, le garde téléphona pour prévenir de mon arrivée imminente. J'obtins l'autorisation de ranger ma voiture dans la cour. Au moment où j'en descendais, un huissier vint me chercher. J'entrai ainsi pour la première fois dans le sein même du pouvoir (…) La soudaineté de l'événement déclencha en moi l'envie irrépressible de saisir ma chance et d'être à la hauteur de ce que je pressentais être une oppor...
AFP - Claude AZOULAY/« PARIS MATCH »/SCOOP
Soyons sérieux, acharnement et procédure judiciaire, l'un n'empêche pas l'autre, et toc !
Acharnement ?
Mais c'est de procédures judiciaires qu'il s'agit et de rien d'autre.
"Indices graves et concordants" : la justice dira si les faits sont établis.
Si oui, en a t-il été le responsable, le complice, le bénéficiaire ?
A t-il des circonstances atténuantes (hormis l'impunité présidentielle ratée en 2012, bien sûr) ?
La suite le dira...
Le reste n'est qu'argutie de thuriféraires énamourés...
Tout le monde doit répondre de ses aces en effet.
Et quand il s'agit du code pénal, personne ne devrait s'y dérober, vous avez entièrement raison.
Faut il ajouter que l'exemple doit venir d'en haut, non ?