Sans lui, pas de Ribera, de Zurbarán, de Vélasquez, de Vermeer. Le maître sulfureux de la peinture baroque a révolutionné la peinture à "coups" de réalisme, naturalisme et clair-obscur. Une peinture qui aurait pu entrer dans les ténèbres.
L’œuvre ici analysée appartient à la production du Caravage et illustre bien, dans son apparente simplicité, comment le peintre joue sur la lumière et les ombres et sur les contrastes qui en résultent. Ces caractéristiques, jointes à la sobriété d’un portrait que seuls rehaussent quelques accessoires, sont bien celles du Baroque dont le célèbre artiste est peut-être la figure la plus emblématique.
"Il me coûte autant de soin pour faire un bon tableau de fleurs qu'un tableau de figures.", témoigne Michelangelo Merisi, dit le Caravage
Épitaphe écrite par son contemporain Marzio Milesi : "Tu es mort au monde, pas à toi-même, ni à la gloire qui résonne de toi."
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Ce film s’inscrit dans le cadre d’une série réalisée par un groupe d’étudiantes en LCE Italien de l’université Bordeaux-Montaigne et d’une de leurs enseignantes.
Références